@ TOUS
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« Barbapapa »,
ce jour 30 septembre à 12h27
nous a expliqué :
« C’est
ma femme de couleur -Malgache- qui m’a fait voter Le Pen en 2002 ».
Notons
donc la puissance des convictions personnelles du monsieur....
Mais
c’est sa vie privé, n’insistons pas cependant qu’il l’a lui-même
étalée publiquement.
Plus
loin, dans ce même commentaire, M. « Barbapapa »
affirme :
« Le Pen père
n’a jamais été raciste ».
Cependant, « Monsieur Tête haute, mains
propres » comme il a toujours aimé s’auto-proclamer
- dont il s’avère de jour en jour qu’il ne dédaignait
pas, lui non plus, les mallettes de biftons … - n’a été condamné
que 25 fois par la Justice.
On rêverait d’un casier judiciaire plus vierge pour le
pourfendeur en chef des petits délinquants....
Surtout lorsqu’on constate que la première condamnation
de M. LE PEN, en 1960, concernait les menaces de mort qu’il
avait proférées à l’encontre d’un....Commissaire de Police ….. !
Concernant
donc le racisme qui ne serait pas le genre de M. Le Pen.... :
Mars 1986, condamnation pour « antisémitisme
insidieux ».
Novembre 1987, condamnation pour « provocation à
la haine, la discrimination et la violence raciale ».
Janvier 1991, condamnation pour « stigmatisation
de l’immigration ».
Juillet 1997, condamnation pour « injure
raciste ».
Novembre 1998, condamnation pour avoir déclaré :
« je crois à l’inégalité des races ».
Janvier 1999, c’est le Tribunal Allemand de Munich
qui le condamne pour « incitation à la haine raciale ».
Avril 2004, condamnation pour « provocation à la
haine raciale ».
Février 2005, condamnation pour « incitation à
la haine raciale ».
Ca
fait un peu beaucoup pour quelqu’un qu’on ose nous présenté comme
n’étant pas raciste.
Condamnations auxquelles il convient d’ajouter celle du
8 novembre 1995 pour ce monsieur qui aime à nous déclarer « ils
sont tous pourris...sauf moi ».
Ce
champion auto-proclamé de la probité a été condamné ce jour là
à un redressement de 1,4 million de francs pour « oublis de
plus-value
boursière et sous-estimation de loyer ».
Bonne journée à vous.
jf.