Ralala..
C’est fatiguant de voir au fil des jours des auteurs user et réuser jusqu’à la corde des arguments foireux....
Après le « si vous mentez sur quelque chose qui n’a rien a voir avec votre procès blabla », « mentir sur la couleur du napperon », ou « si vous mentez pour entrer aux US blabla »,
nous avons maintenant un auteur qui met tout le monde dans le coup , ancêtres comprises...
Raz le cul de lire des conneries.
Votre argument est un sophisme : pour qu’il soit recevable, il faudrait admettre que tous les ancêtres américains dont vous évoquez la mémoire ont eux aussi inventé un VIOL pour entrer sur le territoire, et que cela ne les a pas empêché d’obtenir gain de cause par la suite dans un procès pour VIOL.
Ah ouéé mé nan c’est pas ça ?
Bin si c’est ça.
Vous et d’autres tentez à tout prix de nous faire avaler que mentir sur un viol pour entrer sur le territoire US, c’est ni plus ni moins que juste « mentir » au sens général, un pieux mensonge de rien du tout, pour rentrer sur le territoire US, et que ça n’a rien à voir avec l’affaire en cours...
Alors que ça a TOUT à voir ! Faut être débile pour ne pas voir ça. Et je pèse mes mots.
D’autant que vous continuez à confondre les dates de ses mensonges : elle n’a pas raconté officiellement ce viol collectif à l’époque, lors de son arrivée aux US et du montage de son dossier, elle l’a fait là, ces dernières semaines, pour se victimiser... (apparemment, elle ne se rappelait même plus qu’elle avait décidé de ne pas mentionner cette fable de viol collectif dans son dossier... :/)
Le procureur se retrouve donc avec une femme qui lui raconte 2 viols, et se rend compte que le premier est inventé, que la plaignante le lui a raconté avec autant de passion que si c’était vrai et qu’il l’a crue... à tort.
Comme tout cette affaire du viol dont elle accuse DSK repose finalement UNIQUEMENT sur son témoignage (si vous prenez la peine de lire le dossier médical, vous ne pourrez qu’en convenir), la décision de non-lieu tombe sous le sens.
vous devriez également comprendre que les faits mettent finalement en lumière bien plus probablement une arnaque, mais vos oeillères vous en empêchent.
Je vous cite :
« L’ancien président du FMI n’a pas été « blanchi » ce qui signifierait qu’il est innocent. Non, non, mille fois non, même si les charges initiales n’ont pas été retenues contre lui dans ce premier acte. No comment ! »
Vous dites « no comment », mais vous en faites quand même des tonnes. Passons.
Je vais me faire aussi juge que vous :
Je vous accuse de bêtise profonde.
Puis je déclare le non lieu, car on m’avait menti.
=>Vous n’êtes de fait pas innocenté de bêtise profonde. « Non, non, mille fois non, blabla no comment »