Quand le transpondeur est en mode « standby », les contrôleurs peuvent toujours voir le symbole primaire de l’appareil sur leur écran de contrôle ; il n’existe toutefois aucune étiquette ni information relative au plan de vol.
Le mode « Standby » est requis au parking, avant le décollage et après l’atterrissage. afin de ne pas créer de perturbation pour le trafic au sol car toutes les informations additionnelles surchargent l’écran radar du contrôleur.
Sur IVAO, le mode en « Standby » est simulé en réglant le transpondeur sur « OFF ».
Source : Doc 8168 Vol 1 - Aircraft Operations - Flight Procedures)
On peut donc parfaitement débrancher un transpondeur, ce qui a pour conséquence de ne laisser apparaître sur l’écran du contrôleur qu’un point, perdu dans la nuée de références sur son écran,contrairement aux certitudes des grands spécialistes de Avox qui n’ont sans doute jamais eu l’occasion de s’asseoir à une console.
Ceci n’a rien à voir avec un autre type de transpondeur IFF employé en aviation militaire.
Une fois que le transpondeur est débranché, et que le contrôleur a perdu le logo de l’appareil, il interroge le pilote,ce qui a eu lieu.
Mais pour avoir une idée de ce qui se passe,il doit faire lui-même les calculs pour connaître cap et vitesse et ne connaît de toute façon pas l’altitude.Cela prend du temps,et entre temps les gens qui ont pris le contrôle de l’appareil envoient des messages sybilins qui font croire à un détournement ce qui a pour résultat que le contrôleur fait dégager l’espace autour.
L’avion revient vers NY,et un autre avion est signalé dans le même cas.Il faut agir mais faire quoi ?A ma connaissance ,il n’y a pas de base radar militaire qui surveille cette zone,et de toute façon, ils n’auraient rien fait de plus sinon, éventuellement envoyer un avion de reconnaissance.L’avion percute la tour, un deuxième suit, cette fois les militaires entrent en jeu.Des F16 décollent,ce qui en soit est déjà extraordinaire en temps de paix et les radars militaires cette fois alertés donnent un objectif, un avion en route pour Washigton qui disparaît lui aussi, car il vole trop bas.bref, un raté total qui n’aurait plus lieu aujourdhui
Maintenant vous croyez ce que vous voulez, mais je peux vous raconter, pour y avoir assisté en direct et y avoir participé, à un drame évité de justesse, on avait failli abattre un avion avec 32 personnes à bord au dessus d’Anvers,croyant à un attentai sur la centrale nucléaire de Doel.