Tiens ? C’est marrant, vous oubliez de préciser qu’au départ, lui et ses avocats niaient tout en bloque ?
il n’y avait pas eu de rapport et c’est devant les preuves qu’ils ont changé de version...il y a eu un rapport, mais consenti...
cette stratégie est la plus typique lorsque l’individu est coupable...
Il ne pourrait pas dire qu’il à d’abord prétendu qu’il n’y a eu aucun rapport pour sauver son couple, puisqu’il s’avère évident que ce couple est plutôt « libertin ». donc, il n’a même pas cette excuse pour son mensonge de départ.
Vous oubliez aussi de préciser que son silence peut aussi être dut à se culpabilité, car s’il doit raconter sa version des faits, il ne pourra que mentir, tout étant enregistrer par les médias, cela pourrait fort bien se retourner contre lui, lors du procès au civil...
En gros, ce qu’il faut comprendre, c’est que s’il était coupable, tout la stratégie adoptée serait identique !
L’innocent aurait de suite expliqué sa version des faits...
parce qu’avec votre
" on sait que sous un faisceau d’accusations vraisemblables qui peuvent
être calomnieuses, une représentation des faits la plus fidèle possible à
la réalité n’est pas forcément la réplique adéquate à apporter pour les
réfuter. Il convient souvent, au contraire, de se placer dans le
contexte de vraisemblance et non de représentation fidèle de la réalité
pour neutraliser une calomnie.«
le »on sait" est déjà une manipulation en sois...pour le reste vous essayer de noyer le poisson, quand au fait que ne pas donner sa version des faits est tout aussi probablement pour ne pas saborder sa défense par les mensonges qu’il ne manquerait pas de devoir fabriquer.