Bonjour morice
merci pour la série
pour combattre son ennemie il faut le
connaître
je joints quelques phrases de Pierre
Vial, qui était devenu au fil des années la pierre angulaire entre
le FN français et l’extrême droite belge, tant néerlandophone
que francophone. Un véritable prophète de la guerre. En Belgique,
il est considéré comme un exemple à suivre par la plupart des
groupuscules néopaïens, les associations politico-culturelles du
Front national et le vice-président du Vlaams Blok :
"Nous allons tout droit vers
une guerre ethnique et cette guerre sera totale (...). Il faut donc
préparer mentalement, psychologiquement, moralement et physiquement
le plus grand nombre possible de nos compatriotes à cette
perspective, afin qu’ils vivent cette échéance le moins mal
possible, c’est-à-dire en se donnant le maximum de chances de
survivre. Cet impératif donne tout son sens à nos activités : en
organisant des randonnées, des visites de sites et d’expositions,
des conférences, des stages de formation, nous voulons mettre en
alerte les hommes et les femmes de notre peuple sur le sens des
affrontements qui se préparent et forger leur détermination à
faire face".
Dans La Lettre de Terre et Peuple, n°
4, 1995.
"Pour faire la guerre
culturelle, il faut une armée. Nous avons l’ambition de créer
cette armée. Une armée qui doit être une communauté de travail,
de combat et de foi (...). Nous allons tout droit vers une guerre
raciale."
Lors d’un entretien accordé à
Europe nouvelles, n° 15, septembre-octobre 1996, et republier
ensuite, en néerlandais, dans le Vlaams Blok magazine.
"La lutte identitaire des
peuples, engagée pour leur survie, contre le déracinement
cosmopolite, a toutes les caractéristiques d’une guerre. Guerre
Totale. Et donc d’abord et avant tout guerre culturelle, puisque la
culture est l’expression, dans tous les domaines, de l’âme d’un
peuple."
Dans sa rubrique "Guerre
culturelle ", de septembre-octobre 1996, publiée dans Europe
nouvelles.
"Un jour apparaîtra dans le
droit français un chef d’accusation, le plus grave de tous : crime
contre la nation et le peuple français. Ce jour-là, on fera les
comptes."
Dans sa rubrique « Notre mémoire
», du 5 mars 1997, publiée dans National-Hebdo.