Antoine,
Comme je l’ai dit plus haut, Paul a le mérite de remonter aux sources des problèmes de l’économie capitalisme.
Je n’ai plus son livre en mémoire, mais Aristote, la Révolution française doit s’y trouver.
Son problème, c’est qu’il croit que personne n’a de notion de l’économie.
Qu’ainsi, il va secouer le prunier avec les prunes bien mûres, comme si les prunes en poussant n’avaient pas eu le temps de voir se qui se développaient autour d’elles ou que c’était la première fois que le prunier avait fait sa floraison.
Quand l’arbre, se meurt. Il a intérêt de se reproduire au plus vite, au mieux de sa forme avant qu’il ne soit trop vieux. En un mot, il doit préparer sa succession.
Est-ce cela son agonie du capitalisme ?
Une version sans suite ? Un prunier qui devient pommier ?
Son blog, je le connais depuis longtemps.
Je lui ai parlé plus d’une fois, commenté, sans réponse structurée, comment il vivait en Californie, « là où il est allé quand il faisait faim », comme il disait dans un de ses articles.
J’hésite à le nommer comme un repentis du système ou un imaginatif par personnes interposées (qu’il trouve dans son blog).
Je suis très sévère en disant cela. Je le sais.
Les articles que j’ai écrit sur lui, ont été lu par lui. Il n’y a jamais pris la moindre attention.
La bonne parole vient de lui et de son lieutenant Alexandre.
Et, là, je ne suis plus d’accord.