« Vous vantez la maîtrise des émotions, mais n’hésitez par à soutenir le « pétage de plomb ». »
Non, pas du tout, heureusement que je ne soutiens pas ça... Au vu du reste de votre commentaire, vous persistez à confondre violence et usage de la force qui sont deux choses bien distinctes.
Ensuite vous passez du contexte de la gifle, à l’armée israélienne et aux palestiniens, puis les pauvres, la crise... C’est du grand n’importe quoi. Que répondre à une phrase qui n’a pas de sens dans le contexte ? Si je vous dis « choucroute », vous dites quoi ? Et si on jouait au Kamoulox pour voir ?
« Quelqu’un qui commence à frapper un gamin en classe soyez en sûr, trouvera une légitimité pour exercer sa violence ailleurs. »
Personne ne dit qu’il faut aller démolir un jeune, le tabasser pour se soulager. Vous avez vraiment perdu la notion de violence et le sens même du mot. Confondre une gifle et une grosse raclée genre tabassage option acharnement sur la personne, c’est encore n’importe quoi.
A partir du moment où vous ne comprenez plus les mots comme ils sont définis dans le dictionnaire (comme l’exemple ici avec le mot « violence »), vous ne parlez même plus le Français et ce n’est donc pas possible que nous ayons une véritable communication vous et moi. Pour communiquer, il faut avoir les mêmes mots, mais aussi que ces mots aient le même sens pour tout le monde (d’où l’intérêt du dictionnaire, celui de l’Académie Française est bien et fait référence, je vous le recommande)... Sinon, ce n’est même pas la peine d’essayer de discuter.
C’est très mignon d’adapter le sens des mots pour servir ses idéologies, nourrir ses peurs, ses angoisses, sa propre haine et ses vieilles blessures peut-être causées dans votre jeunesse par vos professeurs à l’école par exemple ou par vous même en refusant de vous regarder. Mais sincèrement, on ne construit pas ses raisonnements sur ce genre de bases que sont les peurs, la haine, l’émotivité, les blessures, etc.
Je vous invite donc à ouvrir un dictionnaire, à recontextualiser votre propos dans ce contexte de gifle éducative (donc pas d’histoires d’iraël, etc.), à abandonner votre émotivité et vos blessures (au moins à les mettre de côté). Ensuite, nous pourrons avoir un dialogue construit autant que constructif.