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Commentaire de wolver

sur Le Prince Charmant et la (prétendue) vertu des femmes


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wolver wolver 21 août 2011 13:59

Bah disons qu’il y a avant et après le grand amour ; il suffit d’une seule fois que la chose se produise, se manifeste sans que nous calculions quoique ce soit, que l’on peut se rendre compte, qu’avec le recul, qu’avant, c’était bien, une « vie de merde »  d’un point de vue sentimental et affectif. Il y a de quoi être dégouté, sentiment de dégoût qui s’ensuit pour la vie d’avant, valable aussi bien pour l’homme que pour la femme. Comme s’est rendu compte le libertin jouisseur, blasé, quoique toujours en quête d’ occasions pour tromper son ennui, vicomte de Valmont dans Les liaisons dangereuses, après avoir été touché en plein cœur  par la vertueuse Mme de Tourvel. L’amour nous sauve de nous même, pour notre bonheur ou notre malheur, mais qui au moins nous aura apporté une certitude : nous avons connu une grande partie de l’essentiel dans cette vie.


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