Les origines de l’attentat du 11 septembre 2001
Il n'y a pas de livre d'Histoire plus passionnant, plus riche, plus indispensable, pour comprendre les secrets du 11 septembre, que « La route vers le nouveau désordre mondial » de Peter Dale Scott.
J'ai découvert ce livre il y a six mois environ et j'ai aussitôt souhaité le faire connaître mais la difficulté de rendre une telle œuvre, quasi Proustienne par sa richesse, tant de détails, tant d'humanité aussi, m'a bloquée, un peu comme un surfeur au moment d'aborder une vague immense. Le résumer c'est un peu le perdre privant le lecteur de son rythme insensé de révélations, de ces incursions, comme des plongées, au cœur de l’Etat profond Américain.
Depuis cinquante ans, les hommes et les forces qui sont à l’œuvre dans le secret des « shadow cabinet » ont préparé inéluctablement le 11 septembre.
En ce qui concerne les raisons et les coupables de cet attentat, c'est notre ignorance de l'Histoire qui nous empêche les nommer. Qui ignore l’Histoire ne peut comprendre le présent.
Quand on lit ce livre, comme nous paraissent dérisoires toutes les explications que nous entendons pour sauver cette fameuse VO. Comme tout est clair désormais.
Je dirai, pour faire une comparaison : imaginons quelqu’un qui apprend que Barbe-Bleue est soupçonné d’avoir tué sa femme. Il dira : "C'est impossible, je le connais. C’est un homme qui est incapable de faire ça." C’est cet homme que Scott prend par la main, amène dans la chambre de Barbe-Bleue, ouvre le placard et lui fait découvrir le corps de ses autres épouses tuées. Et là, devant les corps, devant les faits, lui montre Barbe-Bleue assassinant la dernière. Que peut-il dire ? Le temps des rêveries est passé.
Ainsi, ces gens qui nous répondent quand nous parlons de ces fameuses deux heures où aucun avion détourné n'a été intercepté : "Oui, mais c'était nouveau et personne n'a su comment réagir ! », ignorent la véritable réponse qui tombe comme un couperet sur toutes les hésitations. Oui, le 11 septembre a aussi été un coup d'Etat d'une partie du gouvernement américain.
Qui ? Comment ? Pourquoi ?
L'habileté de Scott est de nous dire : Ne croyez pas que le 11septembre soit, dans l'histoire des Etats-Unis, un évènement soudain et unique. 50 ans de politique l'ont amené, préparé, construisant une situation monstrueuse qui ne pouvait que le produire.
Et il nous entraîne dans ces secrets.
On descend dans l'Enfer de Dante.
« Voi ch'entrate, lasciate ogni speranza !"
Le labyrinthe des cercles du pouvoir où le pire n'est jamais qu'une stratégie.
"Le 11 septembre doit être envisagé comme le point culminant d'un mécanisme à l'œuvre depuis un demi-siècle, conduisant à des décisions prises en secret par de petites coalisations, à la militarisation du maintien de l'ordre, à des plans prévoyant la séquestration des dissidents, ainsi qu'à des opérations, des transactions et des actifs gouvernementaux échappant au contrôle de nos représentants et enfin par la gouvernance de ceux qui financent les partis politiques plutôt que par ceux qui s'y impliquent."
Ces fatales cinquante années où la démocratie Américaine va peu à peu disparaître sous l’influence d’une oligarchie voit se succéder Nixon (R), Ford, (R), Carter (D), Reagan (R), Bush ®, Clinton (D) et Bush (R).
Mais les maîtres réels des Etats-Unis, seront Dick Cheney, Donald Rumsfeld et Brzezinski. Ce sont eux, obsédés d’ennemis extérieurs et intérieurs, redoutant le peuple et la démocratie, qui ont créé un monde qui, bien avant le 11 septembre, est déjà celui du Patriot act. Le secret prend le pas sur la transparence. La démocratie Américaine, tant vantée par Tocqueville a vécu.
Dick Cheney et Donald Rumsfeld font leur apparition en novembre 1975, après la démission de Nixon et les premières heures du gouvernement Ford. Ils apparaissent au cœur d’un mini coup d’Etat : « le massacre d’Halloween », neuf personnalités du gouvernement ayant été contraintes de démissionner. Ils occupent en 75 les mêmes positions dominantes qu’en septembre 2001. C’est également à ce moment-là que Bush père devient directeur de la CIA. La fine équipe est au pouvoir.
Leur premier objectif va être de soustraire la maison Blanche et la CIA au Congrès. Bush va désormais avoir sa CIA perso qui sera hors registre et hors-pays.
La politique de ces trois là peut se résumer en un mot : Mater ! Mater le congrès, mater le peuple, mater les grands ennemis planétaires, les communistes et les Islamistes ! Go !
Un de leurs grands défauts va être, pour établir leur puissance, de se lier avec les mafias, les gangsters et les terroristes.
Donnons un exemple qui reprend un nom que vous déjà dû entendre : Adam Khashoggi. Dans les années 70, Khashoggi crée le « Safari club » qui va permettre de faire de la politique étrangère en échappant au contrôle du Congrès. Ce club réunit la France, l’Egypte, l’Arabie saoudite, le Maroc et l’Iran. Tout ce joli monde est reçu dans une de ses propriétés du Kenya. Comme on a besoin d’argent pour jouer au Monopoly des puissants, Bush permet la création d’une banque d’origine Pakistanaise, la « Bank of crédit and commerce international »,qui devient une machine internationale de blanchissement d’argent, achetant des banques à travers le monde afin de créer le plus grand réseau clandestin de l’histoire. Bush a sa CIA privée. Les opérations genre escadrons de la mort de l’opération Condor peuvent fleurir sponsorisées, entre autres, par les pétrodollars d’Arabie saoudite.
Tout ce monde frelaté qui va pousser au 11 septembre, pour plus d’argent, pour plus de pétrole, pour plus de pouvoir, se met en place.
Ah ! Les fêtes sur le yachts de Khashoggi avec toutes les putes du coin ! (Jouaient-ils à violer des femmes de chambre ?)
Passons à Brzezinski.
Brzezinski, polonais, détestait les Russes. Tout vient de là. L’histoire est en route. Comment leur nuire ? En utilisant la situation des populations islamistes. Et je te fais distribuer des Coran et je te crée des factions et des rebelles, et je te fais naître Ben Laden ,le chouchou de Bzrezinski, jusqu’à la fameuse chute de l’empire soviétique.
Mais est-ce un gain de remplacer un ennemi par une autre ?
En fait les islamistes sont les putes des Etats-Unis. Ils les utilisent quand ils en ont besoin, les mettent sur les trottoirs où ils seront les plus utiles, aujourd’hui en Libye, les paient, les droguent, les envoient au combat, les lâchent. Et si certains se révoltent ce sont vraiment de sales arabes. Mépris de l’humain.
Les vrais terroristes musulmans font de petits attentats à la voiture piégée. Les grandes machines, les grands attentats en technicolor et cinémascope, ils n’en ont pas les moyens. Quelqu’un imagine-t-il ce qu’ a pu coûter le 11 septembre ? Non. Pas seulement un lot de cutters de chez Leroy-merlin. (Cutters très efficaces si l’on s’en tient à la dernière bande proposée par les télés, hier, où l’on apprend, de la bouche même de l’hôtesse de l’air du AA11, que tout le monde a été assassiné. L’équipage était de 11 personnes, plus 81 passagers, cela fait, si je compte bien, moins elle qu’ils ont laissée vivante pour qu’elle informe ses chefs, 91 cadavres au cutter. Chapeau la qualité de la lame ! Vu les circonstances on ne comprend pas pourquoi Atta leur demande quelques instants après de rester tranquilles. Mais, nous ne sommes pas étonnés, après la mort de Ben laden jeté à l’eau, ce sont les créations de « Disney Washington ». Scénars toujours très faibles !)
Bzrezinski fut un démon pour les Russes, les afghans et tous les islamistes qui n’étaient pas de son bord mais aussi pour les braves citoyens américains.
D’une part il shoota une bonne partie de la jeunesse avec sa super héroïne made in là-bas. Suite à son grand intérêt pour la production du pavot qui lui assurait de remarquables revenus, à New-York, les morts, suite à l’arrivée sur le marché de la drogue afghane, augmentèrent de 77%.
D’autre part il créa la fameuse FEMA qui a pour but de s’occuper du peuple en cas de tragédie nationale, climatologique, genre Louisiane, ou terroriste. C’est la Fema qui s’occupera de mettre tout le monde dans des camps pour les protéger. Ils l’ont déjà fait avec des Japonais pendant la dernière guerre et ça marche très bien. Quiconque a vu « Super huit », le dernier film produit par Spielberg et Jackson, a compris à quel point il était facile d’embarquer toute une ville vers des camps sans que personne ne s’émeuve outre mesure. On allume un feu derrière la ville puis on envoie l’armée avec des cars qui dit à tous « Montez et suivez-nous, on vous protège ! ». Et personne ne dit rien. C’est plié en quelques heures…
A ce sujet Huttington a écrit dans son livre « Crisis in democraty » destiné à la Trilatérale : « Un gouvernement qui manque d’autorité, n’aura pas la possibilité, sans une crise cataclysmique, d’imposer à son peuple les sacrifices nécessaires. Il existe des limites à l’extension de la démocratie. »
Ce que soulignera en rouge Bzrezinski dans son livre « Le grand échiquier » : « La démocratie est inamicale à la mobilisation impériale. »
Tout est dit.
Oui, mater le peuple qui aurait l’idée de ne pas trop apprécier les nouvelles tendances d’un gouvernement qui se gave et le laisse crever.
Cette idée est chère à bon nombre d’ Américains. Ce grand peuple est un peuple de droite. Avec un esprit de droite qui méprise le peuple et le redoute. Et s’il se révoltait ? Comme les Noirs autrefois ?
Dès 68, sous Nixon, le plus paranoïaque des présidents, croît et embellit la guerre psychologique. ( Par propagande, mensonges, vérités, semi-vérités, fausses preuves, faux témoignages , données erronées ou trompeuses) Tout ce que nous voyons donc dans la presse aux ordres est une tactique qui date du bon vieux temps. Un agent de la CIA dira : « Vous pouvez avoir un journaliste pour moins cher qu’une bonne prostituée. » (Est-ce le tarif de M. Joffrin qui, dans le nouvel Obs d’hier, écrit un éditorial qui a provoqué une levée de boucliers : « Pourquoi les complotistes sont des ennemis de la démocratie » ?)
Ils iront même plus loin avec ce qui fut appelé : le contrôle des esprits (projet MK Ultra mis en oeuvre par la CIA de 50 à 90 et visant à manipuler par injections de substances psychotropes.) Plus de trente institutions dont des universités US participèrent à ce programme.
Plus loin encore, nous rappelant ici, l’Europe se mettant peu à peu au goût du jour, cette fameuse Eurogenfor créée par la merveilleuse MAM. Alors que la loi dite du « Posse Comitatus » établissait que l'armée n'a pas le droit d'intervenir dans le gouvernement civil, en 75 le programme « Cable Spicer » adapta à un usage national les procédures utilisées par l'armée au Vietnam.
Plus encore. Le programme cointelpro du FBI créa de faux mouvements révolutionnaires. En particulier dans des réserves d'indiens. L'armée et la police iront même jusqu'à fournir des armes à des gangs de droite interdits. Oui, la fréquentation de l'extrême-droite et son utilisation ne datent pas d'aujourd'hui. L'armée a pris l'habitude de contrer la gauche en armant la droite. Rien de nouveau sous le soleil.
Mais revenons à Rumsfeld et Cheney. Leur contribution immense aux évènements du 11 septembre sera la création, dans les années 80, du COG « Continuity of gouvernement » en cas d’évènement grave. Cette disposition permet à un homme et un seul d’avoir tous les pouvoirs en période troublée. Cet homme , le 11 septembre, ce sera Rumsfeld lui-même et cette décision va coûter aux US trois mille vies et trois tours.
Qui a monté l’attentat ? Al Qaïda ? Les US ? Le Mossad ? L’arabie saoudite ? Le Pakistan ?
Ces cinq là sont un peu les frères Dalton. Ils bossent ensemble.
Al qaïda , en particulier est l’enfant de la CIA. C’est une réalité historique. Certes AlQaïda prépare des attentats mais, manque de bol avec des instructeurs arabes incorporés dans l’armée américaine. En particulier le fameux Mohamed qui faisait partie des services de renseignement américains et entraînait tout Al Qaïda ! Les bandits sont formés par les gendarmes !
Ceci n’est qu’un détail si l’on considère que le monde est désormais dirigé par une coalition qui n’a aucun souci de race ou de religion. Seules sa puissance et sa perennité lui importent. Dans ce supra monde il y a des faucons, des banquiers, des chrétiens, des juifs, des musulmans d’Arabie Saoudite, pays impliqué au premier chef dans les attentats, Ben Laden est prince saoudien et quinze des dix-neuf pirates de l’air étaient saoudiens. Mais Bush était grand ami de la famille Ben Laden qui a été la seule autorisée à quitter les Etats-Unis après les évènements. Là encore, comme pour Al Qaïda, il y a les Ben Laden gentils et méchants.
Tout ce petit monde travaille la main dans la main. Oui, le Pakistan, l’arabie saoudite, aidés par le Mossad sont fortement soupçonnés de s’être occupés de la partie technique des attentats.
Mais il fallait bien que ces avions, pénétrant sur le territoire américain, puisent arriver jusqu’aux tours ce qui était tout de même délicat.
C’est là que l’action de Rumsfeld a été capitale. Il a ouvert le ciel de son pays à ses amis-ennemis. Et là il n’y a plus de conditionnel. C’est un fait historique.
Robert Bowman, ancien lieutenant-colonel de l’armée de l’air déclara en 2005 :
Si notre gouvernement n’avait tout simplement rien fait et avait permis le déroulement des procédures normales ce matin du 11 septembre, les tours jumelles seraient encore debout et des milliers de victimes Amércaines seraient encore en vie. »
Mais c’était impossible. En vertu des dispositions du COG. En cas de problème grave, le président est court circuité. Un seul peut donner des ordres. Le 11 septembre ce seul là était le secrétaire de la défense Rummsfeld.
Comment en était-on arrivé là ?
Le 8 mai 2001, Bush demanda à Cheney de superviser la mise au point d'un effort coordonné au niveau national contre les terroristes et les armes de destruction massive. Ce groupe "National Preparedness review » relançait la COG. Un autre coquin leur fut adjoint. Joe Allbaugh fut nommé directeur de la fema. C’est Allbaugh qui avait géré la campagne de Bush en 2000 et avait été impliqué dans les magouilles électorales de Miami. Un expert en "coups tordus ", indispensable en prévision du 11 septembre..
En juin 2001, le pentagone émit un nouveau document décrétant que toute interception aérienne devrait être approuvée par le secrétaire de la défense. M Donald Rumsfeld.
La Vo ne s'interroge pas pour savoir pourquoi ce mémo a été promulgué 10 semaines avant le 11 sept et restaurée en dec 2001. Quel dommage...
Le 6 août la Cia transmis à Bush un mémo disant que Ben Laden se préparait à attaquer.
Bush le lut et partit à la pêche. Ce n’était pas son problème. Il y en avait beaucoup d’autres sur le coup. A lui la pêche et l’inauguration des écoles.
Ainsi, seul Rumsfeld pouvait donner ce jour là des ordres d’interception et à aucun moment il ne l’a fait, même quand on lui a signalé, minute après minute, l’approche de l’avion qui devait s’écraser sur le Pentagone. Mais pas du côté où il était. Ouf !
Que Rumsfeld ne soit pas jugé et en prison jusqu’à la fin de ses jours , lui que l’on a vu sur une vidéo, coincé dans un ascenseur et traité d’assassin par des Américains bien informés, voilà qui nous laisse mieux comprendre ce qu’est l’Amérique actuelle.
L’Amérique d’Obama, qui refuse aux secouristes de Ground zéro qui ont contacté des cancers lors de leurs travaux de déblayage d’être pris en charge et qui ne les invite pas aux cérémonies de commémoration car il n’y pas assez de place.
Quand il fallait bosser, vite, sur les décombres pour faire tout disparaître le plus rapidement possible, là, il y avait de la place !
Le même Obama qui protège Bush de toute action judiciaire et qui met en garde son pays d’une éventuelle intervention d’Al Qaïda. Mais quelle Al Qaïda , M Obama ? Les pauvres malheureux qui font sauter leurs slips et leurs chaussettes parce qu’on les a gentiment laissé monter dans des avions ? Ou vos amis Saoudiens ? Ou vos amis Libyens ? Ou vos amis de la CIA1 qui noyaute la CIA2 ?
Et qui dirige la COG en ce moment ? Rumsfeld ? Bis repitatia non placent. Vous allez y laisser quoi là ? Combien d’Américains sont prévus au compteur des dégâts collatéraux ?
Obama, la marionnette de Chicago, le valet des banques. La honte des noirs et de tous les hommes conscients des réalités de cette histoire.
Il y en a de plus en plus. Quelqu’un hier sur le fil , suite à mon article « L’attentat fasciste du 11 septembre » me disait que la preuve que la VO était vraie est que j’étais encore vivante. Il faut dire que si la Cia voulait me dézinguer (mais laquelle ???), il y en aurait bcp d’autres avant moi : Scott, Alex Jones, Meyssan, qu’ils ont eu sous la main en Libye, et les milliards d’êtres humains qui doutent , et de plus en plus, de cette mise en scène, certes de qualité, mais qui nous enfonce, hélas, dans la noyade la plus tragique. Nous vivons la fin du « Titanic » au ralenti.
C’est cette clique qui actuellement met l’Afrique et l’Europe à genoux, poussant vers un chaos qu’ils ne maîtrisent pas, la planète tout entière. Toujours le pétrole. Toujours le fric. Toujours leur putain de rêve de domination universelle.
L’Europe, l’Afrique, sont les nouvelles tours qui vont s’abattre.
Je voudrais simplement terminer sur ces fameuses bandes qui sont données à entendre à la télé. Pourquoi les ont-ils choisies ? (On les devine facilement.) Parce que beaucoup disent en effet qu’il est incroyable que ces avions n’aient pas été arrêtés. Ils veulent donc faire comprendre au bon peuple niveau Texan de Dallas que, ce matin là, il y a avait vraiment un grand désordre dans le ciel ! Que l’armée de l’air, qui doit être verte quand elle entend ça, ne savait à quel saint se vouer :
-Oh ! Ils ont touché une tour !
-Oh ! Les tours s’effondrent !, ces deux phrases se suivant dans la foulée. Non seulement ils n’y comprenaient rien mais encore ils avaient un bandeau sur les yeux !
Et bien, braves gens de Dallas et d’ailleurs, maintenant quand on vous dira : « Oui, ils étaient perdus, ils ne savaient que faire, voilà pourquoi ils ne sont pas intervenus ! », vous pourrez répondre : « Non. C’est parce qu’une disposition, le COG, votée dix semaines auparavant interdisait toute interception sans ordre de Rumsfeld et que celui-ci a abandonné son pays aux terroristes ses amis. »
J’espère que je vous aurait donné envie de lire le livre de Scott , cet article n’étant que l’ombre de l’ombre du quart du millième de son admirable étude. Elle commence par ces mots :
« L'Amérique, comme nous l'avons connue et aimée, peut-elle être sauvée ?
Il faudra beaucoup de courage. N’en doutons pas. Mais ce courage pour nous et nos enfants, nous l’avons.
Vous souvenez vous de cette question que vous vous êtes, sans doute, posée autrefois : « Qu’aurais-je fait pendant la guerre ? Aurais-je eu le courage de faire partie de la résistance ? »
C’est à cette même question à laquelle il nous faut répondre aujourd’hui.
Mais avons-nous le choix ?
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