Sans compter les professions de plus en plus nombreuses où les femmes sont de plus en plus majoritaires, accèdent aux postes clé et ne recrutent plus que d’autres femmes, des homosexuel(le)s ou des individus « issus de la diversité ».
Il y a encore 5 ans, une certaine partie de l’opinion publique chialait encore parce que, à ses yeux, il était encore loin le temps où les États-Unis aurait un président noir ; l’année suivante, les États-Unis avaient un président noir. De la même façon, si aucune réaction salutaire n’a lieu rapidement, le contrôle des femmes sur les sociétés d’Europe de l’Ouest va bientôt devenir total et, comme la société scandinave, la société française dégénèrera pour de bon en une véritable cloaque gynécocratique, dans lequel l’hétérosexuel de souche deviendra effectivement un citoyen de seconde zone, bien au-dessous de la femme, de l’homosexuel(le) et des individus « issus de la diversité ». Plus les femmes occupent des postes à responsabilité dans tous les domaines, plus, c’est dans l’ordre des choses, l’humanitarisme et l’égalitarisme progressent comme un cancer dans la société, plus des slogans mièvres dignes de concierges ou de vendeuses de poisson comme le « vivre-ensemble », l’« ouverture à l’Autre », etc., polluent l’atmosphère.
L’idéologie romantique des droits de l’homme n’est en réalité qu’un condensé de valeurs féminines. Elles mènent à l’indifférenciation, au chaos.