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Accueil du site > Tribune Libre > La Libération (58) : la fameuse « cloche », une tentative ratée de tokamak (...)

La Libération (58) : la fameuse « cloche », une tentative ratée de tokamak ou un canular de plus ?

Et puis dans l'incroyable gâchis argentin créé par Richter, est apparu progressivement autre chose, au fil de nos recherches. Un autre projet, ayant lui aussi son origine en Allemagne. Ou plutôt de drôles de textes déposés partout, sur un prétendu projet. Une bien étrange apparition, au demeurant, selon ces textes. Celle d'un projet lié aussi aux recherches atomiques balbutiantes, où les escrocs scientifiques, en Allemagne, avaient pu obtenir un certain crédit auprès des nazis, faciles à leurrer, tant ils mélangeaient tout : science et mysticisme, religion et culte de l'individu, notamment. Des proies faciles pour des pseudo-chercheurs, pourvu que ces derniers choisissent un projet... assez démentiel. La démence nazie s'accordait parfaitement avec des projets fous, c'est bien là ce qui explique les dérives constatées dans tous les domaines (celles de Mengele, par exemple). Parmi celles-ci un appareil, qui aurait été emmené en Uruguay ou en Argentine, et que dont on ne sait encore aujourd'hui que peu de choses, à part sa forme. Celle d'une gigantesque cloche, que les nazis auraient baptisé du nom de Cronos, si bien que chez les fêlés amateurs d'histoires insolites, c'est très vite devenu un appareil "à traverser le temps". Place donc aujourd'hui à la cloche nazie (the "nazi bell"), en réalité très certainement une tentative avortée elle aussi de réacteur à fusion nucléaire. Ou plutôt à un canular de plus, comme nous allons le voir.

Revenons-en tout d'abord à notre avion gigantesque, des épisodes précédents ; selon une étude plutôt serrée, il y aurait eu deux modèles de créés de Ju-390, preuves photos à l'appui : le RC+DA avec un fuselage plus court et ayant été équipe pour la patrouille maritime et le GH+HK dotė d'un fuselage plus long et dédié plutôt à des tâches de transport. Reste à savoir où ils auraient pu aller. "Des rapports de renseignement déclassifiés par l'Argentine et la Pologne qui sont récemment venu à la surface, suggèrent maintenant que le second Ju-390 cité aurait volé vers une piste d'atterrissage dans la jungle d'Entre Rios, une province de l'Argentine en mai 1945 et a ensuite été détruit dans un ranch allemand en Uruguay et ses éléments déversés dans le fleuve Parana, à l'emplacement probable d'une jungle ou d'une piste de brousse existante dans le cours supérieur du Parana entre l'Uruguay et l'Argentine, éventuellement autour de Concordia" nous apprend un source. Bigre, si l'on n'avait pas étudié auparavant "l'allonge" de l'engin, on n'y aurait pas crû, pour sûr. Mais via les Açores, puis les côtes du Brésil, cela devient effectivement possible, en tout cas. Il reste néanmoins que c'est fort peu propable, ce démantèlement d'un tel géant des airs (même aujourd'hui avec une pelleteuse on y mettrait des jours, et les morceaux qui subsisteraient seraient encore énormes !) mais bon, continuons un peu plus loin le même chemin... de ceux qui veulent à tout prix nous emmener là où ils veulent. Dans leur pays de contes à dormir debout.

Ce choix d'atterrissage n'était pas totalement anodin, en tout cas, peut-on relever historiquement : on a aussi retrouvé des documents prévoyant l'invasion de l'Uruguay par les nazis, à partir de leur imposante communauté installée sur place, faisant œuvre de cinquième colonne sur place. "L' invasion nazie de l'Uruguay, comme son nom l'indique, ou plan d'invasion d'Uruguay imaginé par les partisans des immigrants allemands de cette idéologie, soutenu par le gouvernement allemand et l'ambassade d'Allemagne à Montevideo, a été développé depuis la fin de 1930 jusqu'au début des années 1940, dans les villes de Salto (Uruguay ) et Concordia (Argentine). Le plan d'invasion nazie de l'Uruguay, a fait partie d'un vaste plan de la pénétration ou l'infiltration vers l'extérieur de l'Allemagne nazie. Une invasion lente, capturant les postes clés de l'Etat, comme cela s'était produit en Autriche, où la cinquième colonne à partir de 1933 jusqu'à l'invasion avait pris les postes de commandement dans le pays. D'abord en Uruguay, puis en Amérique du Sud, le plan serait bien sûr soutenu par le grand nombre de membres du NSDAP immigrés allemands dans la région. Selon Fuhrman, qui a rédigé un plan pour s'emparer Uruguay, les statistiques de résidents masculins allemands était de : Argentine 80 000, Uruguay 8 000 ; Paraguay 15 000, 12 000 en Bolivie, au Chili 20 000, au Brésil 100 000..." Pour l'Argentine, on le rappelle, on comptera jusqu'à 1/4 de million de sympathisants... avant et pendant la guerre ! Bref ; il n'y avait pas que Bariloche comme fan-club hitlérien : en Uruguay aussi, les discours enflammés du Fürher étaient applaudis à tout rompre par une communauté d'expatriés qui rêvaient de prendre le pouvoir sur place. Une tentation qui laissera des traces dans les années qui allaient suivre...

Etudions donc attentivement cet Uruguay qui attend à bras ouverts que le système nazi s'impose chez lui : "La cinquième colonne nazie en Uruguay, est organisé en "Stützpunkt", des points d'appuis, qui étaient tous organisés de manière similaire autour d'un chef local de Stützpunkt (ou base), à savoir le chef de la propagande en charge du cinéma, de la radio, de la culture et de la presse, ou d'un bureau directeur de l'enseignement, d'un chef de cellule, d'un chef de l'organisation des femmes, et un chef de la charité. Tous les chefs locaux relevaient directement du "Gauleiter", Dalldorf M. Julius, qui servait en tant que secrétaire de presse de l'ambassade allemande en Uruguay (...) les Stützpunkt ont été au départ cartographiés selon le district scolaire". Bref, en Uruguay, davantage encore qu'en Argentine, le pays avait été...quadrillé par des responsables nazis ! A partir de là, on se doute que l'accueil des expatriés allemands n'aurait été qu'une simple formalité ! Des expatriés, dont des scientifiques, munis parfois de leur matériel ou des éléments de leur recherche. Tel Aribert Heim ; qui finira en Egypte. Aujourd'hui encore, les souvenirs mettent mal à l'aise. Le reste effraie, plutôt.

Et voila qu'y déboulerait donc "naturellement" notre fameuse "cloche", vestige sauvegardée à la dernière minute de recherches inabouties en Allemagne (ou plutôt en Pologne, comme on va le voir) : "l'explication non conventionnelle pour le sort du second prototype de Junkers Ju-390 est celle d'un vol présumé vers un aérodrome à Schweidnitz en Pologne pour évacuer une centrifugeuse en forme de cloche utilisée par les nazis pour la recherche sur les champs de haute énergie. Cet appareil à fait l'objet de différentes interprétations plus au moins fantastiques. Elles ne suffisent cependant pas à le décrire pour ce que c'était". L'auteur de l'article décrit l'engin emporté comme étant "une centrifugeuse à mercure" qui transformait ce dernier devenu "fluorescent" en plasma. Ce plasma entrait selon lui ensuite "en interaction avec une variété de composés placé dans un récipient réfractaire au cœur de la centrifugeuse, afin de créer une certaine tension très élevée et un rayonnement". Son véritable but continuant de susciter de vifs débats. Car le projet de cloche était connu sous le nom de code "Cronos" par les nazis, associé au projet plus vaste "Thor", celui incluant la recherche sur la bombe atomique, il va sans dire que le nom choisi avait aussitôt été interprété comme étant une tout autre machine par les amateurs de sensationnel ! Beaucoup se sont engouffrés en effet avec la description de cet engin dans les délires sur l'anti-gravité et d'autres élucubrations soucoupistes dont raffole le Net. A-t-elle au moins existé, cette fameuse "cloche" ?  Pas sûr, on manque trop d'éléments pour l'assurer pleinement. Car c'est bien là que le bât blesse : sans les efforts d'un journaliste polonais, Igor Witkowski, à qui un officier des services secrets du pays aurait fait des confidences, selon lui, en 1997 (ce qui semble fort tardif !) on n'en aurait rien su, de cette fameuse "cloche". L'homme aurait même retrouvé le lieu où elle aurait fonctionné... et avait même posé fièrement en bas de ces vestiges.

Pour tenter de savoir ce à quoi elle pouvait bien correspondre, il faut remonter un peu plus haut dans l'organigramme de la recherche allemande. Le scientifique en charge du projet Thor, était le Professeur Walther Gerlach, un scientifique de renommée mondiale. En 1922, il était devenu célèbre avec Otto Stern, pour leur découverte commune de la déviation des atomes dans un champ magnétique, connue sous le nom d'effet Stern-Gerlach qui fut aussi à la base de la physique quantique. Lorsque Stern avait dû fuir la persécution des juifs, Gerlach avait continué ses recherches à l'Institut Goeth de Francfort sur Main où en 1933, il avait notamment expérimenté la fluroescence du mercure sous l'influence des champs magnétiques : ce que certains avaient vu se passer à l'intérieur de la fameuse et mystérieuse "cloche". Gerlach avait également travaillé sur la transmutation atomique des éléments, ce qu'apportait la toute récente recherche sur l'atome, et ce qui en a fait aussi dériver certains sur les vieux fantasmes alchimistes, à l'époque, comme aujourd'hui encore. C'était aussi ce qu'on appelait alors la "photo-chimie" ou "chimie des photons", où tentait de s'illustrer en 1936 de manière plus prosaïque le Dr Ronald Richter, qui développait ses recherches personnelles sur des arc au plasma pour des fours pour une usine chimique située à Eger en Tchécoslovaquie. Richter le faisait comme un industriel, ou comme un plombier ont dit certains, et non en théoricien, sans se référer donc à une quelconque théorie, fut-ce t-elle en prime quantique. En fait, il était plus proche de la chaudronnerie que de la conceptualisation, et c'est bien ce qui avait trompé Péron !

En fait, cette "cloche" dont il ne resterait donc aujourd'hui comme vestige visible qu'un coffrage de béton en forme d'arches disposées en cercle évoque de loin les recherches nucléaires sur la fusion (et non la fission) menées par les nazis. Un peu de mise en scène avec force projecteurs bleus, et c'était parfait. Voilà ce qui reste d'un bâtiment... mystérieux ! La taille de ces prétendus vestiges correspondrait assez, de prime abord, aux bâtiments qui seront construit plus tard... en Argentine, par quelqu'un que vous connaissez désormais, qui semblait avoir été associé de loin aux recherches fondamentales de Gerlach et tentait de les reproduire, plutôt maladroitement. Richter bien sûr, qui n'aurait pas eu les capacités intellectuelles d'un Gerlach, pour sûr. L'engin expérimental de Gerlach dans ses recherches sur la fusion nucléaire consistait justement en deux cylindres contra-rotatifs contenant du mercure et une sorte de "gelée", le tout refroidi par un système cryogénique sophistiqué, ce qui semble correspondre assez à la fameuse "cloche" décrite (et indirectement aux travaux découverts au milieu de l'île par notre fan d'U-Boot !). Mais, en fait, cette piste n'est pas la bonne : les fameux supports de béton disposés en cercle qui auraient abrité l'engin servaient à tout autre chose ! 

Mais laissons notre journaliste en mal de scoop continuer à essayer de nous convaincre. L'engin construit était situé, selon lui, près de la mine Wenceslas, dans un village appelé Ludwidsdorf par les allemands. La mine était proche aussi d'une deuxième dans l'Erzbirge, où l'on avait découvert des quantités importantes de thorium, nécessaire dans le process selon notre "historien" du moment. De larges quantités de thorium provenant de France auraient été amenées en urgence juste après le débarquement allié, selon lui, ce qui est difficile à vérifier à vrai dire (je n'ai rien trouvé à ce propos). Or, à côté de l'endroit choisi, il y avait une station hydroélectrique dotée de deux tours de refroidissement. Et ce sont ces tours, qui justement, mettent par terre les suppositions d'Igor Witkowski, résolu à nous convaincre à tout prix que ces vestiges auraient pu être les pourtours du bâtiment entourant la "cloche". Pour d'autres, plus allumés encore, ces poutres de béton formant un cercle à pans coupés auraient pu être aussi le pourtour... d'un atelier à soucoupes volantes (!). Ou le lieu de résidence d'une ecloche spatio-temporellee, leur disposition "rappelant celle des pierres de Stonehenge" selon nos illuminés (un moyen habile d'en faire un truc hors du temps !).

Car à propos de ces bâtiments, justement, inutile d'aller plus loin dans les suppositions. Ces piliers ont servi à tout autre chose, en réalité, comme l'ont heureusement constaté des internautes un peu moins crédules que ceux prêts à gober les histoires à dormir debout de Witkowski : c'étaient tout bêtement ceux d'une tour de refroidissement de centrale électrique à charbon, comme on en construisait déjà l'époque, l'évidence photographique étant là pour nous le prouver (comme vous pouvez le constater sur l'exemple flagrant surmontant ce chapitre) ! Pas loin de la centrale électrique se trouvait aussi une entreprise Nobel Dynamit AG qui fabriquait des munitions : le lien vers de futures armes était évident : le site, qu'il ait été celui de la "cloche", ou pas, avait donc en tout cas été particulièrement bien choisi. L'ensemble, sur lequel était fondé de grands espoirs, selon notre raconteur de légendes était appelé en code par les nazis le complexe "vache à lait" ("Milkcow"). Il devait fournir quelque chose, ou plutôt alimenter les allemands... en énergie nucléaire. Le principe de la fusion, celle du réacteur qui fournit davantage d'énergie qu'il n'en consomme ! Or, à tout casser, c'était du courant électrique d'un complexe industriel bien classique, à tours réfrigérantes, qui en sortait. Ici les tours de 1935 de Weisweiler, par exemple. Une autre, ici.

Parmi les ingénieurs ayant participé au projet, on retrouve un autre individu qui n'est pas un total inconnu : "Kurt Debus est mieux connu pour son rôle dans la gestion des V-2 lancés par les SS et par la suite pour son travail à la NASA sur le programme lunaire d'Apollo. Il avait aussi une expertise certaine dans la mesure des décharges de haute tension. Sa biographie officielle de la NASA l'indique : "Né à Francfort, en Allemagne, en 1908, le Dr Debus a suivi toutes ses études dans ce pays. Il est allé à l'université de Darmstadt où il a obtenu ses diplômes avancés en génie mécanique et électrique. Il a servi comme assistant diplômé de la faculté de génie électrique et de haute tension, tout en étudiant pour son diplôme de maîtrise. En 1939 il obtient son doctorat en génie avec une thèse sur les surtensions et a été ensuite nommé professeur assistant à l'université. Durant cette période, il s'est activement engagé dans le programme de recherche sur les fusées à Peenemunde".

Il n'empêche que les diverses bribes de descriptions collectées en Pologne et en Allemagne de la "cloche" correspondent bien aux recherches de Gerlach : la centrifugeuse aurait été faite d'un produit comme la céramique, d'un mètre d'épaisseur, du genre de celui des insulateurs courants à haut voltage, de 2,7m de diamètre et de 3,6 à 4,2 m de haut. "Elle aurait consommé des quantités prodigieuses d'électricité et s'illuminait d'une couleur bleue-violet quand elle fonctionnait à plein régime", selon ce qu'on a pu en savoir. Rien à voir, en tout cas, avec une pseudo- théorie de transmutation alchimique ou d'hyper-espace, voire d'antigravité. Lorsque le pouvoir nazi s'est intéressé aux piles au lithium en développement pour les U-boats, Richter avait découvert de son côté et par hasard qu'il pouvait produire un intense rayonnement par l'injection de deutérium dans un plasma au lithium. Avec la chimie atomique, un plasma dense fabriqué par des électro-aimants puissants provoquait des interférences notables avec le mercure. Les ions du mercure excités forçaient le béryllium à émettre des neutrons lents capturés par le thorium 232, les changeants alors en uranium 233. Ces expériences avaient été décrites par Schumann, qui avait déposé à cet effet un brevet, selon lequel effectivement le thorium 232 bombardé par des protons de moins de 14MeV d'énrgie, donnaient de l'uranium 233, évitant ainsi le risque des radiations émanant de l'uranium 232. Une variante de cette méthode en utilisant l'uranium 238 pouvait donc également servir pour des armes atomiques, sans la nécessité de construire pour cela un réacteur nucléaire véritable : cela représentait pour les nazis une deuxième voie possible pour fabriquer des bombes de ce genre. Pour ce qui est de la fameuse "gelée" décrite, les scientifiques allemands avaient découvert qu'un excellent modérateur consistait en la paraffine dont la consistance correspond parfaitement a cette description. C'est très certainement cette paraffine qui avait été vue à l'intérieur de l'objet, devenu "cloche" par la grâce d'un seul journaliste en mal de lecteurs ! 

En prime, l'autre chercheur impliqué dans le projet est suisse, D. Dallenbach qui avait été contacté par AEG et avait son propre laboratoire à Bisengen au nord de Zurich. Selon l'auteur du site, qui n'est en rien partisan des théories fumeuses sur les expériences nazies, Dalenbach était un fervent admirateur du nazisme, mais avait soigneusement évité de se compromettre avec eux. D'autres y auraient travaillé comme l'ingénieur Cremer, un spécialiste des transformateurs à l'Oberschönweide et au AEG Research Institute, qui travaillait lui sur l'Hochspannungsprojekt (High Voltages Project) sous contrat de la Heereswaffenamt (HWA). Un projet qui portera à partir de 1944 le nom de code de Charite Anlage. Cremer fut dénoncé, paraît-il à la Gestapo par Gerlach, mais fut défendu par le Dr. Carl Ramsaur, arguant de son aide apportée au Prof Dr E. Schumann. Selon Ramsaur aussi, le projet de "cloche" était bien lié à l'atome et non à autre chose : pas de théorie de soucoupe ou de machine du temps la-dedans. Parmi ceux qui auraient travaillé sur le projet de "cloche", il y avait le Dr Herbert Jensen (spécialiste en nucléaire), le Dr Edward Tholen et le Dr Elizabeth Adler de Prague, installée à Breslau. Or la "cloche" était située pas loin de Breslau. Selon l'auteur toujours, l'un des scientifiques allemand ne participant pas aux recherches, le Dr Ing Ernst Nagelstein avait contacté l' OSS en suisse le 2 novembre 1944 en expliquant que la firme Auer était en train d'extraire le thorium de son minerai et s'en inquiétait, car selon lui, en Allemagne aucun endroit connu en demandait des quantités aussi importantes. Bref, cette fameuse "cloche", présentée partout dans les sites soucoupistes comme étant un "engin antigravitationnel" ou pire encore une machine à "franchir l'espace-temps" était semble-t-il plutôt une sorte de cuve expérimentale à fusion nucléaire, une possibilité de plus pour obtenir des produits nucléaires dégradés, en liaison avec les programmes de fusée "d'armes de représailles". Les nazis, plus avancés qu'on ne le pense généralement sur l'atome, avaient envisagé en effet dans leurs projets de munir le corps de leur V2 ou de leur V1 d'une partie pouvant contenir des produits radio-actifs. L'idée en quelque sorte de la fameuse "bombe sale", à savoir une arme atomique tuant par radiations et non par explosion. En cela, la "cloche", au lieu de servir de tokamak, aurait servi de four à fabriquer des produits irradiés : une arme de destruction massive d'avant l'heure, en quelque sorte. 

L'engin a-t-il au moins existé ? Pas grand chose à se mettre sous la dent, à ce sujet, et le coup du cercle de béton est bien une découverte bidon et une invention de journaliste en mal de sccop : en revanche, que les nazis aient pensé à fabriquer des bombes à radiation est beaucoup plus crédible, reste à savoir avec quel engin ils auraient pu le faire. Quand à notre Junkers, oui, il aurait très bien pu la transporter, qui sait. Mais la destruction de son transporteur semble un beau racontar : étant donné la taille de la bête, on le voit mal, même en morceaux, finir dépecé au fond d'un fleuve ! Et quand à savoir où elle aurait pu atterrir, il semble que tout le projet de Richter, justement, à Bariloche, ait été imaginé autour d'un engin fort similaire, à tout bien peser. L'avion n'ayant alors fait qu'une escale en Uruguay. La fusion promise à Peron aurait-elle eu comme cœur la fameuse "cloche", apportée par avion ? Richter aurait-il tenté de terminer des travaux qui le dépassaient ? Voilà une autre piste intéressante en effet, car on imagine mal tout pouvoir recréer en aussi peu de temps sur place ! C'est une hypothèse, mais elle est fort douteuse à vrai dire. Une hypothése confortée cependant d'une certaine manière avec le projet d'avion commercial argentin ressemblant comme deux gouttes d'eau au Junkers 390, et dont je vous parlais ici hier encore.

Je le répète donc, une fois encore : ce n'est simplement qu'une hypothèse de plus. En l'état actuel des choses, on ne possède pas assez d'éléments pour en conclure de la sorte. En tout cas, ça n'oriente surtout pas pour autant le discours vers les fumisteries du type "antigravitation". Cette même "nazi bell" est parfois aussi rangée au registre "soucoupe". Là encore, on retombe sur ce qu'on disait au début : la démence nazie est allée jusqu'à subventionner les projets les plus fous, et ce dernier, s'il a existé, est bien à ranger dans le genre. Il n'y a jamais eu de "soucoupe" nazie, terme apparu tardivement dans les années 90, à partir d'élucubrations copiées sur les thèses fumeuses de George Adamski, "enlevé par les extra-terrestres", un autre fêlé notoire. Pas plus que d'extraterrestres à Roswell, il n'y a eu de soucoupe volante allemande.

Mais des recherches disparates sur l'atome, si, et ces bribes d'infos sur l'existence de cet appareil ne seraient qu'un avatar de plus de recherches bien trop éparses pour aboutir : les américains s'étaient focalisés sur un seul projet et une seule méthode pour y parvenir, en y associant des milliers de personnes. Qui avaient tous su garder le secret, c'est aussi cela la chose la plus étonnante ! Les nazis, eux, avaient plutôt éparpillé leurs recherches, la direction du pays, incompétente techniquement, laissant les scientifiques mener leur barque au seul mot d'ordre de découvrir de nouvelles armes dévastatrices dans les plus brefs délais, Quitte à tenter les expériences les plus... farfelues. Selon ceux qui ont le mieux décrit le phénomène (*) "Appelée prosaïquement la "cloche nazie", c'était en fait un accélérateur de particules lourdes utilisées comme une source artificielle de neutrons pour produire du protactinium 232 à partir du thorium 233.  Le Protactinium se serait dégradé naturellement après 27 jours pour devenir de l'uranium 233 capable d'être utilisé dans des bombes. Heisenberg avait préconisé cette méthode lors de la conférence tenue devant Harneck Haus en Juillet 1942 et avait travaillé en étroite collaboration avec l'ingénieur suisse Dr Walter Dallenbach à un endroit secret connu sous le nom de "Forschungsstelle D », pour développer la "cloche nazie". Le procédé était excessivement dangereux, en raison des rayonnements intenses induits  : "du fait de son rayonnement alpha intense, le protactinium 231 est très radiotoxique par ingestion (0,71 μSv/Bq pour un adulte) et par inhalation (jusqu’à 140 μSv/Bq pour un adulte), soit des valeurs supérieures à celles du plutonium 238" précise Wikipédia. Les deux vecteurs de propagation prévus des charges à rayonnement étant le V-1, allongé, et le V-2, avec un compartiment spécial au milieu de l'engin.

En ce sens, les expérimentations aventureuses de Gerlach, n'auraient été qu'un avatar de plus de fin de guerre, et non ce que certains tentent de nous faire croire depuis une dizaine d'années déjà à grands coups de déclarations sensationnelles.  Celles de Witkowski, mais aussi celles du plus que controversé Joseph Patrick Farrell, le premier à avoir parlé de la fameuse "cloche", une sorte de Charroux du Sud Dakota (voir ici sa théorie à se tordre de rire sur les Pyramides, pour lui les ADM du moment, à en rendre jaloux notre amuseur favori ici, Christian Navis **) ; reprises récemment par Nick Cook, autre grand manipulateur de médias, qui utilise son ancienne notoriété de journaliste chez Jane's pour aujourd'hui se faire un beurre incroyable avec des fadaises indignes de l'endroit où il travaillait auparavant.

(*) La référence sur la question est en effet le site de Simon Gunson auquel nous avons emprunté de nombreuses références :

https://sites.google.com/site/nazibelluncovered/home

un article Wikipédia fourni, "Die Glocke", existe également sur le sujet :

http://en.wikipedia.org/wiki/Die_Glocke

Un grand moment de ridicule :un présentateur, Bill Rayn,expliquant qu'il a a été frappé par le bâtiment qu'avait découvert Witkowski... en faisant la visite dans la neige. "Une représentation iconique de tout ce qui n'a pas été compris concernant la technologie nazie, une tehnologie avancée"... à se rouler par terre, dans la neige, de rire. Un grand moment de connerie manifeste.

http://www.dailymotion.com/video/xfdqnb_project-camelot-igor-witkowski-the-nazi-bell-preview-st-fr_news

(**) lire à ce sujet ceci :

http://projectavalon.net/forum4/showthread.php?5469-AKAKOR-The-lost-city-and-Karl-Brugger-assassination

c'était bien un hoax, pris au pied de la lettre par notre vaillant explorateur. 


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62 réactions à cet article    


  • morice morice 4 août 2011 09:34

    Le fort courageux moinsseur du matin est déjà passé : avec une régularité de moine copiste, il vient mettre son avis habituel, en n’ayant même pas eu le temps de lire quoi que ce soit. Quel courage ! Quelle abnégation ! Quel sens su devoir de TROLL !!!


    • morice morice 4 août 2011 10:09

      Comme celui d’hier qui n’avait pourtant rien de bien méchant.


      a ouais ?

      reprendre les délires diffamatoires de sir oswald n’est pas « méchant » ?

      VOUS VOUS FOUTEZ DE QUI LÀ ?

    • GillesR 4 août 2011 10:25

      Et bien moi je ne vote pas et je ne lis plus.


      Par contre voir l’auteur s’en prendre à tout le monde a un côté fascinant. J’hésite entre le malade et celui qui cherche désespérément à exister.

    • morice morice 4 août 2011 10:49

      on se passera de vos commentaires alors : ne pas lire et venir en causer, c’est plus proche de la démence qu’autre chose !


    • GillesR 4 août 2011 10:58

      Vous voyez morice, vous comprenez ce que je veux dire ? 


      Vous auriez largement pu faire l’impasse sur mon commentaire qui n’apporte rien. 

      Au lieu de ça vous en rajoutez une couche. Ca peut être sans fin, mais rassurez vous j’ai autre chose à faire.

    • morice morice 4 août 2011 09:35

      Et comme il est inscrit deux fois, il vote deux fois. A mourir de rire.


      • Dzan 4 août 2011 09:57

        Salut Morice
        Moi, vos articles m’intéressent, donc je plusse, même si je trouve quelques erreurs minimes.
        (Grumann Corsair) dans un précédent article.


        • morice morice 4 août 2011 10:07

          ah je sens que je vais y avoir droit pendant des mois là.... mais bon...


        • LeGus LeGus 4 août 2011 10:03

          Bonjour morice,

          Bel article, lucide et instructif, merci à vous.

          Sinon dans la série le nucléaire rigolo, un truc qui fait peur là :
          http://korben.info/reacteur-nuclaire-fait-maison.html

          Hallucinant, et dans les commentaires des liens tout aussi inquiétant.


          • morice morice 4 août 2011 11:12

            commentaire crétin dans l’article :


            « Si on ne peut même plus avoir des hobbies scientifiques sans que la police intervienne, je me dis où va le monde… Arf ! »

            il aurait pu éviter...

          • morice morice 4 août 2011 11:17

            un rappel de votre belle contrée sans gouvernement 

            DouSSeur de vivre

            Léon Degrelle semble avoir vécu confortablement tout au long de son long séjour en Espagne, de 1945 à 1994. Sous un nom d’emprunt, il connaît dans les années 1950-60 une période faste en Andalousie, à Constantina, village où les habitants illettrés semblent n’avoir jamais entendu parler de la Seconde Guerre mondiale. Il y fait fortune comme promoteur immobilier et développe l’économie locale. « Aujourd’hui, des gens pleurent encore de nostalgie en parlant de ce ‘’seigneur andalou’’ qui les a sortis de la misère », note Korentin Falc’hun, auteur d’une thèse sur Degrelle.

            Par la suite, il passera par des hauts et des bas liés à des luttes intestines au cœur du régime franquiste. Degrelle est protégé par les Phalangistes, qui lui sont redevables de l’envoi de quelques volontaires belges aux côtés des troupes franquistes durant la guerre d’Espagne.

            À l’inverse, les ministres membres de l’Opus Dei, soucieux de rapprocher l’Espagne du reste de l’Europe, souhaitent l’arrêter et l’extrader vers la Belgique. Il sera en cavale de 1970 à 1973, caché dans divers appartements de Madrid et d’Andalousie.« 


             »Ces images troublantes montrent que ni la défaite de l’Allemagne, ni les années de prison qui suivirent, ni le retour à la vie civile n’ont changé l’état d’esprit de ces hommes. En 2011, Fernand Kaisergruber persiste et signe. « Je suis resté national-socialiste et je ne regrette rien. Au contraire, si je ne m’étais pas engagé dans la Légion Wallonie, toute ma vie, je l’aurais regretté. »

            Des propos qui font écho à ceux de Victor Mathys, adjoint de Degrelle à la tête du parti rexiste, et recruteur de légionnaires SS en Belgique durant la Seconde Guerre mondiale. À la sortie du tribunal qui venait de lui signifier sa condamnation à mort en 1945, ses derniers mots furent : « On s’est quand même bien amusés. »"


          • LeGus LeGus 4 août 2011 12:45

            Ouaips, chacun sa merde, d’ailleurs la notre à débordé en France, à moins que ce ne soit en Suisse
            http://adski-kafeteri.livejournal.com/2098083.html
            Sinon pour le moment, le danger pour moi est du coté d’Oslo
            http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Brussels_Journal
            Largement cité par ABB...
            Et on retrouve encore et toujours Daniel Pipes pas loin derrière...
            Ou alors le fournisseur de l’iconographie haineuse, qui a d’ailleurs inspiré pas mal de vos contradicteurs actuels.
            http://bergolix.wordpress.com/

            Les tarés ont changé de cible pour leur haine, les nostalgiques du IIIème Reich ne sont plus grand chose. Marine l’a bien compris, et c’est bien en cela quelle est plus dangereuse que son père.

            Ceci dit il fait beau, j’enfourche mon vélo, et je rejoins une belle, bonne journée à vous aussi.

            Respectueusement.


          • morice morice 4 août 2011 14:22

            oh vous savez, vous relisez les éditos de Christine Tasin de Riposte Laïque et vous avez le même terreau... hélas !! allez voir le dénommé « Cyrano » chez eux, qui écrit comme.. le conseiller « bio » de la Marine : Ozon et Cyrano, c’est le même (faux) nez.


          • morice morice 4 août 2011 10:10

            et attendez, je n’ai pas encore fini !


            • zany 4 août 2011 10:24

              Bien que je me pose des questions sur le bien fondé de certaine expérience scientifique, il y a des croyances indienne et améridienne qui décrivent des « vaisseaux » assez précisément et volant grâce au mercure.....

              http://www.secret-realite.net/index.php?mod=articles&ac=commentaires&id=952

              Je part peu être dans des délires mais dans l’hindouisme (qui est le plus vieux texte sacré) il est fait mention de ville rivale mutuellement détruit, des archéologue ont tenté de les retrouvés, et deux villes ancienne furent découverte, avec des taux de radioactivités élevé et de la pierre vitrifié, sisi


              je vous donne un lien bizarre mais quand je parle de radioactivité avant jc je rigole, mais j’arrête quand dans l’indouisme décris précisément les effets de la radioactivité sur l’homme

              http://www.les-ovnis.com/rubrique,textes-sacres-hindous,404670.html


              • morice morice 4 août 2011 10:32

                Bien que je me pose des questions sur le bien fondé de certaine expérience scientifique, il y a des croyances indienne et améridienne qui décrivent des « vaisseaux » assez précisément et volant grâce au mercure.....


                à la Tequila aussi, quand on en boit beaucoup...

                et deux villes ancienne furent découverte, avec des taux de radioactivités élevé et de la pierre vitrifié, 

                essayez le Radon en Bretagne, vous m’en direz des nouvelles...

                je vous donne un lien bizarre 

                évitez, voulez-vous... on a déjà JP Petit et c’est déjà assez comme ça...

                • GillesR 4 août 2011 10:39

                  J’abonde dans le sens de morice.


                   Petit est un sacré allumé.

                • zany 4 août 2011 10:52

                  Comme vous voulez, mais vous devez savoir que les allemand accordais de l’importance à cela
                  « Ahnenerbe » unitée ss, difficile de démêler le vrai du faux a cause de la propagande, mais certaine croyance bien réelle décrive les mêmes chose entre différents peuples n’étant pas voisin, je trouve cela troublant.

                  Et question, le site avec ce truc étrange en béton étais-il sous la responsabilités ss ? Personnellement je ne croie pas à l’histoire de « la cloche », je fait seulement un rapprochement, si une tel source d’énergie est viable les allemands ne l’ont pas inventé mais l’ont redécouvert ce qui ferais remonter l’histoire avant l’histoire biblique, et le texte le plus ancien est celui des hindouiste...

                  Intéressé vous à cela à titre personnel, le progrès n’est pas en progression constante mais différente phase de régression et d’expansion.

                  Mais bon toujours un plaisir de vous lire.


                • morice morice 4 août 2011 11:02

                  mais l’ont redécouvert ce qui ferais remonter l’histoire avant l’histoire biblique, et le texte le plus ancien est celui des hindouiste...


                  c’est ça, ce qui explique les bras de Vishnou, par les radiations sans doute ?

                  ne soyez pas ridicule : ce que vous me sortez c’est du Charroux, voire son clone Navis.

                • morice morice 4 août 2011 10:47

                  J’abonde dans le sens de morice.


                  • GillesR 4 août 2011 10:53

                    Oui, oh, c’est un escroc de basse envergure. Mais un escroc tout de même dans tous les domaines.


                  • morice morice 4 août 2011 11:00

                    ET vous un insulteur, dans un domaine : ce fil de discussion.


                    • Redrogers 4 août 2011 15:08

                      Pourquoi vous sentez vous obligé de balancer systématiquement vos sarcasmes quel que soit le commentaire ?


                      Zany évoque un sujet qui mérite qu’on s’y intéresse sans pour autant tomber dans la caricature. Ce que j’ai essayé un peu de faire par le passé. Les villes en question sont Mohenjo-daro et Harappa, symboles de l’antique « civilisation de l’Indus » et il existe une rumeur sur cette histoire de radioactivité très importante et de traces de vitrifications. Mais a priori, cela ne viendrai que d’une seule source, un livre, Riddles of Ancient History, écrit en 1966 par un mystérieux archéologue russe A. Gorbovsky. Je dis mystérieux car le fait, qu’en dehors de cette « référence » qui se répète à chaque fois (et exactement dans les mêmes termes), ce type soit introuvable est déjà une indication en soit... Et la lecture de « La civilisation de l’Indus » d’Ernest Mackay, édition de 1936, nous indique que c’est une fascinante civilisation antique vieille d’au moins 5000 ans et très évoluée pour l’époque, ce qui est déjà passionnant en soi.
                      J’avoue aussi que je n’ai jamais terminé ma lecture du Mahabharata et du Ramayana (c’est long et exigeant ces trucs là...) mais jusqu’à présent, je n’ai pas vu de passages décrivant ces engins et ces armes exotiques dont il est souvent question. Mais il est vrai que le traducteur joue un rôle primordial dans l’interprétation du texte.

                      Par contre je rejoins Zany sur l’histoire de l’Ahnenerbe et je vous recommande la lecture (si ce n’est déjà fait bien sûr...) de « Opération Ahnenerbe » de Heather Pringle aux Presses de La Cité. C’est passionnant et Himmler semblait vraiment convaincu de pouvoir trouver une arme suprême et magique en étudiant les mythes ancients. Ce qui n’a jamais rien donné bien sûr ! 

                    • morice morice 4 août 2011 15:32

                      Pourquoi vous sentez vous obligé de balancer systématiquement vos sarcasmes quel que soit le commentaire ?


                      parce que c’est du vieux flan à la Charroux et autres Daniken : tous ont travaillé avec un fond historique qu’ils ont détourné, inutile de perdre du temps sur cette voie sans issue !

                    • morice morice 4 août 2011 15:33

                      Et la lecture de « La civilisation de l’Indus » d’Ernest Mackay, édition de 1936, nous indique que c’est une fascinante civilisation antique vieille d’au moins 5000 ans et très évoluée pour l’époque, ce qui est déjà passionnant en soi.


                      de là à faire des soucoupes...

                    • Redrogers 4 août 2011 15:43

                      Justement, je ne dis pas le contraire...


                    • morice morice 4 août 2011 15:46

                      http://en.wikipedia.org/wiki/Ahnenerbe


                      pour Himmler, on voit tout de suite que c’est un bon aryen, non ? 


                      il ressemble tellement à  Anders Behring Breivik !

                    • morice morice 4 août 2011 15:47

                      j’espère bien : civilisation brillante ne veut pas dire voyageant en soucoupe !


                    • zany 4 août 2011 21:31

                      Merci de ces précisions sur les croyances indienne, faudrait que je voye si elle colle avec les croyances chinoise, de toute maniére cela est passionnant mais déformé par la politique, je me pose la question « pourquoi pas ? »

                      De toute manière ce genre de révélation ne sorte jamais car elle remmette en cause toutes l’histoire et font passé les héro pour des imposteurs .


                    • Prometheus Jeremy971 4 août 2011 22:29

                      Pourquoi les sites en anglais sont toujours mieux documenté que ceux en français ?


                    • morice morice 4 août 2011 22:43

                      par fainéantise française ?


                    • Triodus Triodus 4 août 2011 14:34

                      Merci pour l’article Morice, sympa !

                      Cdt

                      T


                      • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 14:40

                        Bon , très bien tout ça....
                        Mais vous savez, des cloches nazis, yen a partout !! même en Norvège....

                        Les OVNIS nazis qui financent la littérature facho
                        Mais de grâce, évitez de parlez d’ufologie en ce qui concerne la propagande des soucoupes nazis......vous faites un amalgame gênant , là !

                        Je n’ai pas trouvé (pas assez cherché peut-être..) votre support béton en cercle , j’aurai aimé savoir si à proximité se trouvait un cours d’eau nécessaire à un supposé réacteur de fusion pour son refroidissement ce qui pourrait étayer vos dires....
                        Auriez-vous quelques précisions supplémentaires à ce sujet, son emplacement exact, la localité ? merci..


                        • morice morice 4 août 2011 15:42

                          « Troisième auteur :
                          Igor Witkowski
                           : En 2000, un historien polonais du nom d’Igor Witkowski, dans son ouvrage »Prawda o Wunderwaffe« (la vérité sur les armes miracles), fait des révélations sur de supposées recherches scientifiques effectuées par les nazis durant la seconde guerre mondiale dans une mine désaffectée à Ludwikowice Kłodzkie, en Pologne. Witkoswski, qui fait volontiers visiter le site d’expérimentation, montre un construction circulaire à colonnes, déclarant à qui veut l’entendre qu’il s’agit là de la rampe de lancement de »Die Glocke« .
                           »Die Glocke« est un engin antigravitationnel fonctionnant à l’aide de »mercure rouge« nommé »xerum 525« . L’idée en aurait été apporteé par un groupe ésotérique nazi nommé »la société du Vril« , en contact étroit avec des extraterrestres d’Aldébaran (si, si...)Il a été prouvé par des personnes s’étant rendues sur place, et il suffit d’ailleurs d’en voir la photo, que cette construction est la base en béton d’une énorme citerne destinée à approvisionner en eau une installation industrielle. »


                          euh, y’a pas tout non plus lui... a jamais vu une tour de réfigération des années 30...

                        • Electric Electric Tof 4 août 2011 14:54

                          J’avais lu aussi que les fameuses ruines de Penenmünde auraient tout simplement été les assises d’un chateau d’eau.

                          Va pour la tour de refroidissement, en tout cas, merci de dénoncer les zozos du Camelot Project, site de désinformation amplifiante où d’ailleurs les contradictions manifestes entre les intervenants que ce soit dans les domaines techniques ou la cosmologie ne semblent pas gêner les B Ryan et K Cassidy. Ryan a d’ailleurs fait d’abord sa carrière dans le marketing high level pour l’industrie militaire. Il a de qui tenir le lascar pour abuser le quidam.

                          On compend mieux pourquoi il ballade sa calvitie sous un chapeau à la Indiana Jones, le must pour attirer le gogo en mal de découvertes de stargates tapies au fond du golfe d’Aden.

                          En tout cas, ça remet les choses aux clair sur Die Glocke : des recherches sur la fusion et les plama, rien que de très normal dans les années 30, avant que les trous noirs n’engloutissent nos impôts par milliards de $.

                          Et dire qu’il y a encore des adpetes des Hannebu, des soucoupes nazies de l’Antarctique et tout ce capharnaüm qui n’a servi à partir des années 60 qu’à essayer de revivifier l’idéologie du Reich à travers ses recherches sur le vril (de mes deux).

                          Et pour ceux qui croient encore que l’amiral Byrd a découvert les trous de la terre creuse de l’Antarctique avec batailles de soucoupes où la Navy se serait fait botter les fesses, il existe un site officiel de l’expédition de 1947 et où on apprend que les seuls morts de l’expédition furent ceux d’un banal accident d’avion :

                          http://www.south-pole.com/homepage.html

                          En revanche, l’armada déployée a permis de cartographier les côtes du continent blanc, une première, et accessoirement de permettre à la nouvelle première puissance mondiale de mettre la haute main sur ces terres vierges.

                          ça valait bien de déplacer un porte avion et son escadre.


                          • Albator71 Albator71 4 août 2011 16:31

                            C’est l’éternel problème des croyants

                            Quand certains rêve de la terre creuse, d’autres accepte toute annonce gouvernemental US (ou autres d’ailleurs)

                            Mais bien sur qu’il faut une task force pour carthographier l’Antartique et tester les effets du froid sur les soldats, c’est tellement evident pourquoi chercher ailleurs...

                            N’oubliez pas que le doute est la base de la science et les annonces érigé en dogme son contraire

                            Quand à l’histoire de la WWII eternellement vu comme le combat du bien contre le mal, je vous conseille « le mythe de la bonne guerre » et « le brise glace » pour pouvoir comparer des these plus recentes qui meme s’ils ne sont comme la version officiel pas a admettre sans recul, donne une nouvelle vision interressante sur ce noble combat entre les vieilles puissances coloniale versus les nouvelles avec pour difference le choix des sous hommes, hindoux, noirs asiatique ou slave suivant les cas


                          • morice morice 4 août 2011 15:34

                            On compend mieux pourquoi il ballade sa calvitie sous un chapeau à la Indiana Jones, le must pour attirer le gogo en mal de découvertes de stargates tapies au fond du golfe d’Aden.


                            fait penser à un égyptien qui a fait casser son musée pour garder son poste, qu’il a perdu depuis...

                            • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 15:42

                              fait penser à un égyptien qui a fait casser son musée pour garder son poste, qu’il a perdu depuis...

                              Oui, le gros dissimulateur Hawass.....qui aurait voulu garder ses trouvailles pour lui et ceux qui l’on stipendié pendant bien trop longtemps de l’autre côté de l’atlantique , qui lui même pratiquement donné le grade de docteur en égyptologie dans les années 80.......


                            • morice morice 4 août 2011 15:50

                              Oui, le gros dissimulateur Hawass..


                              on va à nouveau pouvoir faire de l’archéologie !

                            • morice morice 4 août 2011 15:52

                              j’en profite pour saluer la mémoire d’une TRES grande dame :


                              En fait, tous les éléments que je décris là, photos à l’appui, le sont depuis 1966 dans un livre fabuleux (Toutankhamon, vie et mort d’un pharaon) écrit par une dame extraordinaire : Christiane Desroches-Noblecourt, inspecteur général des musées de France, et qui a été conservateur en chef du département des Antiquités égyptiennes au musée du Louvre, professeur d’épigraphie puis d’archéologie égyptienne à l’École du Louvre pendant... une cinquantaine d’années. Dans six ans, elle fêtera son centenaire, et nous pouvons songer, à l’occasion de l’événement dont je vous parle, à lui rendre ici un vibrant hommage. Cette dame est tout simplement la pédagogie faite femme. Elle n’a pas qu’écrit sur les pharaons, elle est aussi à l’origine du sauvetage des temples d’Abou Simbel, dans les années 60. La création du barrage d’Assouan les menaçait alors. Le 8 mars 1960, depuis la tribune de l’Unesco, en compagnie de Sarwat Okasha, le ministre égyptien de la Culture, elle lance un appel solennel à la solidarité mondiale pour sauver la Vallée menacée. Quatorze temples, des milliers de tonnes de pierres à déplacer (on les découpera à la sciepour les remonter plus haut !), et des fouilles de toute urgence doivent être entreprises sur des sites qui seront recouverts par l’eau montante. La dame ne sait pas comment convaincre les autorités, et s’en remet à de Gaulle. Celui-ci ignorait au départ l’engagement qu’avait déjà pris l’égyptologue au nom de la France. Dans son entourage, on craint sa réaction ! De Gaulle apprécie en effet rarement se voir apprendre des choses le concernant. L’entretien démarre fort : « Comment, madame, avez-vous osé dire que la France sauverait le temple, sans avoir été habilitée par mon gouvernement ? » Mme Desroches-Noblecourt se croit alors perdue. Son projet refusé... quand lui vient une idée iconoclaste, prononcée sur un ton que pas un homme n’aurait su tenir devant le « Grand Charles », comme on le surnommait et le redoutait : « Comment, général, avez-vous osé envoyer un appel à la radio, alors que vous n’aviez pas été habilité par Pétain ? » Et toc, dans le mille, de Gaulle, immédiatement séduit par ce caractère bien trempé lui accorde les crédits nécessaires qui se montent à des millions de l’époque, et les soutiens logistiques et politiques nécessaires. Madame Noblecourt s’en souviendra sept ans après, en montant à Paris l’extraordinaire exposition Toutankhamon au Grand Palais. Charles de Gaulle lui rend visite en compagnie d’André Malraux et de l’égyptologue. Dans les semaines qui suivent, on dénombre plus de 1 200 000 visiteurs... Quand on cherche, aujourd’hui, le premier exemple de culture de masse réussie, on en revient invariablement à cette exposition fabuleuse. L’occasion de saluer une fois de plus cette grande dame de l’archéologie française ! On peut revisionner sans hésiter avec plaisir un double DVD sorti en 2004 avec son savoureux commentaire.

                            • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 18:21

                              elle est aussi à l’origine du sauvetage des temples d’Abou Simbel, dans les années 60.

                              Oui, et quand on sait ce qu’a coûté en argent et en logistique pour déplacer en petits morceaux préalablement sciés tous les éléments du temple, on demeure vraiment admiratif devant le travail « cyclopéen » des anciens, n’est-ce pas morice ?  smiley .....
                              Mais vous avez raison de rendre hommage à cette grande dame, c’est elle qui aurait dû prendre en charge le site de Giseh à la place de l’autre pseudo Indiana Jones....


                            • morice morice 4 août 2011 15:40

                              Et dire qu’il y a encore des adeptes des Hannebu, des soucoupes nazies de l’Antarctique et tout ce capharnaüm qui n’a servi à partir des années 60 qu’à essayer de revivifier l’idéologie du Reich à travers ses recherches sur le vril (de mes deux).


                              j’adore Vril de mes deux là !


                              pas ce qui manque en effet, hélas.. des Navisseries, on appelle-ça !

                              • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 15:46

                                SVP, Vous avez l’emplacement exact de ce support béton en Uruguay ??
                                ou quelques renseignements supplémentaires ?


                                • morice morice 4 août 2011 15:54

                                  SVP, Vous avez l’emplacement exact de ce support béton en Uruguay ??


                                  non, puisque ce n’était pas ça !! ah ah ah !!!

                                  à moins de trouver une centrale urugayenne des années 30...

                                  • morice morice 4 août 2011 16:00

                                    SVP, Vous avez l’emplacement exact de ce support béton en Uruguay ??


                                    c’est en POLOGNE.

                                    • morice morice 4 août 2011 18:53

                                      j’espère que votre prof vous a pardonné ça :


                                      « Actuellement en France, le projet ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor) est lancé. Le but final est pouvoir maitriser la fusion thermonucléaire mais à long terme, très long terme. ITER permet d’obtenir la première réaction de fusion nucléaire : D + T -> He + n + 17.6 MeV (*) qui nécessite une température d’ignition (de fusion) de 150.000.000 de degrés. Les neutrons rapides peuvent engendrer de la radioactivité au sein de la chambre de réaction donc une production de déchets. »


                                      ma version et mon opinion sur l’engin (en bas de l’article) : 


                                    • morice morice 4 août 2011 22:44

                                      Toutefois, je sais que JPP avait prévu de voir Malcom Haines lors du colloque sur les Z-pinch à Biarritz cette année.


                                      je serais de vous, je confierai la conférence à Jean Pierre Papin plutôt qu’à l’autre JPP....

                                    • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 18:45

                                      Je vous ai dégotté une vidéo avec votre pote ultra-méga-soucoupiste/conspirationiste smiley

                                      Igor Witkowski : La Cloche Nazie
                                      J’aime bien prendre connaissance de toutes les versions y compris celles douteuses, je n’ai pas encore visionné ( presque deux heures....) peut-être sûrement de conneries, mais les images sont intéressantes, il est clair qu’il s’est déroulé ici une tragédie, du moins pour ceux qui ont été esclaves de ces ordures nazis....
                                      En tout cas, je ne connaissais pas cette facette de l’histoire ou très peu, je vous dirai ce que j’en pense la prochaine fois en toute objectivité.... smiley

                                      • morice morice 4 août 2011 18:51

                                        Igor Witkowski : La Cloche Nazie


                                        c’est la même que j’ai mis en lien en bas de l’article, dans la neige.

                                        En tout cas, je ne connaissais pas cette facette de l’histoire ou très peu, je vous dirai ce que j’en pense la prochaine fois en toute objectivité..

                                        merci de votre réceptivité, je pense que cet été vous vous êtes fait embarqué par les oiseaux habituels, ceux qui ne parlent que d’Agoravox tous les jours alors qu’ils en ont été virés, et qui étaient ravis de nos chamailleries. Je le répète : le jour où on se débarrassera des RAGOTS, on pourra enfin parler OVNI. Tenez, un autre encore... qui n’en est pas un... et là encore la solution est facile à trouver... mais on va laisser Navis la chercher.

                                        • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 19:14

                                          cet été vous vous êtes fait embarqué par les oiseaux habituels,....

                                          Embarqué ???certainement pas !! ce sont eux qui s’accrochent à la rame....trop contents d’avoir trouvé une brèche !!
                                          se chamailler ? divergences de point de vue, simplement....
                                          Vos certitudes en ce qui concerne certains thèmes ne sont pas miennes, c’est tout bête, on ne peut pas être toujours d’accord sur tout, heureusement  !
                                          Notamment sur Roswell, pas de certitudes, seulement une très grosse suspicion....mais se bourrer là-dessus, c’est un peu comme s’engueuler sur le sexe des anges.....il n’y a aucun élément actuellement susceptible de faire pencher la balance dans un sens comme dans l’autre...
                                          ce que je fustigerais surtout, ce sont vos certitudes non-fondées par des preuves mais plutôt sur des déductions hasardeuses...


                                        • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 19:16
                                          c’est la même que j’ai mis en lien en bas de l’article, dans la neige.

                                          effectivement, mais j’ai pas encore ouvert tous les liens, sorry.....

                                        • Pyrathome Pyrathome 4 août 2011 20:24

                                          Tenez, un autre encore... qui n’en est pas un... et là encore la solution est facile à trouver...

                                          Facile à trouver avec si peu d’éléments... ??
                                          Une structure naturelle ? un engin soviétique ? l’hélicoptère d’Osiris ? un crop-circle-underwater  ? ah ah ah !

                                          Au sujet de structure naturelle, comme certains l’affirment ( à demi-mot..) au sujet de Yonaguni qui est bel et bien une construction artificielle, ( pas la seule dans le coin, d’ailleurs..) pas facile de vouloir vivre sur ses acquis sans rien vouloir remettre en cause.....


                                          • morice morice 4 août 2011 22:46

                                            Facile à trouver avec si peu d’éléments... ??


                                            ça saute aux yeux pourtant cette forme.... elle a plus de 130 ans, figurez-vous !

                                          • morice morice 5 août 2011 00:46

                                            pas encore trouvé ?


                                          • Pyrathome Pyrathome 5 août 2011 01:13

                                            Un peu de géologie de la mer de Botnie peut-être ?

                                            1- Le Golfe de Botnie

                                            Il compte deux bassins principaux ainsi que deux secteurs archipelagiques (Vallgrund en Finlande et Angelson en Suède pour les îles principales au Nord, Åland pour le second au Sud). Le bassin du Nord a une profondeur moyenne de 43m, celui du Sud 68m. Ils sont séparés par le seuil de Kvarken (ou Quark) 20m. Au Nord, le Golfe de Botnie (s.s.)(Bottenviken Perämeri) atteint une profondeur maximale de 124m. La mer de Botnie (Bottenhavet Selkämeri) offre une cuvette plus prononcée à -249m. Le fond est caractéristique de l’origine glaciaire du domaine (cuvettes de surcreusement). Les courants marins circulent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

                                            Le bassin hydrographique du Golfe remonte jusqu’au delà du cercle polaire. Les fleuves transportent des alluvions selon un rythme saisonnier contrasté. Le matériel transporté vient de la gélifraction mais comporte aussi des substances humiques venues de vastes surfaces de tourbières ainsi que de sols podzoliques. Les eaux de surface sont peu salées : 3.5 grammes de sel par litre au fond du Golfe jusqu’à 6.5 grammes au Sud (pour mémoire, la moyenne de l’Atlantique s’établit à 35 grammes par litre). Les 60 premiers mètres de la colonne d’eau sont animés par des mouvements de convection entre le refroidissement automnal et le réchauffement de printemps, ce qui assure une bonne oxygénation.

                                            Pas de quoi faire un buzz....


                                          • alberto alberto 4 août 2011 21:11

                                            Salut morice,

                                            Mais dis donc, les cloches  : tu les attires ?

                                            Ce ne sont plus des commentaires, c’est un festival carillonnant !

                                            @ + : bien à toi... 


                                            • morice morice 4 août 2011 22:52

                                              Mais dis donc, les cloches : tu les attires ?

                                              j’avais même attiré un lampadaire, mais il est parti...

                                            • Prometheus Jeremy971 4 août 2011 22:40

                                              J’avais lu dans un livre qu’après la guerre les USA étaient allé en Antartique, ça s’appelait :

                                              opération Highjump

                                              On voit dans la vidéo une terre avec des lacs d’eau douce entouré de glace polaire. Ce serait une vidéo ramenée de cette opération. Vous avez également un détail de cet évènement ici

                                              Les forces déployés, et l’échec de l’expédition ont soutenu une grande partie de l’existence de base nazie secrète.

                                              Qu’en pensez-vous ?


                                              • morice morice 5 août 2011 00:46

                                                projet de film en cours de finalisation


                                              • morice morice 4 août 2011 22:51

                                                Ce serait une vidéo ramenée de cette opération ?


                                                en sait rien, j’ai ça dans un numéro de MP de 1949 je crois, à bord d’un B-29, je vais voir

                                                il y a plus DEBILE : ça !

                                                un reportage de Navis, en 4 épisodes !! 
                                                ça aussi, with the MUZAK !

                                                ah ah ah !

                                                • zany 5 août 2011 00:03

                                                  Là c’est sûre le coup de grâce à été la « découverte de la lémurie »

                                                  Je trouve dommage que les ufologue voie E.T. partout quand une explication rationnel peu être donné, notamment une vidéo m’avais intrigué notamment sur l’antarcitque ou l’ont voyais nettement un visage humain taillé dans la roche avec google earth (un peu comme les dessins nazca qui sont étalé sur plusieurs kilomètre avec une géométrie parfaite), et une autre" bien plus contemporaine ou il y a un trou avec ce qu’il semble une coupole en acier pouvant la recouvrir (bien visible, le deuxième trou morice avant de zapper)

                                                  http://www.youtube.com/watch?v=X-W9NnPo60s

                                                  Mais sinon oui, je trouve certaine découverte vraiment nul et non fondé, 90% de connerie


                                                • morice morice 5 août 2011 00:45

                                                   la « découverte de la lémurie »


                                                  trop bien ça, avec la terre creuse ! top !

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