Commentaire de Catherine Segurane
sur Récit d'Emanuel d'Aranda, esclave en Alger en 1640
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Pour légender les illustrations de cet article, je n’ai pas pu obtenir ce que je voulais.
Donc je précise :
- l’illustration en couleurs montre Alger vers 1670, donc peu après la présende de d’Aranda
- l’llustration en noir et blanc nous montre la mosquée d’Ali Bitschnin (maître de d’Aranda) ) l’époque de la présence française, quand elle était transformée en église ; pour l’imaginer en mosquée, il faut juste ôter mentalement les chaises.
Derniers commentaires
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05/08 20:28 - Serpico
Navis Je connais tout ça mais moi je parlais du « rendement » : en trois ou quatre fois moins (...)
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05/08 04:21 - Catherine Segurane
@ Omar Dites donc, vous avez l’air de vous y connaître, en explosifs (...)
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05/08 02:42 - Lilia Marsali
@ l’auteur, Même derrière de mauvaises intentions politiques vous nous fournissez des (...)
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04/08 18:44 - Catherine Segurane
@ Omar Aller dépenser son fric en Algérie n’est pas encore obligatoire.
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04/08 17:42 - Aafrit
J’ose espérer que vous ne faites pas le tri sélectif entre les « bons esclavagistes », (...)
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04/08 17:26 - Catherine Segurane
Très heureuse de vous avoir donné cette envie. Mais vous avez vu : le bouquin est en ligne (...)
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