Reprocher au dossier de l’AFIS de ne traiter qu’une partie de l’argumentaire réopénien n’est pas très honnête, étant l’énorme quantité de points soulevés par les complotistes C’est d’ailleurs une « méthode » assez systématique : quelque soit les réponses apportées aux questions posées par les« truhers », ceux-ci réagissent en posant d’autres interrogation, lançant une course dont il sont sûr de sortir vainqueurs : le contradicteur finira bien par se lasser, noyé sous le déluge.
Pour ce qui est des témoignages, c’est simplement ridicule : d’abord, parce qu’on sait que la mémoire humaine, surtout lors d’évènements traumatisants, est peu fiable, et d’autre part parce qu’il n’y a rien de surprenant dans le fait que des gens aient entendu des grands « boum ».
Autre aspect courant dans le discours réopénien : ignorer les répliques qui lui sont opposés. Alors que Quirant explique longuement l’absence d’articles scientifiques(ou simplement de réponses aux articles publiés) corroborant les thèses réopéniennes sur l’impossibilité de la version habituelle des effondrements, vous continuez à expliquer que de nombreux ingénieurs et chercheurs contestent les thèses classiques.
Ce que vous dites des thèses des truthers démontre clairement qu’ils n’ont pas de scénario clair et précis : combien de quantité d’explosifs nécessaires, placés à quel endroit, combien d’ouvriers participants à l’opération(aucun n’ayant craché le morceau), comment précisément synchroniser les explosions avec la chute, etc...
A part cela, cela n’empêche pas les réopéniens de parler de théorie plus vraisemblable que la version classique.