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Commentaire de morice

sur Les manipulateurs de marionnettes derrière Breivik (8)


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morice morice 22 août 2011 23:29

Cela décridibilise l’ensemble de votre article 


moi ce que je trouve qui vous décridibilise c’’est beaucoup plus simple :

c’est ça : « Les Maîtres sur Monde sont les plus forts ... jusqu’à l’Apocalypse »


continuez à découvrir ce que tout le monde sait.

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/somalie-3-000-km-de-cotes-98845


et n’oubliez pas d’attendre sagement la fin du monde.


ou lisez davantage en attendant :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fascisme


Pour l’historien américain, le fascisme se développe selon cinq phases. Premièrement, des publicistes dissidents, extrémistes de droite méprisant la modération des conservateurs, et anciens extrémistes de gauche reniant la démocratie, forment une critique commune du libéralisme politique, au nom d’une synthèse nationale et sociale. L’idéologie se forme ainsi dans des pays de vieille tradition démocratique, comme la France, et, paradoxalement, un pays où naît l’idéologie fasciste a peu de chance de voir arriver rapidement un parti fasciste au pouvoir. Deuxièmement, ces mouvements, jusque-là marginaux, prennent de l’importance, car ils apparaissent, aux yeux des grands industriels et des grands propriétaires terriens, comme le seul moyen de rétablir l’ordre, notamment contre l’agitation communiste. À ce moment, le fascisme abandonne ses revendications sociales avancées pour un libéralisme économique strict. Troisièmement, le parti fasciste accède au pouvoir. Quatrièmement, le pouvoir fasciste se consolide. La cinquième et dernière phase, de radicalisation, n’a été pleinement accomplie que par lenazisme, avec la Shoah et la création d’espaces où l’État protecteur disparaît absolument : les camps de concentration, et plus encore lescamps d’extermination7.



d"annunzio est pile poil dedans. Jusqu’au 3...


Origines du fascisme italien

Le fascisme est d’abord le nom que le mouvement et le régime de Mussolini se sont donnés. Le terme provient de la fondation après la Première Guerre mondiale, par Mussolini, d’un mouvement appelé Fasci italiani di combattimento (« faisceaux italiens de combat »), ce qui donnera les expressions « fasciste » et « fascisme ». Le mot fasci lui-même est une référence à la Rome antique (les magistrats romains étaient précédés d’un certain nombre de gardes, les licteurs, chargés de ces faisceaux, symboles d’autorité, de violence de la loi8.) et aux fascio, mouvements et sociétés secrètes des années 1890, composés de paysans révolutionnaires italiens9.

Il naît en tant que mouvement décentralisé en mars 1919, sur les frustrations d’une « victoire mutilée », thème agité par les nationalistes en raison de la tournure des négociations lors du Congrès de Versailles, concernant le sort des terres irrédentes de Dalmatie, d’Istrie, deFiume/Rijeka, mais aussi en réaction au communisme en pleine expansion. Le fascisme est alors le mouvement exalté, le mouvement d’un pays qui tente de retrouver une puissance perdue, un empire perdu, un honneur perdu. 

Le nationalisme, soutenu par la plupart des artistes de l’époque (Gabriele D’Annunzio, les futuristes italiens, tels Marinetti...) va être le fer de lance du fascisme. 


Le populisme de Benito Mussolini et la passivité (due à la pacification des milices des fascios, soutenues par les classes dirigeantes et Bonomi, le ministre de la Guerre de Giolitti de 1920 à 1921 10), vont permettre à la dictature de s’installer doucement, de la Marche sur Rome du 28 octobre 1922 à l’assassinat de Giacomo Matteottile 10 juin 1924 qui va déboucher sur la déclaration de la dictature et la promulgation des lois fascistissimes en 1926.[5]



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