Les physiciens qui parlent de la vitesse RELATIVE de particules comme ayant la vitesse de la lumière n’ont rien compris à la relativité d’Einstein ou alors inconsciemment valident la fausseté de la théorie du grand homme, en effet :
Si une particule quelconque se déplaçait par rapport à moi à la vitesse de la lumière c , ça veut dire par principe de réciprocité que je me déplacerait moi même à -c par rapport à cette particule, ce qui selon les équations de la relativité me conférerait une énergie/masse infinie ce qui est absurde, conclusion :
- soit le principe de réciprocité et de relativité au sens large est faux et c’est Newton qui avait raison avec son espace absolu, seul espace à partir duquel on peut estimer des vitesses,
- soit le principe de réciprocité/relativité ne s’applique pas aux particules qui se « déplacent » à la vitesse de la lumière (on se demande bien pourquoi ? ) ce qui par voie de conséquence interdit d’utiliser toute particule de cette sorte, même implicitement comme référentiel d’un mouvement : conséquence bizarre mais implacable de cette situation il est interdit (car ça n’a aucun sens) de parler de la vitesse d’une telle particule autrement que depuis le référentiel absolu de Newton. A moins que le concept même de déplacement relatif de quelquechose de matériel par rapport à quelque chose d’autre (matériel aussi de préférence) n’ait pas de sens.
Curieusement aussi l’expérience de Michelson se proposait de déduire la vitesse de la terre par le différentiel de vitesse de 2 branches de trajectoires lumineuses différentes, ce qui n’a aucun sens puisqu’en mécanique classique, aucune expérience interne à un référentiel ne peut permettre de déduire la vitesse uniforme de ce référentiel dans l’espace.
On pourra me rétorquer que l’expérience de Michelson était « externe »car elle visait à identifier la vitesse de la terre dans le « vent d’éther », ce qui n’a pas de sens non plus puisque c’est comme si on passait la main dehors d’un véhicule pour espérer en connaître la vitesse absolue, alors qu’on ne pourra que connaître la vitesse RELATIVE du mobile par rapport au fluide incident.