Je suis parfois abasourdi par l’hypocrisie féministe et homo.
Ces exemples de douceur sont pour l’exclusion. L’exemple extrême en étant Pim Fortuyn, l’homosexuel raciste, assassiné par un écologiste.
Les homos sont soi disant pour la chute des tabous et de l’ordre ancien : ils veulent tous se marier. Va comprendre...
Ils sont tolérants et patati et patata : ils sont allergiques aux hétéros.
Les féministes nous bassinent avec l’égalité : ils veulent quand même que l’homme cède le passage à la femme...par galanterie.
Les femmes sont les égales de l’homme. Je suis entièrement d’accord (je mets en gras pour que les excité(e)s me lâchent avec leur psycho de poubelle) : pourquoi bénéficier de quotas comme dans cette histoire de parité à la con qui est l’exacte réplique de la discrimination positive ?
Puisqu’elles exigent cette égalité, pourquoi ne l’assument-elles que si c’est à leur avantage ? la garde des enfants après un divorce est vue par la femme comme un « droit » automatique...parce qu’elle est une femme.
Avec tout ça, l’argument central des féministes (la plupart du temps moustachu(e)s), est que les femmes sont plus « douces » que les hommes. c’est une illusion d’optique historique : c’est tout simplement qu’elles n’ont pas eu l’occasion de « déployer » leur nature et qu’elles ne sont douces que parce qu’elles sont réprimées.
Si vous avez eu affaire à une femme flic, vous savez de quoi je parle.