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Accueil du site > Tribune Libre > La dette ? Mais... ils s’en foutent !

La dette ? Mais... ils s’en foutent !

Il y a la dette nationale : les déficits qui ont augmenté de 350 % depuis 2007, l'année de la campagne présidentielle au cours de laquelle Bayrou tira la sonnette d'alarme. Mais il y a aussi les dettes locales, tributaires parfois d'emprunts toxiques. Enfin il y a le cas du musée de Sarran, un musée somptueux, inutile, entretenu à grands frais par le département le plus endetté de France : la Corrèze que préside François Hollande.

Pour ce qui est des dettes locales, le rapport de la Cour des comptes sur la gestion de la dette publique locale a été publié ce 13 juillet. Il examine notamment la dérive des emprunts toxiques.

Quant à la dette nationale, François Bayrou rappelle sa position qui n'a pas changé : réduction massive des déficits à commencer en France. "On n’a pas fait la réduction massive des déficits, on a fait l’explosion massive des déficits. Songez que les déficits, depuis le temps où j’ai fait cette campagne en 2007, ont été augmentés de 300 pour cent, même de 350 pour cent, c’est dire à quel point on en est. La question aujourd’hui n’est même plus prioritairement celle-là, la question aujourd’hui c’est : est-ce que la zone euro que nous formons ensemble fait ce qu’il faut pour se sauver ? Parce que le problème de la Grèce, c’est le problème de tout le monde, de tous ceux qui ont l’euro en partage. Hélas, la zone euro ne fait pas ce qu’il faut pour se sauver. Et comme elle ne fait pas ce qu’il faut pour se sauver, on se trouve dans une situation de péril extrême, toutes les bourses européennes le montrent. Mais la vérité c’est que c’est tous les citoyens qui se trouvent en situation de péril extrême, parce que si les taux d’intérêts explosent, les impôts devront augmenter dans des conditions massives pour rembourser les intérêts de la dette."

Cela dit, si nous avons les yeux tournés vers la dette nationale, nous oublions souvent les dettes des collectivités qui, de plus, ont encore parfois recours aux emprunts toxiques. La cour des comptes prend acte des initiatives qui ont été prises par le gouvernement à la suite de la crise financière, en particulier la charte de bonne conduite signée entre les associations d'élus et une partie des banques. Toutefois, certaines banques étrangères actives sur le marché français ne l'ont pas signée. La conclusion de la Cour est claire : "il faut que l’Etat tire les conséquences du développement des emprunts structurés, pour éviter que cet épisode ne se renouvelle à l’avenir" et, donc, pour "mieux sécuriser la gestion de la dette locale". La Cour dénombre encore "quelques centaines" de collectivités exposées dont moins d'une centaine seraient "exposées gravement".

La cour préconise le bilan de l’application de la charte de bonne conduite et des mesures législatives pour remédier à ses "insuffisances". En effet, la charte autorise encore des produits trop risqués du fait de leur volatilité, entre autres ceux dont le taux d'intérêt est basé sur des écarts d'indices hors zone euro ou comportant des effets de levier.La cour est en revanche hostile à l'idée, évoquée par les élus locaux concernés, de création d'une "structure de défaisance", la jugeant "ni justifiée ni opportune", entre autres parce qu'elle serait contraire à "la responsabilisation des acteurs".

La Corrèze en "faillite" : Cela dit, il n'y a pas que le risque des emprunts toxiques, celui d'une gestion irresponsable en est un autre. A ce titre, un candidat à la Présidentielle ne donne pas l'exemple. Le département de la Corrèze, présidée par François Hollande, reste le département le plus endetté de France. C'est la Chambre régionale des comptes du Limousin qui le dit en 2010. Il est vrai que la gestion antérieure ainsi que le musée de Sarran - "musée Chirac" plombent complètement les finances locales pour un succès très maigre en recettes.

Les annuités de remboursement sont astronomiques : 33,8 millions d'euros. C'est deux fois plus que ce que verse le département au titre du RSA et du RMI (16,3 millions d'euros), et moins que ce que rapporte la taxe foncière (31 millions d'euros).

Mais loin de réduire et de contrôler, on ajoute chaque année des frais somptuaires astronomiques. L'amitié Chirac-Hollande n'a pas de prix... A l'occasion d’une visite de son musée de Sarran, le 11 juin 2011, l’ancien président s’est ouvertement déclaré en faveur du président socialiste. On comprend pourquoi ! Les médias en ont fait leurs choux gras jusqu'à tourner la séquence en boucle sur les chaînes. Mais ils se sont bien gardés de parler du gouffre financier entretenu par les deux hommes et leurs clans respectifs.

Pour finir sur une note d'humour et en chanson : :-)

ça va pas la dette !

Au musée de Sarran personne ne se rend

 


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73 réactions à cet article    


  • hgo04 hgo04 16 juillet 2011 10:01

    En tous cas, ils ont l’air contents et fiers d’eux.. y a pas à dire...


    • Taverne Taverne 16 juillet 2011 11:30

      Ah ah ah ! Normal, la dette c’est pas pour eux ! smiley


    • Tapioca RogeR 16 juillet 2011 10:55

      Ils, ils, mais c’est qui « ils » ? Mais c’est du haut en bas de l’État qu’on trouve des « ils » -
      N’importe quel coquelet de province, maire d’une petite commune peut faire des dépenses qui vont plomber la trésorerie de sa commune pendant des décennies. Voir par exemple Pont-St-Esprit . Nous voyons tous les jours des ronds-point certes nécessaires, mais somptueux et coutant une véritable fortune. Chaque année il faudra les entretenir.
      Ne parlons pas de " Hôtels du département et autres Hôtels de la région n’est pas Monsieur Fréche ??
      La gabegie est PARTOUT chaque jour. C’est APRÈS MOI LE DÉLUGE à tous les étages.
      Les jeunes gens qui ont 15- 20 ans aujourd’hui ne s’intéressent pas beaucoup à la politique. Ils ont tort, car dans quinze ans ils nous maudiront ...


      • Taverne Taverne 16 juillet 2011 11:30

        « ils nous maudiront » et peut-être pire... Mais, moi je leur resortirai cet article smiley



      • lemouton lemouton 18 juillet 2011 13:57

        « car dans quinze ans ils nous maudiront ... »
        mhouais.. si un « dans quinze ans » existera encore...  smiley


      • Nestor 16 juillet 2011 15:05

        Salut Amaury !

        T’as plus qu’à copier ... Je déconne !


      • slipenL’air 16 juillet 2011 11:15

        Il n’y à pas de banlieue proche du musée et c’est dommage
        car connaissant les loustiks met-avis que quelques
        litres d’essence aurait mis fin à cette gabegie.
         smiley


        • Taverne Taverne 16 juillet 2011 11:29

          Ils l’auraient reconstruit deux fois plus cher ! Ils s’en foutent, je vous dis...


        • Jélène Jélène 16 juillet 2011 12:37

          Depuis quand la Corrèze se situe-t-elle en Auvergne ?


        • Marianne Marianne 16 juillet 2011 11:41

          Excellent Taverne. Tes chansons aussi, partagées sur Facebook !


          • Taverne Taverne 16 juillet 2011 18:38

            Merci Marianne. Je suis donc allé sur Facebook (j’y vais rarement). Merci d’avoir fait de la promo pour mes albums et surtout pour mes chansons interprétées par Stéphane Bersier qui mérite d’être mieux connu. Par contre, pour la composition de musique, je ne peux plus faire grand chose à cause de mon arthrose cervicale. Comme vous le voyez sur mon dernier album, j’ai de bonnes idées mais elles seraient à développer par des musiciens compositeurs. J’ai déjà dû remplacer la guitare par le synthé il y a quelques années. Et après ? Plus rien peut-être : je n’écrirai plus que des textes.


          • Pyrathome Pyrathome 16 juillet 2011 11:49

            Taverne, vous nous parlez d’une dette illégitime, composée presque exclusivement d’intérêts au bénéfice de la finance internationale.....du raquet en quelque sorte !
            La question que tout le monde est en droit de se poser serait « faut-il vraiment continuer à nourrir des vampires qui demanderont toujours plus » ??
            Les Islandais ont tranché deux fois par référendum et ont dit un GROS NON aux crapules.....

            Mais vous savez, au train où vont les choses, plus personne ne sera capable de rembourser sa dette, y compris les états unis.....le monde entier va devenir insolvable, mais peut-être les martiens pourront-ils suppléer ?..le système est mourru, Taverne, le tout est de savoir quand est-ce que cela arrivera, après la chute du mur de Berlin, ce sera la chute du mur dollar et euro, c’est inéluctable !!


            • Nestor 16 juillet 2011 14:36

              Salut Pyra !

              Ben t’inquiètes pas nos potes nous prépareront la soupe au moins nous ne crèverons pas de faim. Ça se trouve on pourra même faire chabrol ...

              Sinon comme d’hab, toujours bien d’accord avec les propos tenus !


            • Pyrathome Pyrathome 16 juillet 2011 15:11

              Salut Nestor !

              Oui, l’Islande est une jurisprudence à mettre en œuvre le plus rapidement possible, dans un an il sera peut-être trop tard.....L’euro est un piège tendu par les US, le drame est que l’europe est tombée dedans....mais qui diable se laisserait piller sans rien dire ?

              À ce rythme là, c’est la faillite et le chaos mondial qui nous attend....et la guerre à suivre !!


            • flesh flesh 16 juillet 2011 15:25

              La dette depuis 1973 est de l’argent créée EX-NIHILO et prêté l’état avec des intérêts, soit disant pour nous protéger de l’inflation. Vous n’avez pas remarqué que le prix de la baguette a pas mal augmenté depuis cette date ? En vérité il nous ont niqué avec la dette pour posséder nos nations et, in fine, nous. 

              Le complot des complots

              Pour les débutants ça se passe ici

            • Mor Aucon Mor Aucon 16 juillet 2011 18:50

              Vous faites un amalgame incroyable entre l’expansion de la masse monétaire par le système fractionnaire de réserve bancaire ( la concession de crédits par le système bancaire enfle la masse monétaire ) et, d’une part la monnaie en prétendant que le remboursement du crédit ( la dette ) fait partie intégrante de la propre monnaie ( le terme argent-dette ) et d’autre part tout cela avec la dette publique d’un État qui n’a rien à voir même si tous les mécanismes d’une économie interagissent entre eux.

              Je vous rappelle que toutes ces théories ont leurs origines dans le libertarianisme US dont le Tea Party avec Sarah Palin et Michele Bachmann en sont les dignes représentantes.


            • flesh flesh 16 juillet 2011 19:57

              Bonjour, je ne suis pas sûr que votre commentaire me soit destiné puisqu’ il me fait faire des amalgames que je n’ai pas fait. Je me ferais toutefois un plaisir de vous répondre sur le fond si j’en suis bien le destinataire.

              Un petit mot tout de même en attendant : vos amalgames à vous sont plutôt foireux l’ami. Votre équation « remise en cause du pouvoir privé de création monétaire = Sarah Palin+Michelle Brachman » ne dupera personne ici, vous vous trompez d’endroit.

              (Pour ceux qui ne connaissent pas la Brachman c’est une Sarah Palin sous amphète, dix fois plus allumée)

            • Mor Aucon Mor Aucon 16 juillet 2011 21:49

              À flesh, oui, je m’adressais à vous,

              Bien sûr que vous faites un amalgame énorme quand, sous un article qui en fait déjà un entre dette souveraine et dette privée, vous criez au complot des complots et invitez à regarder ce documentaire qui n’est qu’une grossière manipulation faite de mélange de demi-vérités et de mensonges gros comme une maison.

              Que la création monétaire soit plus le fait du crédit que des dépôts est déjà dénoncé par des économistes sérieux ( Jorion entre autres, justement ) mais par pour prôner le retour à la monnaie physique en or ou en argent, ce qui ne serait pas une catastrophe planétaire tout simplement parce que c’est irréalisable. Pas non plus pour présenter ce fait comme un complot ourdi comme par hasard par un banquier juif. La vision complotiste de l’histoire est absurde. L’Histoire n’est pas écrite par quatre vilains très méchants planqués derrière le rideau. D’ailleurs la citation que l’on attribue à Rotschild « donnez-moi le contrôle de la monnaie.... » est fausse. Une pure invention qui n’est même pas utile pour critiquer l’inventeur de la spéculation moderne puisqu’il n’y a que l’embarras du choix dans sa biographie.

              Ce documentaire vient des libertariens US et canadiens, comme ceux de Peter Joseph Merola ( light et anonyme sur wikipedia ) et son mouvement Zeigeist ( qui va depuis le complot de la création de la monnaie, à la négation du Sida, négation du changement climatique, complot pour taire la technologie du mouvement perpétuel et de l’énergie libre, du Haarp, etc, etc, etc, trouvez vous même leur page), fan de Ron Paul et du Tea Party, de Palin et Bachmann ( les allumées comme vous dites si bien ) donc l’extrême droite américaine qui est pire que la nôtre encore et qui veut limiter à tout prix l’intervention de l’État dans l’économie en réclamant par exemple et entre autres : la suppression du salaire minimun, la diminution drastique des impôts sur les fortunes et les entreprises sous prétexte qu’ils empêcheraient la création d’emploi, la suppression des déjà très faibles plans de sécurité sociale aux USA ( medicare, retraite, allocations familiales ) et un très long etc d’imbécillités criminelles.

              Je conçois qu’il soit dur d’admettre que l’on ait pu se faire manipuler mais il faut le faire quand c’est évident. Vous n’avez pas besoin de le faire en public, juste arrêter de promotionner ces pseudo-documentaires servira largement.

              http://www.rue89.com/mon-oeil/2008/10/13/largent-dette-video-star-du-net-a-une-sale-petite-odeur
              http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=2199
              http://www.20min.ch/ro/news/dossier/crise/story/La-video-qui-decrypte-la-crise-fait-un-tabac-sur-le-net-25724729


            • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2011 08:42

              Mor Aucon,

              vous écrivez : « Que la création monétaire soit plus le fait du crédit que des dépôts est déjà dénoncé par des économistes sérieux ( Jorion entre autres, justement ) »

              J’ai retourné cette phrase et la suite dans tous les sens, son sens s’il y en a un m’échappe ; Puisque vous parlez de ces choses avec une apparente maîtrise, pouvez-vous m’expliquer ce que vous avez voulu dire ? 


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 13:03

              JL, je vais faire comme si je croyais votre question sincère en vous faisant tout de même remarquer que je n’ai que la maîtrise suffisante à détecter les énormités que vous et quelques autres rabâchez à longueur de commentaires..

              Le mécanisme d’expansion monétaire par les banques commerciales est basé sur la concession de crédits qui crée une valeur en monnaie scripturale ( écrite dans les comptes, la banque privée n’imprime pas de billets ).On peut voir le système depuis deux optiques symétriques : la banque prête les dépôts des épargnants ou bien c’est le crédit, celui qui alimente les dépôts. Cela peut paraître une question du genre de la poule et de l’œuf de Colomb qui ne servirait à rien de plus qu’à se torturer les méninges. Á mon avis, il n’en est rien. De la même manière que ce n’est pas une poule qui a pondu le premier œuf d’où est née la première poule, ce n’est pas le dépôt d’un épargnant qui a constitué la valeur du premier prêt, sinon le capital du premier banquier prêteur, commençant ainsi la spirale prêt-dépôt-prêt.

              Á quoi me sert cette optique qui pourrait apparaître comme un sophisme ? A me poser dans des termes plus simples les questions importantes. La banque crée-t-elle de la véritable monnaie par ce mécanisme d’écriture dans les comptes d’une reconnaissance de dette ? Peut-on réellement dire que cette création est faite ex-nihilo  ? Les déposants sont-ils réellement propriétaires de leurs dépôts ? Ce sont, je crois, des questions évidentes qu’il faut se poser avant d’envisager une réforme du système bancaire. Par contre, si l’objectif est de l’éliminer, je peux vous concéder que ça ne sert pas à grand-chose.


            • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2011 13:52

              morocon,

              ça commence mal ! Mais vous êtes coutumier de croire que vous seul détenez la vérité. Pour votre gouverne, sachez que vous faites des sophismes comme un pommier des pommes (Merci Trénet).

              Votre réponse ci-dessus à ma question, outre qu’elle botte en touche, est d’une débilité déconcertante.

              Non ! la banque ne prête pas les dépôts des épargnants : les dépôts constituent les actifs qui permettent à la banque de prêter jusqu’à dix fois et même davantage leur montant. Et de faire ainsi du bénéfice sur les intérêts d’argent qu’elle ne possède pas.

              Comble de tout  : cette rémunération qui serait soi-disant le prix du risque ne correspond pas à un risque assumé, puisque par les mécanismes financiers qui sous-tendent ces pratiques, au bout du compte, et c’est la cause des crises, les contribuable paient la casse au nom de ce que sinon, ce serait le clash. J’appelle ça du terrorisme bancaire.

              De deux choses l’une : ou bien vous le savez, et vous êtes un lamentable tricheur, ou vous ne le savez pas et vous êtes un ignorant pédant. Choisisez !

              Les énormités, c’est vous, porte parole des Olivier Pastret ou Soulez Larivière, qui les proférez sans jamais avoir réfléchi par vous-même. : Olivier Pastret, celui qui amalgame l’endettement, les impôts et les taxes comme sources de financement de l’Etat ; Soulez Larivière, celui qui donne ses lettres de noblesse (mdr) à une justice à deux vitesses, en la dotant d’un concept redondant avec l’égalité des citoyens devant la loi, à savoir la « présomption d’innocence ».

               Cette présomption d’innocence est le moyen qu’ont trouvé les riches puissants en France
              de contourner ce principe d’égalité devant la loi.Concept inutile aux US, pays où l’égalité devant la loi est contournée par les droits faramineux accordés à la défense, ce qui aboutit à ce que l’égalité devant la loi est anihilée par l’inégalité devant la fortune.


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 14:46

              Je savais bien que votre question n’était qu’un moyen d’introduire une diatribe pseudo-révolutionnaire de plus. Vous parlez de triche, mais dites-moi, n’est-ce pas vous qui anticipez ce que je pourrais penser à ce sujet sans prendre la peine de vraiment le savoir. Oh oui, Soulez-Larivière, avocat, est très certainement un grand penseur économique, non ? Vous en êtes que de plus en plus pathétique d’étaler ainsi votre misère intellectuelle. De plus, si vous aviez étudié un peu d’Histoire, vous sauriez que les propagandes imbéciles des illuminés ont toujours fait le beau jeu de ceux qu’elles prétendaient combattre. On peut se demander si ce ne serait pas volontaire, des fois. Alors, je vais continuer car je sais qu’il y a pas mal de gens attiré par les théories simplettes que les gens comme vous s’évertuent à divulguer.

              Vous faites comme si vous aviez dévoilé la grande arnaque, comme le fait le machin que vous appelez documentaire, en laissant croire que le fait que les banques privées ne détiennent réellement qu’une fraction de ce qu’elles prêtent ( le coefficient de réserve ) aurait été très secret jusqu’au jour ou Grignon et Merala ont ouverts les yeux des pauvres gens trompés par les vilains banquiers. Mais vous rendez-vous compte de l’idiotie de telle prétention ? C’est écrit partout et s’étudie partout aussi, depuis des lustres. Alors dites-moi, grand gourou des chiffres, comment allais-je pouvoir dire que la banque crée de la monnaie scripturale, si je ne tenais pas en compte le système de réserve fractionnaire comme je le faisais en répondant à flesh, dites ? Vous lancez le bouchon tout de suite très loin pour parler de terrorisme bancaire et pouvoir ainsi ranger les opinions contraires à vos sornettes de midinettes effrayées du côté de celles des défenseurs du système bancaire tel qu’il est actuellement. Ça oui, c’est du terrorisme intellectuel et de la manipulation propagandiste. Les gens ont déjà suffisamment de problèmes et de raison d’avoir des inquiétudes réelles pour que vous en rajoutiez avec vos péroraisons de prophète apocalyptique.

              Par votre énorme saut quantique, vous en avez oublié, comme le fait aussi le documentaire, d’analyser en détail ce qui pourrait être le vice profond du système, vice que vous attribuez simplettement à l’intérêt. Bien sûr si je vous explique que le plus gros problème n’est pas dans cette rémunération, vous allez en profiter pour me qualifier de défenseur des affameurs du peuple. Ce n’est pas grave, j’ai la faiblesse de croire que les gens savent lire.

              Alors je vous explique mon point de vue. Le plus grave problème est à la base, de considérer que la monnaie scripturale est un moyen de paiement totalement équivalent à de la monnaie de cours légal, ce qui est évidemment et objectivement faux et ne soutient que par un mécanisme subjectif de confiance. La valeur d’une reconnaissance de dette est directement dépendante de l’espérance d’être remboursé. Elle ne constitue donc pas un moyen de paiement universel comme peut l’être la monnaie. Un autre problème est où va et à quoi sert la masse monétaire créée par le système de réserve fractionnaire. Est-elle revertie dans l’économie réelle ou bien ne sert-elle pas à alimenter la foire aux enchères de la spéculation sur le marché financier international ? Ce sont les questions que je me pose et auxquelles les gens comme vous ne répondent que par un valeureux et irresponsable « brûlons les banques et les banksters ».


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 15:07

              Au fait, Olivier Pastret, je ne connais pas. Il y a bien un Olivier Pastré mais je n’ai pas parlé de lui, sinon de Paul Jorion, par exemple. Pourquoi ne prenez-vous pas le bout par ce qu’expose ce dernier ? En plus, je vous ai livré, gracieusement sur un plateau, quelque chose qu’il contesterait sûrement. Je vous laisse le chercher vous-même.


            • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2011 15:19

              mor aucon,

              à vos sophismes, il faut ajouter l’enfumage présomptueux ou insolent, ou les deux qui enrobent vos discours aussi sûrement que la graisse le cochon.

              Comme je suis de bonne volonté - vos insultes sont pour moi une sorte d’hommage du vice à la vertu -, j’ai relevé ceci, je cite : « Le plus grave problème est à la base, de considérer que la monnaie scripturale est un moyen de paiement totalement équivalent à de la monnaie de cours légal, ce qui est évidemment et objectivement faux et ne soutient que par un mécanisme subjectif de confiance »

              Sophisme encore ! Bien évidemment que la monnaie scripturale n’est pas équivalente à de la monnaie de cours légal ! Mais aussi longtemps que le système fonctionne, il est possible aux détenteurs de convertir l’une en l’autre, et ainsi de reporter les conséquences de la différence de nature sur l’ensemble des acteurs économiques ! Et ils ne s’en privent pas.

              C’est peut-être ce que vous vouliez exprimer dans le dernier § de votre blabla ci-dessus, mais comme vous êtes prisonnier d’un style grand-guignolesque qui n’a pour but que de masquer votre ignorance, cela n’est pas du tout limpide.

              Et donc, quand vous prétendez que je ferais le mal de ceux que je dis défendre, c’est seulement un effet de votre vision biaisée par vos propre contradictions, et dont je vois l’origine dans ce pseudo sutpide « mort aux cons ». Vous êtes venu ici pour bouffer du con, et vous sautez sur tout ce qui bouge autrement que les mandarins qui ont tenté de vous « former » à leur image.

              Ceci dit, vous ne seriez pas le premier qui vient sur ce forum faire semblant d’en connaître, et qui en profite pour comprendre ce qu’il n’a pas compris en classe ! Mais drapé dans le costume d’un savant qui parle à la plèbe, orguiel oblige. Bref, ce qu’il y a ici de plus ignoble.

              Pastré, oui, si on veut. Je ne vous ai pas attendu pour lire Jorion. Et je n’aurais pas la prétention d’en parler ici dans une langue qui tient davantage de Lacan que de Jorion : une langue de faux-cul, en l’occurence.

              L’intérêt de diffuser ici les idées des grands auteurs, c’est d’essayer de le faire dans une langue simple, celle que du haut de votre prétentieuse personne vous désignez par simplette. Vous ne trompez probablement que vous-même.


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 18:02

              Bon d’accord, mais de la banque on en parle quand ?


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 18:16

              Quand vous dites que la monnaie scripturale n’est pas considérée comme équivalente à la monnaie de cours légal, je me demande si vous avez quelquefois lu un quelconque économiste. La position défendue par la majeure partie d’entre eux et, bien évidemment par les banques est justement celle de considérer que la monnaie scripturale créé par le système de réserve fractionnaire est de la monnaie et point barre ( pour eux ).

              Alors, de quoi est-on entrain de parler ? Du volume d’essence nécessaire pour foutre le feu au système financier ou de quelles réalités doit-on obliger celui-ci à se rendre compte pour cesser d’envenimer la finance ? Ou bien considérez-vous que la finance n’est pas un mécanisme nécessaire ? Je ne sais plus avec vous et je m’attends à tout.


            • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2011 18:54

              Bon,

              malgré ma répugnance à répondre à un interlocuyeur faisant preuve d’une aussi évidente mauvaise foi et qui d’un post à l’autre change de position - c’est l’habitude de ceux qui cachent leur ignorance sous un langage abscon -,

              je répondrai par une question : est-ce vous ou votre double qui a écrit ci dessus : « Le plus grave problème est à la base, de considérer que la monnaie scripturale est un moyen de paiement totalement équivalent à de la monnaie de cours légal, ce qui est évidemment et objectivement faux et ne soutient que par un mécanisme subjectif de confiance. »

              Pour ma part, je pense avoir levé l’ambiguïté quant à cette question qui ne me pose aucun problème.

              Peut-être n’avez vous pas percuté que plus personne ne fait la confusion entre l’argent créé ex-nihilo, et les intérêts perçus sur cette création. Tout le monde sait, sauf vous peut-être, ou alors depuis peu, que, quand la banque prête une somme, ce n’est qu’une écriture, et les remboursments de cette somme sont « détruits » au sens qu’ils n’entrent pas dans le circuit.

              Mais, les intérêts perçus par la banque sont bien des espèces sonnantes et trébuchantes : il y a bien là, à la fois transfert de richesse et, quoi qu’on en dise, nécéssairement création d’argent ex-nihilo, puisque l’emprunteur rembourse plus qu’il n’a emprunté.


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 20:48

              Il n’y a aucune ambiguïté, c’est une malheureuse réalité, théorisée par bon nombre d’économistes et que les banques et tout le système néolibéral actuel tiennent à défendre bec et ongles. Vous n’avez donc rien levé du tout, ni vous ni personne puisque seule une réforme bancaire pourrait le faire. Seuls quelques économistes depuis pas très longtemps ont osé commencé à envisager des réponses claires et précises sous forme de réforme. Les altermondialistes, non. Si vous me mentionnez à Von Mises, là je ne joue plus. Ce serait de la triche caractérisée de votre part puisqu’il allait dans le sens diamétralement opposé à ce que vous prétendez. Quoique si ça se trouve, vous aimez bien les théories intuitives de l’école économique psychologique de Vienne. Attention c’est un piège.

              Quant à la confusion entre intérêts et création monétaire ex-nihilo, je ne sais pas ce que c’est et de toutes manières ni les uns ni l’autre, n’ont rien à voir avec la considération de monnaie de cours légal de la monnaie scripturale. Vous faites un amalgame qui rend la chose encore plus incompréhensible à qui voudrait comprendre, alors précisez ce que vous voulez dire.

              Les remboursements ne sont pas détruits, que racontez-vous là ? C’est la masse monétaire scripturale, créée au moment du prêt, qui se détruit parfaitement lors de son remboursement. Alors précisez cela aussi, si ce n’était pas ce que vous vouliez dire.

              L’emprunteur rembourse plus mais aussi plus tard, cela vous aurait-il échappé ?

              Alors, pour parler de quelque chose de consistant parlons de ce terme création ex-nihilo. Tel comme le présente le documentaire que vous continuez à défendre, ce terme est excessif. La monnaie scripturale représente belle et bien une richesse. Du calme je m’explique.

              N’importe quel prêt vers l’économie réelle, c’est à dire un prêt à une entreprise, hypothécaire ou même à la consommation représente une promesse de richesse : l’entreprise qui va se monter, la maison qui va se construire, le bien qui va se consommer. Il est donc excessif de l’utiliser dans le sens où le fait le pseudo documentaire artistique. Voilà vous pouvez bondir.


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 20:57

              Pardon, j’avais oublié de vous donner des billes pour me répondre car vous allez vous planter en ne parlant que de coefficient de réserve. Il existe aussi un coefficient multiplicateur du crédit qui change singulièrement la donne de Grignon. Au fait, pourriez-vous vous définir clairement par rapport à ce documentaire ?


            • Francis, agnotologue JL 17 juillet 2011 22:07

              mor aucon,

              ma répugnance à répondre à un interlocuyeur faisant preuve d’une aussi évidente mauvaise foi et qui d’un post à l’autre change de position - c’est l’habitude de ceux qui cachent leur ignorance sous un langage abscon -, est venue à bout de ma patience.

              Game over.


            • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 23:11

              Oui, ce sera le mieux, grand maître des chiffres et des lettres et de la philosophie, aussi.


            • fhijk 16 juillet 2011 12:18

              excellent article

              en fait, la dette bénéficie aux créanciers, aux nantis, dont les intérêts sont défendus avec ces individus !

              Hollande est un faux socialiste


              • flesh flesh 16 juillet 2011 14:56

                Ah que le mot socialisme a été sali. En france il signifie partenaire de la finance internationale, aux States il signifie Goulag. Quel dommage, un si beau mot pour une si belle idée.


              • fhijk 16 juillet 2011 15:47

                le mot libéralisme aussi a été sali

                aujourd’hui c’est synonyme de néo-conservatisme, de néo-féodalité !


              • Mor Aucon Mor Aucon 16 juillet 2011 19:10

                Ne confondez pas le libéralisme économique qui prône la liberté totale des marchés et donc promeut un libéralisme politique extrême en ne concédant à l’État que le rôle de veiller au respect de la propriété privée avec le libéralisme politique qui est un spectre très large d’idées visant à la protection des libertés individuelles des abus de pouvoir que peuvent commettre les États autoritaires.


              • Robert GIL ROBERT GIL 16 juillet 2011 13:00

                la dette c’est un systeme tellement simple que c’est veritablement du grand art ....

                http://2ccr.unblog.fr/2010/10/16/la-dette-de-la-france/


                • Mor Aucon Mor Aucon 16 juillet 2011 19:21

                  C’est sûr que le tract que vous publicisez est simple. Tellement simple qu’il n’est que simplet.

                  Sans dette publique l’État ne peut financer aucune politique sociale, de construction d’infrastructures, de plans à moyen et long termes, etc... dignes de ce nom. Il vivrait au jour le jour. Ça oui, c’est simple. Les riches n’auront pas de problèmes pour se financer sans emprunter ou à emprunter sans problèmes puisque l’on ne prête qu’à eux. Les autres devraient attendre d’être au bord de la mort pour vivre décemment si toutefois ils en ont le temps.

                  Rendez un service à l’humanité et réfléchissez cinq minutes avant de proférer des énormités.


                • suumcuique suumcuique 16 juillet 2011 13:19

                  Tous ceux qui ont contribué à l’endettement faramineux de la France depuis 35 ans sont les premiers à demander une réduction de la dette publique, dès que les élections approchent. Bayrou - membre de la Commission Trilatérale jusqu’en 2005, proche des loges et dont le MODEM est allié aux « libéraux » de l’ALDE au pseudo-parlement européen - ne fait pas exception à cette règle.

                  "Dans 69,70 % des cas, les votes du Parti socialiste européen (PSE, où siège le PS français) et du Parti populaire européen (PPE, où siège l’UMP) sont les mêmes. Mais la convergence avec le PPE est encore plus forte du côté des élus de François Bayrou. Dans 77,13 % des cas, l’Alde (où siège le MoDem) vote comme la principale composante de la droite européenne. Même le groupe dans lequel siègent les communistes vote à 41,36 % avec le PPE…

                  L’art du compromis...

                  Des statistiques qui montrent qu’effectivement, le clivage droite-gauche si prégnant sur les bancs de l’Assemblée nationale s’estompe au Parlement européen."http://www.leparisien.fr/abo-politique/qui-a-vote-quoi-a-strasbourg-06-06-2009-538737.php


                  • airlane 16 juillet 2011 14:28

                    C’était lui ? il a tellement maigri que je ne l’avais pas reconnu dis donc !


                  • flesh flesh 16 juillet 2011 15:07

                    T’inquiète Calmos le prochain Sarko ne sera pas lui mais Valls, car il a été choisi par le système.

                    Au fait, c’est bien d’avoir éteint ta télé mais qu’est-ce qui t’as pris de l’allumer ?

                  • Nestor 16 juillet 2011 14:07

                    Salut Calmos !

                    « Personne ne lui a dit au Flamby que les Pyrénées c’est pas la Chaîne des Puys ? »

                    Et que la Corrèze c’est pas l’Auvergne.

                    Apparemment il n’y a pas que les choutés sur leur branques qui pédalent dans la semoule.

                    En fait, pour certains pas vraiment besoins d’être chouté pour être branque ...


                  • Nestor 16 juillet 2011 14:10

                    A oui Calmos juste oublié de te dire qu’aujourd’hui on est samedi et pas dimanche ...

                    T’as l’air fiévreux aujourdhui vieux !


                  • Nestor 16 juillet 2011 15:45

                    « Hé ...Banane... »

                    Détend toi Biff sinon tu vas encore finir dans un tas de merde, remarque ça ne te changera pas beaucoup vu que tu dis que t’y a passé 44 années ...


                  • Bourrel 16 juillet 2011 17:47

                    Vous n’avez que mépris pour ceux qui puent la sueur..

                    Non, mais tu devrais aller te laver, car ça sent vraiment le fauve ici..... smiley


                  • Nestor 16 juillet 2011 21:04

                    « Vous n’avez que mépris pour ceux qui puent la sueur »

                    Pauvre bouffon va !

                    Tu dis que je n’ai que du mépris pour ceux qui pu la sueur, mais t’es le premier à pleurer d’avoir passé 44 années dans la merde.

                    Moi tout les matins je me lève à 4 heure pour faire mon taf parfois les samedi comme les dimanche et je te garantie qu’il est physique comme psychique mon taf, même si je ne gagne pas beaucoup par rapport à ce que je fais, ben contrairement à toi j’en suis fier de mon taf, je ne dirais jamais que c’est de la merde et ne suis en rien jaloux des autres. 

                    Va pleurer ailleurs !

                    Tu transpires le contraste !


                  • Nestor 16 juillet 2011 21:10

                    « Ton champs d’honneur à toi c’est une fosse à purin »

                    Si tu savais vraiment de quoi tu parles tu te tairais !


                  • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 16 juillet 2011 21:49

                    Calmos. On a pas encore vu ton pote Sarkozy sur le Tour. Il craint les huées et les sifflets ?


                  • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 16 juillet 2011 21:56

                    Remarque, vu que ce sale type fout en l’air tout ce qu’il touche, il vaudrait mieux ne pas le voir ramener sa fraise cette année. Surtout au moment où un Français va (peut-être) remporter le Tour.

                    J’espère qu’un voyage officiel est prévu pour éloigner le petit névrosé, loin, très loin.

                     smiley


                  • Nestor 16 juillet 2011 22:17

                    Salut paechy !

                    « Calmos. On a pas encore vu ton pote Sarkozy sur le Tour. Il craint les huées et les sifflets ? »

                    Se faire huer sur le tour de France c’est perdre 10 % dans les sondages le lendemain tu ne risques pas qu’il y aille ...


                  • Nestor 16 juillet 2011 22:18

                    Peachy → sorry !


                  • le journal de personne le journal de personne 16 juillet 2011 14:34

                    Royal et son rival

                    Elle : je t’ai toujours trouvé vieux jeu… mais en fait, tu es puéril
                    Lui : tu ne sais pas te battre… et tu seras battue
                    Elle : je ne sais pas me battre, mais te battre… ça je le sais !
                    Lui : le politique c’est du crédit et tu es la moins crédible des deux
                    Elle : tu es charitable… mais j’ai le numéro de la grâce sur mon portable
                    Lui : mais ton abonné va expirer avant le 22 avril 2012.

                    http://www.lejournaldepersonne.com/2011/07/royal-et-son-rival/


                    • LE CHAT LE CHAT 16 juillet 2011 15:03

                      Mais que fait donc Jean Pierre Pernaud ???? il y a de quoi faire une émission spéciale de combien ça coûte avec ce scandaaaale !  smiley  smiley  smiley


                      • suumcuique suumcuique 16 juillet 2011 15:50


                        "La France débloquera pour la Côte d’Ivoire trois milliards d’euros, sous forme d’aide et d’allègement de dette, à partir de la mi-2012, cela en plus des 400 millions d’euros déjà promis depuis la chute de Laurent Gbagbo, a déclaré vendredi François Fillon."


                        • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 16 juillet 2011 22:14

                          1998, 1999, 2000 et 2001, avec cette déclaration de Jospin qui paraît improbable aujourd’hui  : « Je préfère être responsable d’une cagnotte que d’un trou dans la caisse ».

                          « Une « cagnotte » fiscale de 50 milliards en 2000. Et cela continue. La « cagnotte » fiscale du gouvernement Jospin ne cesse de grossir au fil des mois, grâce à la hausse des prélèvements qui atteignent 45,7 % du PIB, grâce à l’accélération de la croissance, grâce également à la diminution du chômage et à l’augmentation des rentrées de cotisations sociales. Si bien que la « cagnotte 2000 » pourrait atteindre quelque 50 milliards ». Lien, L’Express.

                          Mais bon, les gens ont préféré ne pas voter pour lui et confier le pays aux excellents gestionnaires de l’UMP.

                           smiley


                        • Mor Aucon Mor Aucon 16 juillet 2011 16:58

                          il faut faire attention quand on fait un parallélisme entre dette publique et dette privée. Le dette publique est nécessaire à la bonne marche de l’économie d’un état soucieux de sa population, spécialement la moins favorisée. La recherche de l’équilibre budgétaire parfait, par le biais de l’austérité sur le dos de toujours les mêmes, est un leurre ne favorisant que la spéculation financière.

                          Les États se doivent de financer leurs politiques sociales, cela n’est possible que par le biais de la dette. Ce qui ne veut pas dire qu’il faille laisser celle-ci atteindre des sommets faramineux ni, non plus, qu’elle se puisse se constituer n’importe comment et être manipulée sur le marché financier international comme s’il s’agissait de vulgaires valeurs boursières. Ce sont des politiques sociales dont l’économie de millions de personnes dépend ce qui est manipulé via le système d’assurance des crédits (CDS). La stigmatisation de la dette ne sert que les intérêts de la spéculation qui cherche à se faire rembourser, la même qui a déclenché la crise financière internationale à cause de leurs produits à la limite ou carrément en plein délit économique caractérisé. Les politiques d’austérité que l’on rabâche à longueur de journée ne visent qu’à rassurer et épargner les capitaux qui continuent à rouler à la vitesse du marché continu autour du globe, en provoquant tous ces ravages sociaux dont les États-Unis eux-mêmes sentent les effets.

                          Qu’attend-on pour promouvoir l’austérité de la finance internationale qui impliquerait un frein réel et durable à la spéculation ?

                          Il y a des mesures claires à exiger afin de redonner un peu de bon sens à cette foire de financiers fous qui ne font plus la différence entre financer et spéculer :

                          - création d’une référence monétaire internationale, du type Bancor ( proposé par Keynes il y a plus de 60 ans et saboté à Bretton Woods par la cupidité de la haute finance ).
                          - création d’une chambre de compensation par laquelle transiteraient tout les échanges commerciaux internationaux ( qui éviterait, entre autres, les tentations protectionnistes primaires qui plongeraient les populations encore plus profond dans le marasme ).
                          - interdiction formelle sous peine de sanction graves et effectives des paris sur la fluctuation des prix ( en quelques secondes, un capital peut rapporter un bénéfice substantiel à son détenteur sans aucune création réelle ni financement quelconque de création de richesse, déséquilibrant des pans entiers du marché de la finance destiné à cette création )

                          Ce sont les propositions que l’on peut trouver détaillées sur le blog de Paul Jorion, par lui et l’équipe d’économistes qui le soutiennent. On peut ne pas être d’accord avec toutes ses idées et analyses mais ces trois points cités ne me semblent contestables que si l’on fait soi-même partie du groupe des spéculateurs financiers qui appauvrit toute l’humanité au galop.


                          • Roosevelt_vs_Keynes 17 juillet 2011 12:09

                            @ Mor Aucon

                            "- création d’une référence monétaire internationale, du type Bancor ( proposé par Keynes il y a plus de 60 ans et saboté à Bretton Woods par la cupidité de la haute finance )."

                            Il ne faut pas tout mélanger.

                            C’est Franklin Roosevelt qui a mis le sujet de l’empire britannique Lord John Maynard Keynes en échec à la conférence de Bretton Woods de 1944.

                            Ce dernier voulait instaurer une monnaie mondiale – le bancor contrôlé supra-nationalement -, qui aurait signifié la fin de la coopération d’Etats-nations souverains au profit d’un Empire britannique devenu mondial : la « mondialisation ».

                            Mais c’est la proposition de Harry Dexter White, l’émissaire de Roosevelt à Bretton Woods, qui réussit à imposer à cet Empire de La City de Londres son pire cauchemar : l’instauration de taux de changes fixes entre nations souveraines, disposant du droit d’émettre du crédit pour développer la biosphère et l’infrastructure humaine au niveau mondial, piste de décollage pour l’exploration commune de l’univers. En un mot : la poursuite de l’aventure humaine.

                            Des milliards de dollars furent alors dépensés pendant les décennies suivantes pour 1) détruire les linteaux de Bretton Woods, 2) détruire l’arme du Glass-Steagall et, le plus important de tout, 3) créer le terreau culturel qui ferait en sorte que plus jamais l’humanité n’aurait ni le désir ni la volonté de prendre le risque de découvrir les lois qui régissent l’univers.

                            La plus grande erreur des économistes baby-boomers, c’est qu’ils n’ont toujours connu que Keynes, économiste fasciste qui souhaitait ouvertement l’avénement d’un Etat totalitaire. Il n’est qu’à lire la préface à l’édition de sa Théorie, publiée en 1936 dans l’Allemagne nazie.

                            "- création d’une chambre de compensation par laquelle transiteraient tout les échanges commerciaux internationaux ( qui éviterait, entre autres, les tentations protectionnistes primaires qui plongeraient les populations encore plus profond dans le marasme ).« 

                            Vous tentez, en un qualificatif - »primaire« - de stigmatiser ce qui permit les 30 Glorieuses, à savoir un certain protectionnisme, allié à l’émission de crédit productif public et la séparation physique (des bâtiments séparés avec des patrons différents) des activités bancaires.

                             »- interdiction formelle sous peine de sanction graves et effectives des paris sur la fluctuation des prix ( en quelques secondes, un capital peut rapporter un bénéfice substantiel à son détenteur sans aucune création réelle ni financement quelconque de création de richesse, déséquilibrant des pans entiers du marché de la finance destiné à cette création )"

                            Les paris sur la fluctuation des prix est intrinsèquement impossible dans le système d’économie politique hamiltonien, que Franklin Roosevelt renforça avec le principe politique du Glass-Steagall.

                            Le Glass-Steagall c’est l’interdiction au niveau international que les paris spéculatifs aient une quelconque influence sur l’économie réelle. Comment ? D’un côté un établissement bancaire contenant dépôts et permettant le crédit aux PME-PMI, avec une direction et un savoir faire bancaire par secteur économique (batiment, recherche, ponts et chaussées...). Et dans un autre bâtiment avec une direction différente, des gens ou l’établissement spéculatif lui-même qui vont jouer leur argent. S’ils perdent, c’est la faillite. Mais aucun renflouement.

                            Actuellement, la réinstauration du Glass-Steagall est âpement discuté au Congrès US, bien que la presse internationale n’évoque que l’autre partie du débat : faire sauter anticonstitutionnellement (amendement 14 de la Constitution US) le plafond de la dette.

                            Je vous recommande de lire l’intervention d’Eric Verhaghe, ex-patron de l’APEC à la conférence internationale de Rüsselsheim, aux côtés de Lyndon LaRouche et Jacques Cheminade, pour l’instauration du standard bancaire Glass-Steagall au niveau international.


                          • Mor Aucon Mor Aucon 17 juillet 2011 18:52

                            Franchement, je m’excuse mais je n’ai pas du tout l’intention d’entrer dans cette polémique créée de toutes pièces par les larouchistes - et donc une manipulation de plus venant de l’extrême droite américaine - qui lance l’énorme bêtise de dire de que Keynes fut un suppôt de l’impérialisme de la grande-Bretagne. En fait tous ces gens n’ont jamais digéré que les interventions keynésiennes sur l’économie les ont sortis des crises où leur propre ultra-libéralisme les a plongés une fois, encore une fois et ils la refont à chaque fois qu’on les laisse faire. 


                          • Roosevelt_vs_Keynes 18 juillet 2011 10:39

                            "Franchement, je m’excuse mais je n’ai pas du tout l’intention d’entrer dans cette polémique créée de toutes pièces par les larouchistes"

                            Je n’en doutais pas : de mon expérience dans des débats d’économistes, très rares sont ceux qui ont le courage de débattre ouvertement sur ce point sensible : Roosevelt vs Keynes...

                            " - et donc une manipulation de plus venant de l’extrême droite américaine - qui lance l’énorme bêtise de dire de que Keynes fut un suppôt de l’impérialisme de la grande-Bretagne. "

                            LOL Je n’ai jamais parlé de Grande-Bretagne, mais de la Couronne britannique et de son empire. Aujourd’hui, le peuple anglais est loin de faire les louanges de La City de Londres :)

                            Par ailleurs, je me fais un plaisir de citer votre ami Keynes himself, en train de faire l’éloge d’un « Etat totalitaire », en 1936, en pleine Allemagne nazie :

                            « Néanmoins, la théorie de la production conçue comme un tout, qui est ce que ce livre cherche à développer, convient beaucoup mieux aux conditions d’un Etat totalitaire que la théorie de la production et de la distribution de richesses produites dans les conditions de la concurrence libre et d’une large dose de laissez-faire. La théorie des lois psychologiques mettant en correspondance la consommation et l’épargne, l’influence des crédits sur les prix et les salaires réels, le rôle joué par le taux d’intérêt : ceux-ci restent les ingrédients nécessaires de notre schéma de pensée. »

                            John Maynard Keynes, préface à l’édition allemande de la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 7 septembre 1936.



                            "En fait tous ces gens n’ont jamais digéré que les interventions keynésiennes sur l’économie les ont sortis des crises où leur propre ultra-libéralisme les a plongés une fois, encore une fois et ils la refont à chaque fois qu’on les laisse faire."

                            Le Glass-Steagall - qui interdit à la spéculation d’entrer dans la sphère de la vie des peuples - c’est Roosevelt, pas Keynes. Aujourd’hui, c’est LaRouche aux USA, Tremonti en Italie ou l’ex-APEC Eric Verhaeghe en France, pas Ben Bernanke, ni Berlusconi ou Aubry :)

                            Le crédit productif public - qui permet à des Etat-nations de bâtir mutuellement leur futur, sans s’en remettre à des intérêts privés - c’est Hamilton puis Roosevelt, pas Keynes.

                            Le New-Deal qui permit d’électrifier les campagnes américaines et de batîr une économie qui pu être, le temps venu, transformée en machine de guerre (et non l’inverse) pour vaincre le fascisme en Europe, c’est Roosevelt, pas Keynes.


                          • Mor Aucon Mor Aucon 18 juillet 2011 13:29

                            Et maintenant Keynes totalitaire ? Comme Larouche vous y allez avec vos gros sabots pour tromper et manipuler avec une citation hors de contexte dont je suis certain que vous connaissez en fait le sens. Larouche l’utilise pour dire que Keynes voulait donner du communisme à manger à tout le monde. Vous, vous la citez juste après faire de lui un suppôt de l’impérialisme britannique. Vous en êtes ridicule dans votre défense du laissez-voler d’un ultralibéral américain. A t-on besoin d’importer des idioties pareilles d’outre-atlantique alors que nous avons nous les français, une capacité de génuine connerie, dont vous êtes un beau fleuron, déjà incommensurable,  ?

                            Pour ceux qui seraient intéressés par la figure de Keynes et voudraient comprendre pourquoi le libéralisme s’acharne tant sur les écoles dérivées de sa pensée alors que, quand les crises et leur cortège de misère et de menace de révoltes arrivent, tout le monde redevient keynésien à des degrés divers : http://financeeco.e-monsite.com/rubrique,keynes,172626.html


                          • Roosevelt_vs_Keynes 18 juillet 2011 17:13

                            Après les plus gros syndicats d’ouvriers et d’industriels américains, après les appels du pieds russes, chinois et indiens, après que les indignés espagnols et français se soient emparés de cet enjeu, depuis le début de semaine, le retour de la loi Glass-Steagall aux USA, puis son instauration dans le monde entier, est soutenu par Charlie Rangel, le doyen du Congrès américain.

                            Cette loi mettra en banqueroute organisée de la finance spéculative au niveau mondial.

                            Ces développements qui ont eu lieu ces dernières semaines sur le sol américain et au Congrès, dépassent de très loin les contingences relatives aux actions de Roosevelt ou de Keynes.


                          • Mor Aucon Mor Aucon 19 juillet 2011 23:53

                            Justement ces mesures ( Glass-Steagall Act ) que vous dites vont dynamiter la spéculation me paraissent, à mon avis, très insuffisantes. C’est déjà un pas très positif mais si c’est pour s’arrêter là et laisser la spéculation continuer tambour battant, même séparées les banques d’affaires de celles des dépôts, la situation reviendra plus ou moins au même. La finance spéculative trouvera toujours le moyen de ponctionner les capitaux là où ils se trouvent. D’ailleurs ce semblant de réforme positive peut devenir l’ennemi d’une vraie réforme du système financier dans le sens où elle a le pouvoir d’apaiser les velléités de réforme profonde. Il faut vraiment remettre en cause la possibilité qu’a actuellement la spéculation d’influencer les marchés en pariant sur le comportement des prix. Au bout du compte, c’est tout simplement un problème de principe. Où résiderait la légitimité des abus provoqué par l’interprétation néolibérale de la liberté économique ? Pourquoi accepter la loi du capital le plus concentré qui ne finance plus rien à part une énorme spirale spéculative ? A quoi sert un capital qui ne finance pas les efforts de création de biens et de services et qui quand tout éclate, réclame de payer les pots cassés à ceux-là même qu’il a refusé de financer  ? Je sais ce sont des reproches très naïfs, mais c’est le produit d’une question simple : à quoi sert l’économie ? Keynes ( encore lui, désolé ) disait qu’à éradiquer la pauvreté. On est vraiment sur le bon chemin, ça oui, on peut le dire. A ce rythme là il ne reste plus un pauvre vivant en dix ans.


                          • neurone 16 juillet 2011 18:38

                            ../...

                            Les intérêts et l’argent est bien récupéré par quelques-uns ... !? Evidemment, ce cinéma de la dette c’est pour amuser la galerie et faire payer au peuple les bureaux des vols organisé, en traders, banques & cie !!! Avec l’appui des politique !!! Etonnant comme on n’évoque si peu les bénéficiaires !?

                            Abe ... Neurone !


                            • Taverne Taverne 16 juillet 2011 19:28

                              Hollande se réveille subitement (il doit lire Agoravox...) : "Lorsque Nicolas Sarkozy est arrivé à l’Elysée, le déficit budgétaire était d’à peine 50 milliards d’euros et la dette publique d’environ 65 % du PIB. Aujourd’hui le déficit avoisine les 100 milliards et l’endettement représente plus de 85 % du PIB. Ce n’est plus la faillite dont parlait François Fillon, c’est la banqueroute." (Le Monde)

                              Et pour le musée de Sarran ?


                              • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 16 juillet 2011 23:40

                                Le musée de Sarran est un projet validé et voté par ses prédécesseurs de l’UMP.


                              • Peachy Carnehan Peachy Carnehan 16 juillet 2011 23:56

                                Tu ne voulais tout de même pas qu’il ordonne l’envoi de bulldozers pour raser le musée ? Tu imagines l’image de son département de la Corrèze après un tel forfait...
                                Flamby n’est pas Staline qui faisait dynamiter les églises, ou un laudateur des talibans qui ont fait exploser les bouddhas géants de la falaise de Bamiyan. Ce pauvre Hollande a juste hérité de la gestion désastreuse et mégalo du clan Chirac.


                              • Taverne Taverne 17 juillet 2011 11:26

                                Oh non, je n’en attends pas tant de Hollande ! smiley En fait, je n’attends de lui aucune décision courageuse...


                              • suumcuique suumcuique 16 juillet 2011 19:50

                                La Corrèze étant le département le plus endetté de France ("http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/30/980259-La-Correze-est-le-departement-le-plus-endette-de-France-le-musee-Chirac-perd-de-l-argent.html) nul doute qu’Hollande impressionne Rothschild & Co, les propriétaires de la France


                                • platon613 16 juillet 2011 20:26

                                  Nous sommes les prochains à sombrer... A lire

                                  Obama face à l’inénarrable déclin de l’empire américain

                                  Comment les Etats-Unis en sont-ils arrivés là ? Comment se fait-il que le pays le plus riche et le plus fort de l’histoire, qui a été victorieux durant la Seconde Guerre mondiale et durant la guerre froide, se soit aussi vite rapproché de l’état de l’empire espagnol ou britannique lorsque ceux-ci ont entamé leur déclin ?

                                  http://www.news-26.com/econmie/807-...


                                  • Roosevelt_vs_Keynes 17 juillet 2011 12:16

                                    "Comment se fait-il que le pays le plus riche et le plus fort de l’histoire, qui a été victorieux durant la Seconde Guerre mondiale et durant la guerre froide, se soit aussi vite rapproché de l’état de l’empire espagnol ou britannique lorsque ceux-ci ont entamé leur déclin ?« 

                                    Si je puis me permettre, vous posez la question à l’envers. Demandons-nous plutôt »comment se fait-il que les Etats-Unis aient pu devenir le plus fort de l’Histoire, ait été victorieux durant la Seconde Guerre mondiale et durant la guerre froide, pour tomber ensuite à nouveau dans le giron de la Couronne britannique ?« 

                                    Inspiré du courant platonicien ayant créé les Etats-Unis contre l’Empire britannique, j’ai publié »Dis, papa, à quoi ça sert les Etats-Unis ?"


                                  • slipenL’air 17 juillet 2011 14:40

                                    SLT taverne

                                    a propos de braquage

                                    Le vol légal c’est la nouvelle norme
                                    Le prix de l’or ne cessant de monter trompeusement/mensongèrement et, certains États
                                     du monde étant à court (?) de liquidités, le vol est désormais reconnu comme étant
                                    un acte honnête ! folie qui va vraisemblablement faire de tous voleurs incarcérés en
                                    prisons de tous pays des gens remarquables, des modèles lavés de toutes accusations
                                     fallacieuses au devenir d’être les ministres ou chefs d’Etat de demain !!

                                    Le Trésor Public de la Libye est maintenant aux mains des escrocs rebelles étrangers
                                    (introduits illégalement) officiellement reconnus comme étant les nouveaux dirigeants
                                     de la nation nord-africaine !! Après l’envol des prix sur les métaux précieux
                                    (de l’or au cuivre) où cette situation désastreuse/conflictuelle et fort anormale
                                    s’est traduite par des vols répétés par cambriolages et agressions dans la rue,
                                    les richesses reconnues convergeant désormais vers un seul et unique coffre
                                    contre papier-monnaie sans aucune valeur !
                                    Le fait de savoir que tous les voleurs sont armés cela ne choque personnes depuis
                                    la nuit des temps, à la différence qu’il y avait jusqu’alors ’les bons et les méchants’
                                    (même si le terme de ’bons’ a toujours était questionable) ; notre éducation
                                    (même sommaire) nous a toujours désigné que de commettre un méfait n’était pas
                                     bien et susceptible d’être condamné par la loi appliquée par les tribunaux ;
                                    mais, de là au devoir dorénavant de se soumettre à la volonté du voleur (comme de l’assassin),
                                     c’est là un pas qui a été franchi ! Franchi légalement !
                                    Suite aux ’faillites’ bancaires où l’argent des contribuables a soudainement disparu
                                    des coffres ! un certain pays terroriste va jusqu’à vider les comptes retraites des
                                    travailleurs ! pour s’en approprier les biens qui ne lui appartiennent pas afin que
                                    les dirigeants continuent à mener grand train et foutre l’argent par les fenêtres !
                                    D’où la ’sûreté’ que de garder l’argent chez soi, suite à quoi, les cambriolages armés
                                    étant reconnus comme étant parfaitement légaux, votre avenir est donc de ne rien avoir !
                                    C’est là une radicalisation du mondialisme visant à niveler toutes richesses par
                                    le bas plutôt que de faire un monde riche de partout.
                                     Cette mondialisation - vous l’aurez reconnu - tend à faire travailler tout le monde
                                     au salaire substantiel du viatique de traîne-savates où seule sera désormais reconnue
                                     comme monnaie « d’échange » : l’arme (avec ou sans apostrophe).
                                    D’où, la mainmise (cela ne saurait tarder) sur les cartoucheries qui font commerce
                                    des munitions. Donc, nous voilà pauvres où tout investissements sera ’mûrement
                                    réfléchi’ et tout commerces en pas-de-porte en voies de mettre la clé en dessous.
                                    Après le devoir de se passer prochainement de l’électricité ou d’en restreindre
                                    la consommation, face au ’choix’ de se la produire individuellement à l’éolienne
                                     ou panneaux photovoltaïques non rentables et le futur très prometteur des centrales
                                     au charbon polluantes à souhait,
                                     les vélos d’appartement ont donc un grand avenir à faire bouillir la marmite.

                                    No Comment – Aux Etats-Unis, les caisses de retraite sont vides…


                                    • le journal de personne le journal de personne 18 juillet 2011 12:58

                                      Il n’y a pas de salut… il n’y aura pas de salut
                                      Ni pour les pays déficitaires comme la Grèce ou l’Espagne
                                      Ni pour les pays lacunaires comme la France ou l‘Allemagne
                                      Ni pour les pays totalitaires comme l’Amérique ou la Chine
                                      N’y songez même pas, il n’y a pas de remède pour ce genre de poison… ni de remise pour ce genre de crise.
                                      Nous sommes tous contaminés, irradiés par je ne sais quelle disgrâce divine.

                                      http://www.lejournaldepersonne.com/2011/07/mouvement-vers-le-rien/

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