du flan, comme tout ce qu’a pu toucher Gates.... le TWR est son Zune, puissance un milliard.
« Le concept du TWR remonte à soixante ans et les physiciens du monde l’ont réactivé dans les années 1990 »...
je ne parie pas sur une cuve contenant de tels produits pendant 60 années. Le TWR ; ça s’appelait SuperPhénix en France, et on l’a ...arrêté.
résultat = « Dix ans pour la construction, trente pour la déconstruction. La durée de vie utile de Superphénix n’aura été que de onze ans. Mais l’histoire de l’emblème du nucléaire à la française est loin d’être terminée »
La mémoire des lieux, des actions, comme celle des savoir-faire, reste un enjeu capital. Dans la mesure où les matières traitées entrent dans un système de circulation, il est essentiel de s’interroger sur leur destination. Par exemple, des incertitudes demeurent quant aux blocs de béton issus du sodium de Superphénix. Que deviendront-ils dans trente ans ? Qu’adviendra-t-il de l’uranium et du plutonium, ces braises de la piscine de Creys-Malville ? EDF se réserve-t-il le choix de considérer ses lingots de combustible comme pouvant servir à un nouveau « rapide » ?
bref, démerdez-vous avec cette merde pendant des siècles. Sincèrement, je n’en veux pas, comme je ne veux pas de Bill Gates, escroc planétaire. Lisez donc ceci, sur lui, ça vous refroidira encore plus....
c’est revenu cet été chez Mediapart...
ce projet déjà réalisé est un danger mondial... que personne n’a vu venir...