Commentaire de Spip
sur Quand le philosophe Paul Jorion dépasse l'économiste
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@ l’auteur.
« Il me semble que le chômage de masse est davantage le produit de choix politiques qu’un fait inéluctable consécutif au progrès » Ah oui ? En quoi les politiques ont-ils encore, aujourd’hui, les moyens réels d’influencer les décisions des grandes multinationales ? L’actualité nous prouve, chaque jour, le contraire (délocalisation de la production, transfert de technologies vers des pays low cost, etc.) Le reste est surtout de la gesticulation électoraliste.
Un autre pouvoir (de nuisance) est dans les mains, non plus des capitalistes qui produisent encore quelque chose, mais dans celles des petits génies des produits financiers qui nous ont amené là où nous en sommes aujourd’hui.
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01/08 14:58 - L’enfoiré
"Non, il n’accepte ni les grossiers, ni les provocateurs, ni les téléphoneurs obcènes, (...)
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01/08 00:16 - Antoine Diederick
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31/07 23:45 - Antoine Diederick
les repentis sont souvent ceux qui ont éprouvé la désillusion , le choc est si terrible (...)
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31/07 23:34 - Antoine Diederick
enfin oui, l’Etat vire quelques uns de ses citoyens, les chômeurs....mais ce n’est (...)
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31/07 23:31 - Antoine Diederick
oui mais Paul Jorion arrive en retard.... le scénario actuel avait déjà été pressenti il y a (...)
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31/07 23:22 - Antoine Diederick
Enfoiré, l’Etat n’est pas une entreprise....mais le libéralisme voudrait bien le (...)
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