Je suis parfaitement d’accord que l’on voudrait nous imposer comme modèle de société et de rapports amoureux le priapisme débridé de DSK comme si c’était la norme ou alors juste une sorte de Don Juan assez glorieux.
Je suis parfaitement d’accord que DSK ne pouvait en aucun cas être le candidat du PS.
Je sui d’accord que Sarkozy a sa part de responsabilité en nous faisant payer, en plus à nous, sa campagne au FMI et sa nomination.
Le combat que je mène ici est aussi et surtout de poser des questions et de ne pas avaler tout cru ce que nous offre en pâture une presse française fainéante, partiale, malhonnête. Dans n’importe quel métier ils seraient déjà à la porte depuis longtemps pour incompétence ou manque de déontologie ou faute professionnelle.
Les journalistes français se font une idée des choses (et souvent en commun) et ensuite tordent le cou aux faits pour les faire cadrer avec leur idée initiale. Ils n’ont strictement aucun recul, ils sont copains comme cochon avec les financiers (Takieddine par exemple), les politiques (combien sont dans le lits les uns des autres ?), se font offrir des vacances, participent à des dîners d’une l’élite de cooptés qui n’a rien à voir avec l’élite réelle, celle des vrais artistes, des vrais philosophes, des savants et chercheurs, des humanitaires.