• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de morice

sur La Libération (58) : la fameuse « cloche », une tentative ratée de tokamak ou un canular de plus ?


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

morice morice 4 août 2011 11:17

un rappel de votre belle contrée sans gouvernement 

http://transeuropeextremes.com/porte-voix/leon-degrelle-le-« -fils-spirituel-d’hitler- »-continue-a-troubler-la-belgique/

DouSSeur de vivre

Léon Degrelle semble avoir vécu confortablement tout au long de son long séjour en Espagne, de 1945 à 1994. Sous un nom d’emprunt, il connaît dans les années 1950-60 une période faste en Andalousie, à Constantina, village où les habitants illettrés semblent n’avoir jamais entendu parler de la Seconde Guerre mondiale. Il y fait fortune comme promoteur immobilier et développe l’économie locale. « Aujourd’hui, des gens pleurent encore de nostalgie en parlant de ce ‘’seigneur andalou’’ qui les a sortis de la misère », note Korentin Falc’hun, auteur d’une thèse sur Degrelle.

Par la suite, il passera par des hauts et des bas liés à des luttes intestines au cœur du régime franquiste. Degrelle est protégé par les Phalangistes, qui lui sont redevables de l’envoi de quelques volontaires belges aux côtés des troupes franquistes durant la guerre d’Espagne.

À l’inverse, les ministres membres de l’Opus Dei, soucieux de rapprocher l’Espagne du reste de l’Europe, souhaitent l’arrêter et l’extrader vers la Belgique. Il sera en cavale de 1970 à 1973, caché dans divers appartements de Madrid et d’Andalousie.« 


 »Ces images troublantes montrent que ni la défaite de l’Allemagne, ni les années de prison qui suivirent, ni le retour à la vie civile n’ont changé l’état d’esprit de ces hommes. En 2011, Fernand Kaisergruber persiste et signe. « Je suis resté national-socialiste et je ne regrette rien. Au contraire, si je ne m’étais pas engagé dans la Légion Wallonie, toute ma vie, je l’aurais regretté. »

Des propos qui font écho à ceux de Victor Mathys, adjoint de Degrelle à la tête du parti rexiste, et recruteur de légionnaires SS en Belgique durant la Seconde Guerre mondiale. À la sortie du tribunal qui venait de lui signifier sa condamnation à mort en 1945, ses derniers mots furent : « On s’est quand même bien amusés. »"


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès