Aujourd’hui, j’ai décidé de m’intéresser à l’escalade, pour changer.
J’ai trouvé un très bon site pour ça, avec par exemple ce texte
En 1938, Riccado Cassin est au pied de l’Eiger, il fait mauvais. Quatre alpinistes sont engagés dans la face nord, ils sont déjà trés haut, s’ils reviennent vivants, ils seront victorieux. C’est chose faite le lendemain, Heckmair et sa bande rentrent à la Kleine Scheidegg avec en poche la première ascension de la face nord de l’Eiger. Cassin reprend le train, rentre à Lecco ; il ne reste plus que les Jorasses...
L’histoire qui suit frise le cocasse, mais témoigne également de la fraîcheur mentale et de la maîtrise technique de Riccardo Cassin. Il ne connaît pas le massif du Mont Blanc, des Grandes Jorasses il ne possède qu’une carte postale. Le 30 Juillet il est à Courmayeur avec Tizzoni, se fait indiquer le Col du Géant et monte au refuge Torino. Les deux alpinistes laissent derrière eux une sensation d’incrédulité quand ils demandent aux gardiens du Torino, puis du Requin au passage, le chemin vers la face nord des Grandes Jorasses. Arrivés au pied de l’édifice, reconnu grâce à la carte postale, Cassin et Tizzoni cachent leur pitons et mousquetons sous un bloc, et remontent à Torino pour retrouver Esposito, le troisième larron.
Le premier août, Pierre Allain franchit la rimaye ! Mais les conditions sont moyennes, beaucoup de glace, et la « pure lumière » redescend, une fois de plus, perturbée par un rocher pas assez sec pour grimper en libre.
pourquoi je vous parle de ça ? Parce qu’un jour on m’a accusé de plagiat. Alors quand j’en trouve un FLAGRANT, je jubile. On m’avait piqué mes textes et des vautours étaient venus dire l’inverse. Ces mêmes vautour, aujourd’hui... volent de leurs propres mensonges, à ce que je peux lire.