Quand on veut faire le malin io faut connaître un peu l’histoire de cette affaire et votre affirmation ironique et qui se doit d(être très judicieuse comme quoi une fellation ne se passe pas au niveau du vagin, vous auriez mieux fait d’aller vous coucher. la desz ription de la femme de chambre est la suivante :
1- il lui presse la poitrine avec ses mains.
2- il tente une première fellation
3- il lui serre la zone vaginale avec la main et lui touche le sexe (on a retrouvé des trace ADN de DSK sur les élastiques de la culotte et des collants et sur le collant troué
4- il l’a forcé à faire une fellation et a éjaculé. On a retrouvé des traces de spermes sur son uniforme et sur la moquette mêlé à sa salive à elle.
Lorsqu’on veut donner des leçons il faut au moins connaître son dossier. Vous êtes ) à mourir de rire, monsieur le professeur qui part de principes faux et qui ne connaît rien de l’affaire. Et si je fais comme le procureur Vance je peux dire que tout ce que vous dites ne vaut rien car un élément est complétement farfelu. Votre histoire de vagin et de fellation est d’un ridicule achevé venant de votre méconnaissance parfaite de l’histoire et vous venez donner des leçons !
PS ce sont vos apis qui disent que DSK est blanchi. Il ne l’est pas d’autant qu’une procédure au civil l’accuse encore de viol et tant qu’il n’y aura pas jugement il reste sous le coup de cette accusation de viol. Et ce tout malin que vous êtes.
Et pour confondre votre bêtise voici le récit de l’agression. lisez la bien ensuite venez faire des leçons médicolégales :
Elle est dans le petit couloir qui sert d’entrée à la suite quand elle voit un homme nu, aux cheveux blancs. « Oh mon Dieu, je suis tellement désolée », dit-elle en se retournant pour partir. « Vous n’avez pas à vous excuser », lui répond l’homme. « Il m’a semblé fou », explique Nafissatou Diallo. Il attrape sa poitrine et claque la porte derrière elle.
« Vous êtes belle », aurait-il continué. Diallo pense à son travail : « Arrêtez monsieur, je ne veux pas perdre mon job ». « Mais vous n’allez pas le perdre », répond-il.
La femme raconte ensuite au magazine le détail de l’agression.L’homme la jette sur le lit, il essaye de la forcer à une fellation. Elle résiste. « Je le pousse. Je me lève. Je voulais lui faire peur. J’ai dit ’’Regardez, il y a mon chef juste à côté’’ ». Mais l’homme lui répond qu’il n’y a personne, et que personne n’entendra rien.
Les journalistes de Newsweek font remarquer que Nafissatou Diallo, avec son mètre 78, est bien plus grande que Strauss-Kahn. Elle n’est pas maigre, et est en mesure de se battre. « Je ne voulais pas le blesser », explique-t-elle pourtant. Toujours la peur de provoquer l’incident qui lui ferait perdre son travail. L’homme se recule et la traîne vers la salle de bains. Il tire sur son uniforme, repousse ses sous-vêtements, attrappe son bas-ventre tellement violemment qu’il sera encore rouge, plusieurs heures plus tard, lors de l’examen médical. Il la force à se mettre à genoux, le dos contre le mur, lui coince la tête entre ses mains : « Il m’aggrippait tellement fort ici », explique-t-elle en se tenant le crâne. Elle a senti quelque chose de mouillé et d’acide dans sa bouche et l’a recraché sur le sol, précisera-t-elle plus tard dans le rapport d’hôpital.