@catherine
heu... pour critiquer la loi Pompidou-Giscard (ministre de l’économie
sous Georges), on a pas attendu Soral (Jacques Cheminade en 95, et
surement d’autres avant lui)
@l’auteur
Un parallélisme avec Nietzsche ? Vous y allez un peu fort , mis à part un possible emprunt linguistique, je n’y voit aucun rapport (à ce propos les titres de Nietzsche dans ecce homo ne sont pas au premier degré), il y a une petite différence entre philologie et auto-didactisme...
Pour ma part, je vois Soral comme quelqu’un suivant son intuition (qui selon est bonne ou mauvaise ) et qui s’efforce à justifier son intuition . Je trouve ses commentaires trés interressant mais à mes yeux il ne reste qu’un commentateur de la chose publique comme tant d’autres. Je regrette simplement qu’il soit si honni des plateaux tv et radio car il mérite d’être écouté, voir combattu ( en parlant de ses idées bien entendu) essentiellement par le débat et non par une diabolisation insensée. Le garçon me parait sympathique et son verbe est drôle mais je n’irait pas jusqu’à le voir comme un phare dans une nuit « marine », mais comme un réverbère de métropoles parmi d’autres.Il est pour moi inutile de lever ni la patte ni le bras devant cet éclairage qui comme tout éclairage illumine un endroit tout en rendant plus obscure la zone où la lumière s’arrete.
Lautréamont