Le simple citoyen était fou de bonheur de voir un homme important arrêté à la suite de la plainte d’une femme de ménage !
Voilà Madame Walter en interprète des « simples citoyens » ; elle a certainement reçu un mandat pour ça ; il faudra qu’elle nous dise lequel ?
Parce que pour affirmer que « le simple citoyen était fou de bonheur de voir un homme important, etc.... », il faut vraiment :
- et d’une prendre le « simple citoyen » pour un pauvre con frustré, à qui il suffirait d’une affaire de cul médiatisée, pour oublier tous ses problèmes, et être brusquement « fou de bonheur »
- et de deux , prendre ses propres désirs pour la réalité.
De fait, Madame Walter ne fait ici qu’exprimer son propre sentiment, d’ailleurs particulièrement instructif sur sa nature profonde de grande frustrée, qui n’aurait comme « source de bonheur fou », que la nouvelle d’un personnage puissant arrêté par la police, pour une affaire de cul...
Je plains de tout coeur Madame Walter, ses frustrations, son obsession lancinante sur cette affaire, dont la très grande majorité des Français n’ont strictement rien à foutre (ils ont bien d’autres problèmes, que le jugement rendu pour cette affaire , dans un sens ou dans l’autre, ne résoudra pas), son acharnement inouï (combien d’articles, déjà, sous sa plume pour cette affaire) à prononcer une sentence sans pitié, avant que la justice se soit prononcée, qui ne fait que traduire le vide abyssal de sa vie...
Mais je lui dénie toute légitimité à parler au nom du « simple citoyen » ; surtout pour étaler sa rancœur, sa haine, son inépuisable mauvaise foi, et sa capacité de s’ériger, sans preuves, sur le seul fondement de sa propre conviction, en juge d’une férocité à faire passer le moindre procureur sarkozyste pour un agneau d’herbe tendre, et la justice pour le lieu de règlements de compte...
Madame Walter, contentez vous de parler en votre nom ; ne mêlez pas à votre propre indignité des gens qui ne le méritent pas.
Merci d’avance.