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Commentaire de morice

sur Les manipulateurs de marionnettes derrière Breivik (16)


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morice morice 8 septembre 2011 09:31

Le fasciste Gélone dans ses œuvres...


Fasciste, oui, et il le revendique comme ici dans Rue 89 à propos de Franco 

De Marc Gelone


On rigole...On rigole... | 18H12 | 08/08/2008 |

Vomissez ! Tirez toutes les chasses que vous voulez, vous n’êtes que de négligeables microbes. L’histoire ne s’est pas faite sans vous, elle s’est faite contre vous et vous avez perdu.

En 1936, le général Francisco Franco y Bahamonde a sauvé son pays du Communisme. Et, du même coup l’Europe, sans doute.

Avec Staline à Moscou et les Bolcheviques à Madrid, la peste du XXe siècle l’aurait emporté dans toute l’Europe et son atroce bilan aurait franchi le cap des deux cent millions de morts.

Mais comme la série serait encore en cours, personne n’oserait en parler ! Il y en a à qui ça plairait bien. Ce sont qui, ci-dessus, agonissent le Caudillo d’insultes. Je leur ris au nez !


Franco qui a sauvé l’Europe, c’est bien connu... Vous en avez une autre, Gélone ??? Vous êtes un fasciste, et un fasciste indécrottable, doublé d"un RACISTE invétéré.

Quant à traiter es gens de microbes, traitez les plutôt de poux, comme celui qui aimait tant l’Espagne pour s’y être réfugié....


Après la Libération de la France, il fuit en Espagne franquiste où il est professeur de français, puis employé comme traducteur dans une administration.
Le 10 décembre 1947, il est condamné à mort par contumace, à la dégradation nationale à vie et à la confiscation des biens. En 1978, il accorde une interview à L’Express, qui la publie le 28 octobre 1978. Il y déclare notamment « Je vais vous dire, moi, ce qui s’est exactement passé à Auschwitz. On a gazé. Oui, c’est vrai. Mais on a gazé les poux. », niant la réalité de la Shoah. Il se dédouane également de toute responsabilité dans la rafle du Vél d’Hiv’, dont il attribue la responsabilité à René Bousquet, secrétaire général de la police nationale. Son extradition, demandée par la France en 1978 seulement suite à la publication de son interview dans L’Express, avait été refusée par l’Espagne, Darquier n’ayant pas été condamné pour crimes de guerre et son état de santé étant jugé trop précaire. Il meurt paisiblement en Espagne le 29 août 1980. Son décès ne sera annoncé au public que trois ans plus tard.


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