Je vais d’abord apporter une réponse provocatrice, puis je développerai en quoi le processus d’aller sur Mars résoudra forcément bien au-delà des problèmes que nous connaissons aujourd’hui.
Ma réponse provocatrice : « Une fois que plus personne n’aura plus ni faim ni soif ni froid sur Terre... qu’est-ce qu’on fera ? »
Les principes physiques, artistiques, écologiques, altruistes, économiques, politiques qui sont les fondements du processus d’aller aujourd’hui sur Mars, résident dans le fait que ce projet n’est pas un but en soi, mais est à considéré comme un processus continu de découvertes sur plusieurs dizaines d’années nécessairement commun à l’ensemble de l’humanité.
Ce processus nécessite l’élimination de toute influence d’une quelconque spéculation sur l’économie réelle (nécessitant - comme vient de le déclarer un sénateur démocrate - destitution d’Obama pour crime contre l’humanité et réinstauration du Glass-Steagall), des coopérations internationales, développement de la biosphère sur Terre, sur la lune et au-delà, formation des plus pauvres sur Terre aux meilleures technologies afin qu’ils soient souverains, etc.
A l’heure du plus grand effondrement de civlisation que l’humanité ait jamais connu, c’est en ce sens que l’exploration spatiale doit nécessairement être au coeur de tout projet présidentiel pour 2012. Aujourd’hui, un seul l’a dit en ces termes.