@ Hamid Zanaz
Votre article est d’une qualité exceptionnelle. Merci d’avoir si brillamment promu la Raison contre cette superstition alimentaire moyen-âgeuse.
En tant que médecin, je confirme la nocivité absolue du ramadan, en particulier chez les personnes en surcharge pondérale qui vont en général prendre une dizaine de kg pendant ce mois, sans compter les conséquences lourdes pour les diabétiques, dont le diabète s’aggrave constamment ( hypoglycémies diurnes et hyperglycémies massives nocturnes ) .
Les conséquences de cette hérésie diététique sont plus particulièrement remarquables chez celles des femmes non-musulmanes qui, après leur mariage avec un musulman sont « très fortement incitées » à faire le ramadan. On voit alors de jeunes femmes d’une corpulence initialement normale devenir boudinées au bout de trois ans , et obèses après cinq ans de ce régime aberrant !
Il faut imaginer que la privation de glucides pendant la journée fait que l’organisme a épuisé ses réserve glycogéniques vers le début de l’ après-midi, et donc, n’ayant plus de glucose ( carburant principal de l’organisme ) à sa disposition,se met à utiliser les graisses pour en faire des corps cétoniques.
Une fois la nuit arrivée, il y a absorption brutale et gloutonne d’une quantité absolument gigantesque de calories, l’organisme s’adapte à cette privation répétée de nourriture en stockant toutes ces calories supplémentaires sous forme de graisses, d’où prise considérable de poids.
Il y a bien d’autres conséquences sanitaires, mais il faut souligner aussi les conséquences sociales ( dans une entreprise, les non-musulmans se retrouvent à partir du début d’après midi à faire l’essentiel du travail de leurs collègues musulmans, lorsqu’il s’agit de travaux physiques. ), il faut souligner aussi les
conséquences scolaires .
Comme vous le soulignez très justement, le ramadan est avant tout un outil extraordinairement puissant de contrôle social ( c’est probablement pour ça qu’il a été inventé ... ) .