Bah !... Ça ne sert à rien d’essayer d’ouvrir les yeux des moutons... J’ai perdu mon temps à le faire au sein de mon entourage proche et ceci sans le moindre résultat...
C’est pas que les gens sont cons, c’est juste qu’ils sont incapable de remettre le discours officiel et leur paradigme en question tant que le frigo est plein, que les factures sont payées et qu’ils ont des places au prochain match de foot.
Tant qu’ils ne se seront pas mangé un mur qui les aura aidé à ouvrir les yeux (genre une mort tragique dans la famille et dans le même temps leur groupe d’« amis » qui les laisse tomber comme de grosses merdes face à l’adversité), il n’y aura rien à faire !... Autant pisser dans un violon, ce sera plus constructif...
C’est ainsi... Le monde dans lequel nous vivons est une mascarade ne reposant que sur les apparences et le faire-paraitre... Tant que les illusion tiennent, c’est que tout va bien... Peu importe que le fruit soit pourri à l’intérieur, dès lors que l’aspect extérieur est OK, personne ne trouve rien à y dire.
Le seul moment ou la masse va enfin ouvrir les yeux, ce sera le jour ou ils ne pourront plus retirer du fric au distributeur parce que les banques auront fermées afin de tenter de prévenir le crash.
C’est sûr que là d’un seul coup ça va leur faire tout drôle...
Tel que je le vois, la fin de cette tragi-comédie peut se présenter de deux manières :
1-Nos responsables politiques, financiers et industriels seront menés à l’échafaud par la foule en colère qui au passage va leur cracher dessus avant d’aller tondre celles et ceux qui ont fait de la « collaboration horizontale » (un certain nombre de demeures familiales risquent alors de cramer avec leurs résidents à l’intérieur après lynchage du maitre de maison).
2-L’Europe et l’Amérique du nord seront immolés dans le grand bûcher de la guerre (savoir si elle sera civile ou pas est une autre question).
Quoiqu’il en soit, le sort de notre oligarchie est d’ores et déjà réglé !... Seulement comme dans la danse macabre ils continuent pour l’instant de danser sans prendre conscience du fait qu’ils ont déjà un pied dans l’abîme alors que l’autre est posé sur une peau de banane.
En fait quand on y réfléchit, c’est presque drôle de voir ce monde foncer droit dans le mur en klaxonnant...