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Commentaire de cevennevive

sur Au gueuleton de Brassens


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cevennevive cevennevive 5 septembre 2011 18:43

Bonjour à tous amoureux de Brassens,

Pour ma part, je préfère Brassens à Brel. Mais peut-être est-ce ma proximité avec Sète et la lointaine province de Brel qui m’a donné cette préférence. Je fais partie des« imbéciles heureux qui sont nés quelque part... »

Brassens avait la critique et l’ironie guillerettes, la poésie bucolique et modeste et pourtant visait juste et descendait bien des concepts malsains mieux que des leçons de morale.

S’il fut censuré parfois, ce ne fut pas pour ses textes, mais pour son attitude un peu « anar » et indifférente aux lumières parisiennes et aux flatteries. Un peu comme Jean Giono qui refusa de « monter à Paris » pour se présenter au Goncourt. Pour Brassens, à la différence de Giono, il entrait dans cette attitude beaucoup de timidité.

Souvent, très souvent, il me vient des paroles de ses chansons. C’est pour moi le meilleur moyen de chasser d’éventuelles idées noires.

Merci Georges.

Tu dois, de là-haut, nous regarder avec ton ironie habituelle. Fais-nous quelques chansons pour le jour où nous ne rejoindrons...


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