Après mon coup de capot sur la cafetière, je retrouve peu à peu la mémoire.
Vous m’aviez conseillé d’écrire et, allez savoir pourquoi, j’ai pris fait et cause pour un Légionnaire masqué et évoqué les snipers. Sans doute un retour en surface de souvenirs enfouis pendant très longtemps.
Je n’ai pas l’intention de mêler à un débat qui a pris une tournure plus qu’outrancière à votre égard, n’ayant pas encore retrouvé cette patience qui vous caractérise et que je vous envie.
J’ai cependant un lien à vous soumettre, concernant les techniques secrètes pour contrôler les forums et l’opinion publique.
C’est un peu long à lire, mais très en phase avec les méthodes de vos « contradicteurs ». Merci Korben.
J’apprécie votre commentaire et sa conclusion : « Apres c est peut être aussi un sale con, mais vu que je ne le connais pas rien ne me permet de le juger »
Ce qui suit ne vous est pas destiné.
Peu nombreux sont ceux qui connaissent les souffrances que doivent endurer les gamins qui se sont engagés dans la Légion Étrangère avant de recevoir le képi blanc.
Que ceux qui critiquent ce Légionnaire masqué aillent donc prendre sa place et quittent le « boboland » pour se faire trouer la paillasse.
Que ses supérieurs le précèdent en chargeant sabre au clair.
N’oublions pas que nous sommes dans une parodie et que les mêmes trouveraient ridicules les « déguisements » des snipers.
J’ai bien rigolé en lisant certains commentaires postés par ceux qui ont la science infuse, ceux qui savent tout réparer, même lorsque les pièces détachées sont introuvables, surtout en informatique.
J’affirme que les certitudes doivent être manipulées avec précaution.
J’avais la certitude d’être quasiment indestructible, d’avoir le crâne en acier, à force d’avoir détruit à peu près tout (jetons un voile pudique).
C’était avant de recevoir sur la cafetière le capot de mon « camping-car » qui ressemble un peu à ça.
Le capot n’a rien, mais je me sens un peu obsolète, au point de ne plus savoir à quoi me servait cet engin.
A près de 70 ans, la mémoire peut revenir. Ou pas.