@l’auteur : vous avez écrit : "des parcs voltaiques a l’abandon et des tonnes de déchets extrêmement
polluants sur les bras (les matériaux voltaiques le sont énormément)"
Arrêtez de propager ces rumeurs non fondées !
Les panneaux photovoltaiques standard, c’est 12kg par m2 qui remplacent de 40kg à 50kg de tuiles béton ou terres cuites, dont la fabrication, la cuisson et le transport coûtent énormément d’énergie (ce que l’on appelle énergie grise) vu la masse 4 fois plus grande et le processus de fabrication.
Quand au béton, personne ne l’analyse et pourtant les fours à ciment servent à bruler les déchets les plus dangereux que personne ne veut. Et contiennent même des déchets radio-actifs depuis qu’une loi dictée par l’industrie nucléaire l’autorise : http://www.criirad.org/mobilisation/synthese_5mai2009.html
Pour revenir aux panneaux, il s’agir simplement :
- de sable sous forme vitreuse : une plaque de verre de 4mm (10kg /15kg)
- de sable sous forme cristallisée ie du quartz : la fine couche électriquement active (0,5kg/15kg)
- de plastiques divers pour l’étanchéité à l’eau (1,9kg/15kg)
- un cadre en aluminium (2,5kg /15kg)
- un peu de métaux pour les connexions électriques (0,1kg/15kg)
C’est à dire que les panneaux sont moins lourds et utilisent moins de sable, de métaux ou de plastiques qu’une fenètre double ou triple vitrage ou qu’une véranda, sans parler d’une voiture.
Quand à leur recyclage, le verre et l’aluminium sont directement réutilisables, le métaux est récupérable directement , et la fine couche de quartz peut être refondue pour former de nouvelles cellules, ou juste broyée et remise sou forme de petits grains de quartz que l’on appelle... du sable, nettement plus pur que le sable d’origine.
Pourquoi autant d’attaques contre les panneaux photovoltaiques, légers et qui produisent de l’électricité, et rien contre les tuiles, les fenêtres, les vérandas ou les voitures, qui se contentent de consommer ? Peut-être un lobbying mafieux bien ciblé...