Tout ça pour éviter une faillite qui serait bénéfique au peuple dans quelques années, et au passage en profiter pour imposer plus de libéralisme (sur les populations, les banques elles, ont le droit à un programme plus socialiste qu’il n’en existe actuellement dans les partis politiques Français).
Au prochain, la même chose arrivera et la contagion sera de rigueur. Certains y voient un laxisme du budget, une population qui vit au dessus de ses moyens... Moi j’y vois la main invisible du libéralisme. Ce monde aurait dû connaître la prospérité, la santé, la richesse (pas seulement financière, tout est relatif, la richesse niveau temps de travail et possibilité de loisirs/voyages), l’éducation et la paix, le tout conforté grâces aux évolutions technologiques. En toute logique, on devrait continuer à travailler autant, voire moins et autant voire moins longtemps, les travailleurs étant remplacés peu à peu par des automates, des ordinateurs et la productivité globale étant accrue, mais tout le contraire s’est produit, il faut travailler plus pour coller aux objectifs du sacro-saint pourcentage.
Tous ces objectifs sont mis de côtés, le seul objectif international est de nourrir le cancer de la finance crée de toute pièces par une oligarchie qui s’en fout plein les poches.
L’enfer est pavé de bonnes intentions.