@ l’auteur : par certains cotés , vous faites peur. Quand vous faites des comparaisons entre PIB et dette de l’état , vous rapprochez les dettes de l’état des revenus des gens , mais les revenus des gens , ils apartiennent aux gens , pas à l’état .
Votre salaire , vous l’avez gagné par votre travail ; vous ne l’avez pas reçu comme cadeau de l’état . Alors , quand il en prend un peu , c’est normal , sinon , il faudrait pour le refuser que vous soyez un ermite qui ne méne pas ses enfants à l’école , ne se sert ni des routes , ni des chemins et ne compte ni sur les pompiers , ni sur la police en cas de pépin , etc.. etc...
OK
Mais au dela d’un certain pourcentage , l’impot n’est plus légitime , c’est tout simplement du vol , il faut le dire . on peut débattre du pourcentage , mais guére du principe . C’est du vol , de la spoliation sous menace de la force ( huissiers , fisc , police , prison , etc... )
Attention , nous en sommes déja à 56 p cent de dépenses publiques .
Bas les pattes : la constitution garantit le droit de propriété : quel sens cela a t’il encore si on peut être taxé dans tous les sens , sans limite et de façon discrétionnaire ?
Ce n’est pas simplement une limite de déficit budgétaire qu’il faudrait mettre comme régle d’or , mais aussi une limite de prélévements obligatoires, une sorte de bouclier fiscal collectif ;
Au delà d’un certain seuil , les droits de l’homme sont violés , et à 100 p cent de prélévements redistribués sous forme de dépenses socialisées et d’allocations diverses et variées , on serait carrément en plein cauchemar collectiviste . il resterait quoi , alors : prendre la maquis et la Kalachnikov ?