• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de morice

sur Les manipulateurs de marionnettes derrière Breivik (1)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

morice morice 9 août 2011 08:35

Ah, on a même la visite de la fausse dame du net : la Ségurane, derrière laquelle se cache le groupe niçois du bloc identitaire Nissa Rebela, et le compagnon d’armes du leader du Bloc Identitaire, Philippe Vardon, interdit de vote et de participation dans la vie publique politique par décision d’Eric de Montgolfier....


http://fr.wikipedia.org/wiki/Nissa_Rebela

Nissa Rebela organise chaque année dans les rues de Nice un défilé en l’honneur de Catherine Ségurane ainsi qu’une « marche de la fierté niçoise ». Ils se sont d’abord fait connaître en collant de nombreuses affiches dans la ville, dont l’une fut intitulée « Oui à la socca, non au kebab ».
En janvier 2009, alors que des incidents et des heurts ont lieu dans le centre-ville de Nice à l’issue d’une manifestation de soutien aux Palestiniens lors de la guerre de Gaza10, Nissa Rebela décide d’organiser la semaine suivante, une manifestation intitulée « Maîtres chez nous : n’abandonnons pas notre ville à la racaille ! »11. Au même moment doit se dérouler un nouveau rassemblement de soutien aux Palestiniens11. Le préfet prend la décision d’interdire les deux manifestations afin d’éviter tout incident12. Le maire de Nice, Christian Estrosi, qualifiera alors Nissa Rebela de « mouvement complètement inacceptable dans cette ville », « ils représentent tout le contraire de ce que je peux tolérer » ajoutera-t-il12

Admirons le venir s’exprimer dans une réunion publique à Nice :


voilà comment Vardon, en France, fait de la politique...

En décembre 2007, le président de Nissa Rebela, Philippe Vardon, et trois militants, furent condamnés par la justice à quatre mois de prison avec sursis et à une amende de dix mille euros pour « reconstitution de ligue dissoute ». La justice considérait en effet que ce mouvement n’était autre qu’une résurgence d’Unité radicale, une organisation nationaliste dissoute en 2002. Elle lui reprochait également la distribution d’un tract intitulé « Ni voilée ! Ni violée ! » aux abords d’un lycée niçois.

En septembre 2008, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a aggravé les condamnations : pour la « reconstitution de ligue dissoute », elle a fixé une amende de 30 000 euros envers les Jeunesses identitaires dont Philippe Vardon est l’ancien président, ainsi que 1 100 euros à verser aux associations SOS Racisme et MRAP. Elle a également privé Philippe Vardon de ses droits civiques pendant deux ans et l’a à nouveau condamné à quatre mois de prison avec sursis. Enfin, pour la distribution du tract, la justice a imposé une amende de 16 000 euros au total. Philippe Vardon et Nissa Rebela se sont pourvus en cassation mais furent déboutés en janvier 2010.


il suffit d’aller lire ses autocollants pour comprendre pourquoi il vient ici :



le soutien à Israel de Nissa Rebella n’est pas du goût de tout le monde :

et voilà ce qu« en pensent l’extrême droite pro-nazie :

finalement, c’est leur racisme qui les fera disparaître l’un et l’autre !!!

alors pourquoi il se pointe ici, le Vardon ? Parce qu’ll sait très bien que Breivick et lui parlent de la même façon et fomentent les mêmes choses.

 »A mon avis, ABB est un idiot utile qui s’est laissé mettre en avant, mais l’équipe qui les a réalisés court toujours."

J’espère que vous savez courir vite, Vardon.. vous faites du tueur un idiot, or il a bu les paroles de vos groupes identitaires : méfiez-vous, on pourrait très bien conclure à partir de là que l’idiot, c’est plutôt vous..


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès