1- sans doute est-ce au bistrot du commerce que DSK a appris à mentir, à être si lourd avec les femmes ? Ce lieu ou les bidochons, un verre de bière à la main et la mousse sur les moustaches se flattent de leur conquêtes forcées.
2- mono maniaque, par définition veut dire un seul. Or par la diversité de mes articles je n’ai même pas besoin de prouver l’absurdité de cette affirmation. Les soviétiques en leur temps étaient les champions de l’accusation psychiatrique pour interner leurs opposants. Je vois que cette méthode perdure. Je n’ai même pas non plus à dire combien cette méthode est honteuse, misérable, méprisable et preuve de l’incapacité à trouver des arguments ou bien à défendre une cause par tous les outrages possibles.
3- c’est le genre de défense de ceux qui n’en peuvent plus de trouver quelque chose pour défendre à tout prix DSK. Il s’agit là de ce pourquoi Vance a abandonné : le mensonge. DSK comme le prouve le livre de son lèche-cul et le communiqué de ses avocats (c’est écrit et non un ragot du café de commerce) a déclaré que tout était imaginaire. Or de ce tout imaginaire on découvre : a- que l’appartement existe, b- qu’il s’est bien passé quelque chose. Vouloir transformer ses faits en ragots est tout simplement indigne de toute personne qui fait foi d’honnêteté. Défense médiocre digne de tous les politicards de bas étages. Exactement les arguments de Sarkozy quand on l’accuse. Comme quoi la crapulerie n’a pas de frontière ni pour les crapules, ni pour ceux qui les défendent.