Respectons l’auteur de l’article, qui traite de l’informatique en entreprise et de son environnement mobile.
C’est un milieu que j’ai quitté depuis longtemps, sans pour autant en oublier l’actualité et les perspectives, ne serait-ce que pour aider des ados à faire un stage utile au collège, entre la quatrième et la troisième.
Entre nous soit dit, le plus gros du travail se situe davantage dans la correction des fautes d’orthographe que dans la compréhension du hardware, du software ou de l’avenir du cloud computing.
Après, au plan strictement personnel, rien ne nous empêche d’inverser la loi de Moore et d’utiliser des machines antédiluviennes pour nous connecter à Internet et participer à un forum, surtout en milieu rural, où la bande passante met tout le monde d’accord.
Le reste relève d’une philosophie dont les tenants et les aboutissants sont effectivement commerciaux et bien éloignés d’un raisonnement logique, tant sont nombreux les sujets de discorde qui opposent ceux qui optent et militent pour le libre et ceux qui acceptent sans broncher l’illégalité de la vente liée.
Je ne dis pas que le combat est perdu d’avance, et que la façon dont j’ai partitionné mon disque dur de 8 Go me met à l’abri d’un malfaisant plus doué que moi pour introduire une image .JPG dans un /home ridicule, mais je persiste à croire qu’il est plus aisé de surveiller 800 Mo que 6 To.