probablement parce que l’écueil dans cette recherche est celle d’une approche uni-linéaire, à savoir de chercher UNE explication, UNE cause. En fait, l’orientation sexuelle est le fruit d’interactions bi-directionnelles diverses entre différents systèmes, depuis la biologie (hormones, apparence physique, etc. mais pas les gènes en tant que tels) jusqu’à la culture dans laquelle nous évoluons. C’est un jeu subtil, et les données biologiques peuvent être contrebalancées par les influences sociales, familles, cultures, comme par les expériences... Il n’existe probablement pas une trajectoire déterminée qui conduise à l’orientation sexuelle, mais différents chemins selon les individus...
Par contre, la pédophilie, quand elle concerne les relations avec des enfants dépourvus des caractéristiques sexuelles secondaires (pilosité, seins, etc. ) est bien entendu une déviance qui s’explique par différents cheminements de l’individu, car là encore, il n’existe pas UNE cause, mais bien différentes trajectoires menant à cette déviance. Mais là, je ne peux mettre sur le même plan l’homosexualité (choix d’une sexualité entre adultes ou adolescents) et la pédophilie (adultes vis à vis de mineurs). Je fais le disinguo avec les relations entre adultes et adolescents pourvus des caractères sexuels secondaires car cela dépend pas mal d’arbitraires culturels dont notre propre histoire témoigne. Même si je ne cautionne pas, il faut constater que si une fille est capable de faire un enfant à 12 ans, c’est que la nature l’a prêvu. Après, ne comptez pas sur moi pour dire que c’est acceptable dans notre société sous nos latitudes et selon notre culture. Personnellement, je ne fantasme pas sur les lolitas !!