Bonjour Catherine,
Je n’ai pas la maîtrise technique de ce sujet, je ne peux en parler correctement. Je peux seulement dire que j’ai vu des patients greffés, dont certains ont vécu ou vivent beaucoup mieux depuis des années, et d’autres pas. Comme vous le dites les choses sont nuancées.
Il est clair que les médics immunosuppresseurs posent un problème d’immunité. Je ne suis pas médecin et je m’occupe de médecines douces et d’accompagnement. Donc je suis a priori peu enclin à pousser la roue dans le sens des immunosuppresseurs. La médecine pense autrement : elle calcule le bénéfice par rapport aux déficit, et si le bénéfice est un peu plus grand, elle accepte le déficit. C’est un choix. On ne peut savoir s’il est fondé dans tous les cas, mais il est normal de tenter quelque chose quand on suppose qu’une personne peut mourir dans un délai proche.
Après, la question des multiples associations parce que chacun veut être président, oui, cela peut générer des excès de confiance pour vendre le produit et l’asso.
Je pense qu’il y a des moyens par des plantes et la nutrition de tempérer les inconvénients des immunosuppresseurs. Mais ce n’est pas garanti automatiquement. Il faut voir de cas en cas.
J’espère que l’on arrivera dans un délai pas trop éloigné à utiliser des cellules souches ainsi que la thérapie génique. Pour les maladies graves et dégénératives je pense que ce sera l’une des voies.
J’ai eu un cancer du pancréas il y a un an et demi. J’ai été opéré à temps, et j’ai gardé la moitié utile de l’organe. Je n’ai donc pas d’autre projet thérapeutique pou>Je dis cela parce que l’on m’a proposé une chimio de consolidation après l’opération. Je ne l’ai pas suivie, le gain éventuel étant très faible et les inconvénients étant importants.
Ceci pour dire que le patient doit réfléchir, s’informer, discuter, et faire ses propres choix de manière aussi éclairée que possible.