Si on vous fait une critique sur la forme de votre article, cela n’implique pas automatiquement un désaccord avec le fond. Ne soyez pas paranoïaque, je n’ai recensé qu’une seule attaque ad hominem sur les 23 réponses. Evidemment que votre article obtient 85 % de votes positifs : la toxicité des fluorures est connue et n’est pas étonnante.
Le désaccord portait sur les amalgames que vous faites (ex : le prozac contient du fluor : oui mais ce fluor est lié à du carbone et n’est donc pas assimilable ; ce genre de choses desservent votre discours). Quand je vous dis que vous avez raison d’alerter les gens sur les sources de fluorures (produit bucco-dentaires, sel, eau) : cela veut dire que je suis d’accord. La fluoration des eaux aux US n’est manifestement pas une bonne idée, mais nous n’avons aucun pouvoir là-dessus. S’agit-il d’un moyen pour éviter de traiter des déchets industriels ? C’est possible, mais vous n’avez pas besoin de diaboliser les pouvoirs publics (même américains), en parlant de douce soumission, de projet manahattan, de recherches effectuées sous le régime nazi, ou d’armes chimiques en Irak (ça fait un peu lourd, et on ne comprend pas le pourquoi de la machination, alors qu’en disant simplement qu’une législation absurde prétextées par un problème dentaire de santé publique permet à des industriels de faire l’économie du traitement de certains déchets, vous ferait gagner en clarté et crédibilité).
Mais ne vous en déplaise, le fluor est un constituant nécessaire du squelette, et l’industrie du fluor se révèle d’une grande utilité : industrie chimique, industrie nucléaire, recherche spatiale, industrie des matières plastiques, polissage et gravure des verres, décapage des métaux, réfrigérant, propellants pour aérosols, agent antifeu, anesthésique, agents diélectriques...