Il me semble dans son livre la république des mallettes que Sarko en prend pour son grade , non ?
pas vraiment c’est même plutôt le contraire... le thème c’est pas BourghI, c’est Djourhi : à croire que le premier s’est sacrifié pour qu’on ne parle pas du second ! or le DANGER, pour Sarko c’est plutôt Djourhi...
et ça va loin
Son interventionnisme parfois brutal s’illustre dans l’affaire de l’Angolagate, dont le procès en appel vient de débuter - une vente d’armes remontant aux années 90 qui continue d’empoisonner les relations entre Paris et Luanda.« Des contrats portant sur 50 milliards d’euros sont depuis en suspens »,souligne Hervé Seveno, ancien policier devenu l’un des ténors de l’intelligence économique et intime de Djouhri, pour justifier l’irruption de Djouhri dans le dossier. Relayant la cause de Pierre Falcone, principal prévenu du dossier Angolagate, il milite au plus haut sommet de l’Etat pour sa libération, quitte à faire pression sur des magistrats. Le conseiller justice de Nicolas Sarkozy, Patrick Ouart, jugé trop peu actif, n’y a pas survécu : il a quitté l’Elysée fin 2010 pour pantoufler chez LVMH après s’être plaint de menaces. Comme l’a révélé l’Express (1), Djouhri, aurait parlé de le« fumer ». Simple propos à l’emporte-pièce ou héritage de son passé où l’on ne compte plus les coups de feu ? Retour sur le parcours hors norme d’un demi-sel devenu tout puissant.