est arrivé le polonais Witkowski et sa fable de centrale à soucoupes, en réalité les vestiges d’une tour réfrigérante industrielle classique.

Avant toute chose, j’aimerai revenir sur l’article précédent, il y a plusieurs points intéressants que vous avez escamoté, je crois que vous allez un peu trop vite en conclusion ....

-Witjowski affirme que la structure béton n’avait pas les fondations essentielles pour supporter le poids dune tour réfrigérante mais ce n’est pas ça le plus important...

-Pascual Jordan était physicien théoricien et nazi notoire, étude des champs quantiques , physique des plasmas et accessoirement recherche sur la gravité et donc, son contraire l’antigravité....

-Witkowski décrit la région comme étant truffé de galerie et de tunnels, 80 000 m3 effectivement trouvés à ce jour mais peut-être jusqu’à 230 000 m3 certainement ensevelis maintenant avec au moins 20 à 30 000 prisonniers dedans lors de l’évacuation en mars 1945
Toute une structure d’un site avec baraquements comme un camp , mais aussi bunkers, infrastructures, un chemin de fer à voix métrique, de plus le camp de Gross-Rosen alimentait en « main d’œuvre » bon marché le chantier....

-Il cite des noms responsables du « black-project » , outre Jordan, il y avait Walter Gerlach, mais aussi Ernst Robert Grawitz mais aussi un certain Kurt Debus qui a fini à la nasa avec son collègue Wernher von Braun bien connu...

-Quant à cette fameuse cloche que personne n’a vu ( comme celles de pâques...) il devait s’agir probablement d’une sorte de gros magnétron capable d’engendrer de forts champs magnétiques avec plasmas ??...Étant donné la qualification des gus concernés... 
Il est patent que ce site était surtout expérimental, que la structure béton sûrement un banc d’essai, et que des expériences sur des plasmas/vortex se sont certainement déroulées ici sans qu’on sache vraiment sur quoi cela aurait pu aboutir et à quoi cela aurait pu servir, peut-être même n’ont-ils pas eu le temps de « boucler un programme » qui semblait très important d’un point de vue militaire, et au vu de l’étendue du chantier....une sorte de base 51 nazie !!!
Tous les prisonniers travaillant là-dedans auraient été liquidés et ensevelis sous la montagne...

-Witjowski ne sait pas où aurait pu être emmenées la cloche et tous les éléments du projet, il suggère l’Argentine mais sans rien affirmer....on en sait guère plus !!

Cette histoire est intéressante à plus d’un titre car il y a fort à parier que si elle est véridique, moi elle me semble aller dans ce sens quoique inaboutie, les Américains ont certainement dû en récolter quelques fruits....
Mais ce n’est que mon point de vue, de là à fabriquer une soucoupe nazi à faire pâlir E.T. il y a un gouffre incommensurable.....

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Et pour votre petite devinette de la pseudo soucoupe de la mer de Botnie, il suffirait sans doute de jeter un œil d’abord sur la géologie du fond marin  ??

Et ce chapitre dédié :

1- Le Golfe de Botnie

Il compte deux bassins principaux ainsi que deux secteurs archipelagiques (Vallgrund en Finlande et Angelson en Suède pour les îles principales au Nord, Åland pour le second au Sud). Le bassin du Nord a une profondeur moyenne de 43m, celui du Sud 68m. Ils sont séparés par le seuil de Kvarken (ou Quark) 20m. Au Nord, le Golfe de Botnie (s.s.)(Bottenviken Perämeri) atteint une profondeur maximale de 124m. La mer de Botnie (Bottenhavet Selkämeri) offre une cuvette plus prononcée à -249m. Le fond est caractéristique de l’origine glaciaire du domaine (cuvettes de surcreusement). Les courants marins circulent dans le sens inverse des aiguilles d’une montre.

Le bassin hydrographique du Golfe remonte jusqu’au delà du cercle polaire. Les fleuves transportent des alluvions selon un rythme saisonnier contrasté. Le matériel transporté vient de la gélifraction mais comporte aussi des substances humiques venues de vastes surfaces de tourbières ainsi que de sols podzoliques. Les eaux de surface sont peu salées : 3.5 grammes de sel par litre au fond du Golfe jusqu’à 6.5 grammes au Sud (pour mémoire, la moyenne de l’Atlantique s’établit à 35 grammes par litre). Les 60 premiers mètres de la colonne d’eau sont animés par des mouvements de convection entre le refroidissement automnal et le réchauffement de printemps, ce qui assure une bonne oxygénation.