Ce nouvel article est redondant puisqu’il traite le même sujet que le précédent.
Je répète dons une réponse qui n’est ni à charge ni à décharge pour quiconque, et qui relève simplement du bon sens populaire.
L’on sait que, de juridique, cette affaire est devenue médiatique.
On est en droit de se demander comment un rapport, qui relève du double secret médical et de l’instruction, paraît au même moment dans tous les medias.
Les paparazzi auraient-ils mis de côté leurs longs téléobjectifs pour se ruer dans l’intimité de la dame avec des optiques macro ?
Les mêmes qui disent que la presse « mainstream » ment - ce qui est souvent vrai - prennent comme vérité biblique ce qu’il leur plaît de croire.
L’esprit critique, qui devrait être cultivé dans nos écoles, se perd.
A toutes fins utiles, je rappelle ici le premier des quatre préceptes exposés dans le « Discours de la Méthode » de Descartes :
Le premier [précepte] étoit de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle ; c’est-à-dire, d’éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenteroit si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n’eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Sur le fond, encore une fois je ne sais rien.
Si vous savez, je n’aurai pas la cruauté de vouloir vous priver du confort de la certitude !