"Ceci étant posé, par simple sentiment de justice et d’équité, devant une
situation qui met en péril par une guerre toujours à craindre dans
cette région du monde qui perturberait l’équilibre mondial, il faut
rechercher qui est l’agresseur et qui est l’agressé, une question à
laquelle beaucoup d’observateurs et intellectuels, y compris juifs, ont
répondu."
Il me semble au contraire que c’est la seule question qu’il faut éviter de poser si on est attaché à une possibilité de paix.
Si on pose au départ l’hypothèse de l’illégitimité par nature du partenaire, alors toute paix est impossible. Les, gens, les groupes, les États, peuvent négocier sur leurs intérêts, pas sur leur existence.
Quand à découvrir que la force est déterminante dans les rapports historique entre nation....
C’est bien par la force que les arabes sont arrivés et repartis en Espagne, arrivé et resté en Afrique du nord
Et si on prétend que les temps ont changé, ou place-t-on le curseur des rétablissement de la justice historique ? Est ce qu’on va rendre Constantinople aux grecs ? Angleterre aux celtes, le Québec aux français et la Crimée à la Russie ou aux tatares ?
On peut toujours rêver .d’un Israël non juif, d’une Palestine ouverte démocratique et tolérante, des deux vivants ensemble mais si on attend que cela se produise pour faire la paix, cela signifie que l’on préfère avoir raison que permettre aux enfants d’avoir une vie normale.
Que l’on choisit la confrontation et la guerre.
Il ne faut alors pas s’étonner si le camps adverse se défend.