Cette « télé pourrie » c’est la même bande qui est à l’action, une bande à la Madoff made in france. Elle dirige également en sous-main un grand nombre de journaux dont : « l’Enfermement » dirigé par un transfuge d’une station de radio nationale. Serviteurs serviles de l’empire, parfois conscients, souvent manipulés, ils sont perpétuellement dans la sur-enchère pour se démarquer du lot. La concurrence étant sévère, il importe de plaire à ceux qui font ou défont, les « carrières » dans l’audiovisuel.
Sachant que ceux qui se retrouvent à la tête de ce type d’entreprise sont arrivés à ces postes par copinage politique (reporter vous aux mouvements de chaise à France inter), on comprendra aisément l’existence d’un canal de communication occulte, d’instruction à exécuter, de lignes éditoriales à suivre avec une certaine liberté de style. Les résultats apparaissent à l’occasion des turpitudes de DSK, de Woerth, de Tapie, de l’affaire Karachi. C’est pour le moins consternant mais peu étonnant. Le système d’emprise sur l’esprit critique est en fait assez simple. Ce qu’un triste sire avait appelé : « le temps de cerveau disponible ».
La majorité des personnes ignorant ces consanguinités malsaines ; elles croient sincèrement que les « informations » diffusées sont objectives, honnêtes, sans partis pris. Depuis que les connexions internet rapides se généralisent, l’information brute circule rapidement, sans filtrage. Les télévisions nationales françaises perdent du terrain, jour après jour, comme les journaux papiers l’ont fait. Les individus s’informant d’une manière active ; les forfaitures, les bidonnages télévisuelles ou radiophoniques tiennent de moins en moins longtemps et c’est tant mieux.
Pour le traitement des tribulations du pervers à New York, c’est l occasion d’évaluer l’immonde, l’abject, la collusion et en ce moment, la matière ne manque pas.