Le « bouddhisme tibétain » en fait le lamaïsme : mélange indigeste de 10% de bouddhisme et 90% de chamanisme sauvage :
http://bouddhanar.blogspot.com/2009/07/lamaisme-et-contre-initiation.html
Quand le Dalaï Lama
chantait les ” Sutras de la damnation “, des têtes humaines, du sang, des cœurs
et des chairs humaines fraîchement dépecées servaient d’offrandes. Un tel rite
eut encore lieu en automne 1948, quand le Dalaï décida de chanter des ” Sutras
” sur la Place de Lhassa, dans l’espoir de contrer la révolution communiste. A
cette occasion, 36 jeunes furent arrêtés ; 21 d’entre eux furent mis à mort
pour servir d’offrandes ».
L’exécution publique des serfs était courante. Parfois, ils étaient d’abord
éventrés, puis traînés dans la ville avant leur exécution. Le code pénal
(écrit), qui fut rédigé par le gouvernement local tibétain d’avant 1951,
divisait la société en trois classes. La classe supérieure comportait les ”
Bouddhas vivant “, les nobles et les hauts fonctionnaires d’État. La classe
inférieure comportait les serfs et les esclaves. Si un membre de la classe
inférieure offensait un membre des classes supérieures, l’une des peines
suivantes était appliquée : yeux arrachés, jambes hachées, mains ou langue
coupés ou encore être jeté du haut d’une falaise. Une simple accusation
suffisait ; l’accusé, s’il était membre de la classe inférieure, n’était pas
entendu. Si un membre de la classe inférieure assistait incidemment au viol de
sa fille ou de sa femme par un seigneur, il devait avoir les yeux arrachés ».