mor aucon,
à vos sophismes, il faut ajouter l’enfumage présomptueux ou insolent, ou les deux qui enrobent vos discours aussi sûrement que la graisse le cochon.
Comme je suis de bonne volonté - vos insultes sont pour moi une sorte d’hommage du vice à la vertu -, j’ai relevé ceci, je cite : « Le plus grave problème est à la base, de considérer que la monnaie scripturale est un moyen de paiement totalement équivalent à de la monnaie de cours légal, ce qui est évidemment et objectivement faux et ne soutient que par un mécanisme subjectif de confiance »
Sophisme encore ! Bien évidemment que la monnaie scripturale n’est pas équivalente à de la monnaie de cours légal ! Mais aussi longtemps que le système fonctionne, il est possible aux détenteurs de convertir l’une en l’autre, et ainsi de reporter les conséquences de la différence de nature sur l’ensemble des acteurs économiques ! Et ils ne s’en privent pas.
C’est peut-être ce que vous vouliez exprimer dans le dernier § de votre blabla ci-dessus, mais comme vous êtes prisonnier d’un style grand-guignolesque qui n’a pour but que de masquer votre ignorance, cela n’est pas du tout limpide.
Et donc, quand vous prétendez que je ferais le mal de ceux que je dis défendre, c’est seulement un effet de votre vision biaisée par vos propre contradictions, et dont je vois l’origine dans ce pseudo sutpide « mort aux cons ». Vous êtes venu ici pour bouffer du con, et vous sautez sur tout ce qui bouge autrement que les mandarins qui ont tenté de vous « former » à leur image.
Ceci dit, vous ne seriez pas le premier qui vient sur ce forum faire semblant d’en connaître, et qui en profite pour comprendre ce qu’il n’a pas compris en classe ! Mais drapé dans le costume d’un savant qui parle à la plèbe, orguiel oblige. Bref, ce qu’il y a ici de plus ignoble.
Pastré, oui, si on veut. Je ne vous ai pas attendu pour lire Jorion. Et je n’aurais pas la prétention d’en parler ici dans une langue qui tient davantage de Lacan que de Jorion : une langue de faux-cul, en l’occurence.
L’intérêt de diffuser ici les idées des grands auteurs, c’est d’essayer de le faire dans une langue simple, celle que du haut de votre prétentieuse personne vous désignez par simplette. Vous ne trompez probablement que vous-même.