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Commentaire de Lorelei

sur Les nouveaux tabous de la modernité intellectuelle


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Lorelei Lorelei 19 août 2011 12:17

bjr amaury

j’ai découvert des choses absolument abdominal sur cette théorie eugéniste et qui se trouve sur les sites des masculinistes où hoministes...de pauvres types une minorité qui font du bruit avec des idées tellement criminelles que l’on se demande comment certain arrive à collaborer avec eux...et se laisser berner par cette engeance qui a pour amour bien entendu la haine des femmes, des homos etc...et qui en plus fait l’apologie de la pédophilie

Connotations idéologiques

Le débat nature – culture n’est pas simplement scientifique, il est aussi chargé d’importantes connotations idéologiques. Historiquement, la différence biologique a été utilisée pour justifier l’exploitation, les inégalités et le statu quo, plus généralement. A cet égard, le discours de certains scientifiques contemporains est étrangement similaire à celui d’eugénistes (5) du siècle passé. Pourtant, ériger le naturel comme valeur première est une étrange régression. Après tout, la culture fait de nous des êtres humains, capables d’agir pour contrebalancer les donnés de notre génétique, par exemple en inventant des pratiques de solidarité ou des outils (vêtements, armes…). (6)

De nombreux auteurs reconnaissent ainsi que la socialisation peut dépasser le biologique, former les aptitudes, créer des filles capables d’incroyables rotations mentales et des garçons dotés d’une superbe fluence verbale.

Des différences cognitives entre hommes et femmes existent certainement. Sont-elles biologiques ou culturelles ? La question est complexe et peut-être accessoire, en définitive. Les humains n’ont pas d’ailes, et ils volent quand même.

http://www.ada-online.be/frada/spip.php?rubrique48

Sur ce site on peut lire que : selon Warren Farrell, auteur à succès masculiniste (The Myth of Male Power) et figure de proue du lobby américain National Coalition of Free Men (NCFM), pour qui le viol marital est un non-sensl’inceste devrait bénéficier du label plus guilleret de « family sex »31, vu ce que Farrell appelle ses aspects « positifs », qu’il vante notamment aux adeptes du magazine pornographique Penthouse32. Le lien entre le masculinisme et l’industrie pornographique - le média le plus lucratif aux USA (Lederer 1983) - est significatif. Dans The Hearts of Men, Ehrenreich relie les débuts de la vague masculiniste actuelle - il y en a eu d’autres au moment de chaque vague féministe33 - à des essais parus à la fin des années 1950 dans la revue pornographique Playboy, où l’on invitait les hommes à se percevoir comme opprimés en tant que pourvoyeurs. Les idéologues masculinistes les plus lus aux USA sont d’ailleurs les chroniqueurs Asa Baber et Sidney Siller, eux aussi affiliés à la NCFM, dont les appels aux armes tirent à plusieurs millions d’exemplaires chaque mois dans Playboy et Penthouse ».

voilà à quoi on affaire dans les croyants de cette théories eugéniste
On peut lire sur ce site : Le psychiatre danois Frederik Lange reprend, en 1881, dans sa thèse, les idées du médecin français Benedict Auguste Morel (1809-1873) sur la dégénérescence et les introduit au Danemark.(…) Le déterminisme héréditariste domine chez les psychiatres qui se trouvent à la tête des institutions et des asiles qui se sont multipliés à la fin du XIXe siècle. Il faut mentionner ici les noms d’August Wimmer, l’un des premiers à introduire le concept d’eugénisme au Danemark et qui fut membre du Conseil médico-légal, ainsi que celui de J.C. Smith qui travailla avec Wilhelm Johannsen et devint expert du Conseil qui se prononçait sur les stérilisations.



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