Commentaire de easy
sur Quand je rends visite à ma banquière...
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1952 Prévert écrit La grasse matinée où il pose qu’un homme n’ayant rien mangé depuis plus de trois jours en vient logiquement à tuer quelqu’un pour lui voler deux francs.
2012 Buridan écrit que rentrant chez lui les bras chargés de nourriture offerte, il ne trouverait pas étonnant que la cité soit incendiée.
Derniers commentaires
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21/08 15:28 - La râleuse
Décrire la misère humaine dans ce qu’elle offre de plus banal - ou banalisé, je ne sais (...)
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19/08 19:23 - ubotugy
Ils ne sont puissants que parce que nous demeurons à genoux. Joli article, doux amer béton, (...)
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19/08 17:12 - easy
1952 Prévert écrit La grasse matinée où il pose qu’un homme n’ayant rien mangé (...)
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19/08 16:44 - DEMOCRITE
Joli texte, un peu sentimentalo socialo poétique. Dis donc, Mr Buridan, tu préfères (...)
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19/08 10:39 - Gabriel
La misère rend aveugle celui qui refuse de la combattre et qui, au passage d’un (...)
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19/08 10:13 - jako
Beau texte, merci et très belles aquarelles. Ce monde a ceci de curieux , c’est que nous (...)
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