Ça commence déjà à craquer :
"Sans vouloir devancer la justice, Tareq, Moatassem et Hussam estiment
que les islamistes ont bénéficié de soutiens au sommet du CNT. Ils
rappellent que le jour de sa mort, leur père avait été ramené du front
sur convocation de l’ex-vice-premier ministre Ali Aïssaoui, limogé
depuis. Une convocation dont le président du CNT, Moustapha Abdeljalil, a
par la suite déclaré n’avoir pas eu connaissance. Le général est tombé
dans un piège, dit Tareq : « Il m’a appelé d’une voiture, me disant qu’il
avait été arrêté par une force de 400 hommes et qu’on le ramenait à
Benghazi. Il a été emmené à l’université, qui servait de base à des
milices. Nous ne l’avons jamais revu vivant. »
C’est là : http://www.lefigaro.fr/international/2011/08/31/01003-20110831ARTFIG00662-libye-la-tension-monte-entre-milices-rivales.php